Le port et la visibilité du matricule des policiers doivent être garantis par le ministère de l’intérieur, ordonne le Conseil d’Etat
La plus haute juridiction administrative a par ailleurs estimé que la pratique des contrôles au faciès « existe » et constitue « une discrimination », mais se déclare incompétente pour contraindre l’Etat à modifier sa politique en la matière.
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