LA PEUR, L'INCERTITUDE ET LE DOUTE


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La tentative de dictature covid repose, comme toute les dictatures, sur la passivité de l'immense majorité qui finalement aime profondément l'esclavage, mais avec un aiguillon qui est la peur, de sanctions ou d'un danger rationnel ou non, qui se rappelle à eux si d'aventure ils envisageaient autre chose que de tourner autour du piquet auquel ils sont attachés.

Malgré le pouvoir sidérant de la servitude volontaire, il faut toujours une dose de peur.

Mais faire reposer la peur sur une maladie qui ne tue que 0,2% de la population et majoritairement des très vieux, c'est un peu léger et ça ne peut tenir sur la longue durée.

C'est une erreur tactique. Il faudrait une maladie réellement létale capable de tuer 50% de la population en quelques années. Mais ceux qui tiennent les manettes ou ceux qui ambitionnent de les tenir ne serait pas assurés d'être parmi les survivants. Le vaccin est peut-être la solution envisagée, mais à condition qu'il mette assez de temps à tuer les populations pour que les moutons aient le temps d'être piqués avant de voir les autres tomber comme des mouches. C'est donc difficile à utiliser. On a davantage de chances d'avoir simplement une lente augmentation du nombre de lots toxiques (pour le covid ou autre chose) afin que l'enfumage médiatique et "fact-checkeur" puisse entretenir encore l'idée qu'il ne se passe rien. Et donc avoir besoin de plusieurs années pour éliminer les six ou sept milliards surnuméraires.

Il faut donc en revenir aux bonnes vieilles peurs utilisées de tout temps par les religions. Des peurs liées à des éléments non vérifiables. On ne fera sans doute pas mieux que l'enfer, puisque pour savoir si il existe ou pas il faut être mort, ce qui rend le fact-checking assez difficile.

Mais on a une bonne grosse peur, assez proche et assez éloignée dans le temps pour faire bien peur et exiger des contritions avant d'avoir les résultats : le "changement climatique". Donc, quand bien même pourrait-il rester un petit fond de peur sanitaire entretenu, on aura à coup sûr un matraquage de peur eschatologique pour bien persuader que les pauvres sont responsables de tout avec leurs vilaines voitures qui puent, leurs lamentables maisons passeoires thermiques et pouvoir justifier leur élimination, dans un premier temps de la société avant de passer, il y a urgence n'oubliez pas, à l'élimination physique radicale de ces rats puants.

Donc tout va être mobilisé, l'hystérie de la pucelle à couettes, le sérieux bonhomme d'un Pablo Servigne, les prêches graves du Pape Mondialiste, le visage terrorisant du grand inquisiteur Barrau, les bêlements des vegans anti-spécistes etc.

Chaque pays aura sa déclinaison particulière de crétins utiles, de fourriers du désespoir et de profiteurs momentanés de génocide. Jusqu'à ce que les quelques "élus" puissent rester dans le jardin d'Eden retrouvé et que les quelques Niebelungen encore nécessaires pour un peu de production n'aillent, non plus travailler dans les profondeures chtoniennes, mais quelque part dans quelque bagne spacial ou extra-terrestre.

Tout cela est incertain bien entendu, improuvable tant que ce ne sera pas là. Et encore visiblement la réalité ne suffit pas à convaincre l'ovinhumain hypnotisé. Et donc jusqu'à l'accomplissement ou l'écroulement il restera le doute. Et le doute profite toujours à la soumission dans un monde dégénéré ou la dysphorie de genre et toutes les pathologies des mondes en décomposition règnent en maîtresses.

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