« Il sait que s’il est extradé au Japon, il n’en reviendra jamais, mais il n’a pas peur. Il ne regrette rien ».
Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France, explique que "Le Japon est dans une logique de vengeance, ils se sentent humiliés. La manière dont Watson sera traité dans l’archipel nous inquiète beaucoup.
Le moment est crucial. La mobilisation est importante mais il ne faut pas relâcher la pression, dit-elle. Le risque d’extradition est réel. Elle signerait son arrêt de mort. Paul a 73 ans et ne repartirait pas vivant du Japon".
— Pétition pour que E. Macron demande au Danemark la libération de Paul Watson.
Merci à vous.
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