Comment la famille ruine les femmes.

Adaptant un ouvrage sociologique (Le genre du capital), cette bande dessinée explique avec pédagogie pourquoi, de l’héritage au divorce, les femmes accumulent moins de richesse que les hommes.

Ce sont des histoires qui se déroulent normalement derrière des portes closes. Portes qu’ouvre la dessinatrice Jeanne Puchol en s’appuyant sur les entretiens et observations du magistral ouvrage des sociologues Céline Bessière et Sibylle Gollac, Le genre du capital, paru en 2020. Vingt ans d’enquêtes mettent en lumière la manière dont les formidables inégalités entre hommes et femmes, face à l’accumulation de richesse, se logent dans les replis quotidiens de la vie familiale.
Jeanne Puchol a imaginé un félin "fil rouge", constitué de conversation de chats, certains narrant les malheurs de leurs humains plongés en plein divorce, d’autres se faisant doctes car ils logent chez un notaire ou une sociologue.

Cet article était en lecture libre le 8 mai dernier ; s'il ne l'est plus, il est encore lisible ici, en document .pdf.

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