Covid: non, une étude de Cambridge ne prouve pas que 25% des vaccinés développent le sida
Ses auteurs, basés dans plusieurs universités britanniques, notamment à Cambridge et à Liverpool, ont expliqué à l'AFP que les conclusions tirées de leurs travaux étaient "tout simplement inventées".
L'étude, qui a examiné les effets du vaccin à ARN messager de Pfizer sur 21 personnes, a observé qu'un tiers des participants produisaient par la suite ce qu'ils nomment des "protéines involontaires" ("inintended proteins") et donc des réponses immunitaires à ces protéines.
Cependant, l'auteur principal de l'étude, James Thaventhiran (archive ici), immunologue à l'université de Cambridge, a déclaré le 20 décembre 2023 à l'AFP que "les humains rencontrent régulièrement des protéines involontaires et génèrent des réponses immunitaires inoffensives".