Vous allez sans doute entendre parler du SSAN.
Plusieurs e-médias en parlent. La Dépêche, Sud-Ouest, Ouest-France, le Journal du Gers...
C'est différent du Samu Social Agricole, créé il y a vingt ans.
Le SSAN, Samu Social Agricole National, créé à l'initiative des gersois Michel Bini et Philippe Grégoire, n'a pas pour but "que" de soutenir les agricultrices et agriculteurs en difficulté, qu'elle soit financière, sanitaire, psychologique, ou tout ensemble ; mais aussi d'avoir une présence politique, de défendre les intérêts des ruraux face aux abus administratifs, bancaires, et des lobbies de l'industrie agroalimentaire. Généralement, d'oeuvrer pour une agriculture plus équilibrée, vivable tout autant que vivante.
Peut-être, espérons-le, de sortir de l'impasse dans laquelle le monde rural est plongé depuis quelques décennies où la robotisation et la production à tout prix ont là aussi fait des ravages.
