(Sur)Vivre quand il reste moins de 300 euros par mois.

Portrait de la pauvreté en France.

Une fois les dépenses retirées, la moitié des ménages rencontrés n’ont plus que 295 euros par mois et par personne pour vivre.
Pour le quart le plus pauvre, ce revenu arbitral est même inférieur à 100 euros, «soit une perte de 35 euros par rapport à la situation avant crise», note le rapport.
Si on ajoute d’autres dépenses incompressibles, comme les transports ou les dettes, le reste à vivre par personne tombe à 5 euros par jour et même 1,50 euro pour le quart le plus pauvre, contre 40 euros en population générale.
On est donc loin du minimum de 7 euros quotidiens jugés nécessaires par le Secours catholique pour faire face aux seuls frais de nourriture.

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