Conte moderne. Le président qui prenait les français pour des connards et le banquier qui prenait ses clients pour des kleenex.

Il était une fois... 🎶 ...un système qui s'appelions Capitalisme et qui vivions dans de beaux palais fortifiés construits et payés par le Bon Petit Peuple. Ce système était kro fort. Tellement kro fort qu'il n'avait pas besoin de travailler comme le Bon Petit Peuple, il faisait travailler tout seul une chose qu'il appelions l'argent, lequel était versé sou à sou par le BPP, via moult produits de consommation et divers impôts et taxes.
Une fois les petits sous récoltés, ils étaient mis à l'abri dans les beaux palais fortifiés, et là, ils travaillaient tout seuls à grossir et engraisser, grâce à de savants calculs algébriques.
Régulièrement, le Bon Petit Peuple avait le droit de faire un choix entre tel ou tel Capitaliste pour qu'il soit celui qui s'appellerions Prézident, et pour qu'il vive dans un beau palais fortifié avec de beaux tapis et de la belle vaisselle. Là, le Prézident donnait l'exemple aux autres vassaux Capitalistes, qui faisaient tout comme il dit et tout comme il fait. Comme par exemple, fermer les comptes de ceux du Bon Petit Peuple qui étaient trop pauvres pour rapporter gros, ou encore persécuter les petits enfants qui n'étaient pas nés Capitalistes. De temps en temps, les Prézidents Capitalistes aimaient bien parler comme le Bon Petit Peuple, en disant des gros mots comme kärcher ou connard.
Ça les faisait rire.

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