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Une négation des droits humains, de la démocratie et de la crise environnementale

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La préface de Gibert Achcar et l’avant-propos d’Eric Toussaint, sont – à plus d’un titre passionnants.

Gilbert Achcar aborde, entre autres, les liens entre la Banque mondiale et le Fonds monétaire international et l’ordre économique international, « C’est que ces deux institutions financières intergouvernementales – les deux principaux piliers de l’ordre économique international instauré après la Deuxième Guerre mondiale sous la domination des États-Unis d’Amérique, comme en témoigne si limpidement le fait qu’elles ont toutes deux leur siège à Washington – ont été les vecteurs privilégiés de l’extension au Sud planétaire de la mutation néolibérale du système capitaliste », la privatisation des entreprises d’Etat comme mesure clé de la mutation néolibérale, la précarisation du travail, le principe sacro-saint de la réduction drastique des déficits budgétaires « qui entraîne nécessairement la réduction des dépenses sociales et des investissements publics, quelles que soient par ailleurs les recommandations hypocrites des institutions financières internationales en faveur des dépenses pour l’éducation et la santé », les activités prédatrices, les gouvernements despotiques, la dette comme levier du nouvel ordre néolibéral, les politiques dites d’« ajustement structurel »…

note sur :Eric Toussaint : Banque mondiale. Une histoire critique
https://entreleslignesentrelesmots.blog/2022/02/08/une-negation-des-droits-humains-de-la-democratie-et-de-la-crise-environnementale/

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