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https://yewtu.be/watch?v=A0ZL5K-lCnE
https://www.youtube.com/watch?v=A0ZL5K-lCnE
Album: Abraxas, 1970
Elegant Lounge - Collection
#Santana #rock #latin #70s #music
Album: Gypsy Kings, 1987
1001 Songs: Part VII of X
#GypsyKings #worldmusic #flamenco #latin #spain #music
Album: La revancha del tango, 2001
1001 Songs: Part IX of X
#GotanProject #worldmusic #latin #tango #music
https://www.youtube.com/watch?v=t-XS30NkuK4&list=PLRQKT-Cu2_2RXY_TkbONKE1HlXasi1wQo
#bossanova #jazz #latin #music #SergioMendes #brasil66
#UrrodelaTrinidad #worldmusic #spain #flamenco #latin #music
This song, in dialogue form, was recorded in Malaga and features a male singer called ''Urro de la Trinidad, " accompanied by guitars, with dancing and the usual jaleo. The song deals with a theme that is widespread in the folklore of all the world: that of the hero who has been carried off to his grave, but who is ''really'' not dead, only sleeping. One gathers that the "Julio Romero" mentioned in the text was a bullfighter (the favorite type of hero in Spain). The dialogue in the song is between the little bridge of San Rafael and a young girl of Cordoba, who walks along the road with grief-stricken features and a black ribbon on her head, mourning the death of Julio Romero.
Won't you tell me, little bridge,
That is seen from San Rafael,
Tell me why, you little road,
They have taken him away forever?
Where now is Julio Romero?
Where is he -- for I don't knew?
Please tell me, little bridge
That is seen from San Rafael.
And the little bridge replies:
Maiden, maiden of Cordoba,
Take off your ribbon of black,
And don't walk along so sadly!
For Julio Romero lives,
He lives, and he is sleeping,
Do not cry, lest you awake him.
He is sleeping in his chamber
With his lovely companion.
#EdmundoRos #latin #bigband #70s #music
#ElisabethWaldo #worldmusic #latin #southamerica #50s #music
#HerbertWSpencer #Folk #latin #orchestra #music
#LouAdamsJr #worldmusic #Bahamas #Calypso #Caribbean #latin #music
#MaríaLuisaBuchino #SusLlameros #worldmusic #latin #chile #folk #music
Ci-dessus : la #Gaule à la mort de Clovis (pardon, Hlodwig). Cette belle carte - qui associe le développement du royaume franc à de chaudes teintes automnales – est librement accessible sur le site du magazine l’Histoire. En orange citrouille, le cœur du domaine des Francs saliens.
FB Storia Mundi (storiamundi. com)
🔴 Le #francique et le #français : un pauvre mais éloquent héritage
Commençons par le plus simple : le #français est une langue indo-européenne qui appartient à la grande famille des langues romanes.
Tout comme le corse par exemple. Ou l’italien. Ou l’espagnol. Sans oublier le catalan, le portugais, le romanche, le sarde, le sicilien...
Les #langues romanes proviennent toutes du latin tardif, lequel, faut-il le dire, avait pris quelques libertés avec le #latin classique.
Un exemple ?
Le mot que nous employons pour désigner la tête ne provient pas du latin caput (d’où chef et capitale) mais de l’argot tardo-impérial testa que l’on pourrait traduire par bouille. Ou tronche à la rigueur… encore que les spécialistes ne s’accordent pas sur ce dernier point.
Quoi qu’il en soit, le nom de la langue de Molière (le #français) nous rappelle que des gens venus d’ailleurs, mi-mercenaires, mi-réfugiés, mi-envahisseurs (oui, ça fait beaucoup), imposèrent leur pouvoir et leur nom à la Gallo-Romanie (un concept culturel qui aurait stupéfié les contemporains de Caligula soit dit en passant… et pourquoi pas des Hispano-Romains, des Britto-Romains et des Siculo-Romains tant qu’on y est ?).Ces gens-là, les #Francs - die Franken ! - puisqu’il faut bien les nommer, parlaient le #francique, une langue lointainement apparentée à l’actuel allemand.
Pendant une poignée de siècles, de Hlodwig (pardon, Clovis) à Karl der Große (notre Charlemagne), le francique (ou sa variante rhénane) fut la langue des rois, des chefs et des guerriers. Donc la langue du #pouvoir.
C’est la raison pour laquelle le #gallo-roman, la langue que parlaient les innombrables sujets Gallo-Romains des Francs, en vint à être désignée du nom de ces derniers, pourtant numériquement très minoritaires.
La chose, n’est pas sans équivalent du reste : songez au bulgare par exemple, une langue slave dont le nom ne l’est pas.
Si vous vous demandez combien de mots provenant du francique sont encore en usage dans le français actuel la réponse est 400 environ.
C’est peu.
Une courte sélection de ce maigre héritage vous convaincra facilement que les Francs n’étaient pas un peuple d’intellectuels portés à l’abstraction puisqu’y abondent les mots de la #guerre et du #pouvoir.
Ban, bande, bastille, beffroi, blason, bouter, brandir, crampon, croc, dard, échanson, épieu, éperon, escrime, étron, étendard, fanion, fief, flèche, frapper, galoper, gant, garnison, gonfanon, grappin, guerre, hache, haubert, haïr, heaume, honnir, maréchal, meurtre, sénéchal, trêve, trique, trompe…