«Macron, c’est comme un père alcoolique. À la maison il te pourrit la vie, et dehors il te fout la honte» ; «La citoyenneté, c’est comme la mémoire, cela ne fonctionne bien que si l’on s’en sert» ou «Je suis comme l’IGPN, je ne suis pas là pour faire le procès des policiers». Photo David Delaplace.
Waly Dia interdit d'affichage dans le métro parisien.
Les punchlines, lisibles sur les tatouages de l'humoriste, ont eu raison de son affiche. Elle a été jugée “incompatible avec le devoir de neutralité” exigée par la régie Mediatransports (qui gère l’affichage publicitaire notamment de la RATP et de la SNCF).