Le Royaume-Uni met fin à l’exportation de milliers de bovins, porcs, chèvres, moutons, sangliers et chevaux vivants destinés à l’abattage ou à l’engraissement depuis ou via l’Angleterre, le Pays de Galles et l’Écosse.

Photo : CIWF. Des personnes abreuvent des veaux assoiffés destinés à l'engraissement.

La Farmers Union Wales (FUW) a soutenu le gouvernement britannique dans sa volonté, à condition que les agriculteurs britanniques soient protégés de la concurrence déloyale étrangère en exigeant des normes équivalentes pour les importations.
Mais...
La National Farmers Union (NFU) est plus prudente. Elle redoute que la Belgique, les Pays-Bas et la France, grands importateurs de moutons britanniques, se tournent vers des fournisseurs plus lointains, notamment en Europe de l’Est. :/

1,6 milliard d’animaux sont transportés chaque année au sein de l’UE et au-delà de ses frontières.

La France et l’Espagne, poussés par l’agro-industrie, se sont unis pour maintenir les exports d’animaux vivants.

« L’Union européenne ne peut pas continuer à faire des promesses creuses en matière de bien-être animal et à prétendre être un leader dans ce domaine. Elle doit prendre des mesures concrètes pour mettre fin à ce commerce cruel ».

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