Voici un nouvel épisode (en accès libre) de "Faire de l' #histoire... populaire", la série proposée par l’ #historien #GérardNoiriel et le collectif Daja et réalisée par Martine Derrier.
« Juillet 1720. La #Peste à Marseille : points communs et ressemblances avec la Covid 19 ».
à voir sur CinéMutins : https://www.cinemutins.com/faire-de-l-histoire-populaire

Cette émission est centrée sur l’épidémie de peste qui s’est développée à #Marseille à partir de juillet 1720. La comparaison avec la pandémie actuelle de la #Covid19 permet de mettre en relief les points communs et les différences dans les interventions publiques et dans les résistances des classes populaires. Cet éclairage socio-historique a aussi pour but de nous faire réfléchir sur les enjeux concernant les libertés individuelles, l’identification des personnes et le pouvoir d’Etat, dans la société française d’aujourd’hui.

Tous les mois, #GérardNoiriel et le #collectifDaja nous proposent un épisode de la série réalisée par #MartineDerrier, à voir sur #Cinémutins. N'hésitez pas, c'est gratuit et surtout passionnant. Merci à eux pour ce beau cadeau qui va éclairer notre été !

https://www.cinemutins.com/faire-de-l-histoire-populaire

Dans le premier numéro, Gérard Noiriel rend hommage à la #CommunedeParis en proposant une analyse du texte de #KarlMarx, la Guerre civile en France, publié le 30 mai 1871, deux jours après la fin de la « #semainesanglante ». Gérard Noiriel insiste sur le côté prémonitoire de l’analyse marxiste, sans occulter néanmoins ses points faibles.

Pour cette deuxième séance, Gérard Noiriel a choisi de raconter l’avènement de la République sur l’île de la Réunion, le 9 juin 1848. Il décrit dans le détail comment a été appliqué localement le décret abolissant l’esclavage. Puis il montre comment la classe dominante des colons, qui avait lutté de toutes ses forces pour empêcher l’émancipation des #esclaves, s’est adaptée au nouveau contexte en inventant un nouveau système de domination des classes populaires, qu’on appelle « l’engagisme » ou le « servilisme ».