#steve

horst@hub.netzgemeinde.eu

Livekonzert von Steve Hackett im Hamburger Stadtpark

Steve Hackett @ Band Guitar Solo "Every Day" in Hamburg Stadtpark Summer 2024.

Image/photo

Ich war vorgestern bei dem Konzert und konnte dieses Solo aus nächster Nähe mit erleben. Einfach wunderbar.

Ich hab auch Bilder gemacht, aber aus irgendeinem Grund kann ich die nicht hier immer noch nicht hochladen.

#steve_hackett #rock #musik #live

nowisthetime@pod.automat.click

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"To our utter amazement we observed a striking phenomenon," reports Martin McKenna of Swatragh, N. Ireland. "It was #STEVE!"

#NI

"We were blown away by the intensity of the purple beam," continues McKenna."We could see it plainly with the naked eye, swelling and flickering in brilliance with delicate structures like those seen within a feather. My mate Conor likened it to a celestial funnel cloud or tornado changing form in real time."

https://spaceweather.com/

ramnath@nerdpol.ch

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#STEVE: During last night's geomagnetic storm, Jody Majko of Bragg Creek, Alberta, went outside to look for auroras. Instead, there was STEVE:

"STEVE decided to make an appearance for a couple of hours shortly after midnight," says Majko. "It beamed from the north horizon almost to the south horizon--the brightest I've ever seen it!"

STEVE (Strong Thermal Emission Velocity Enhancement) looks like an aurora, but it is not. The phenomenon is caused by hot (3000°C) ribbons of gas flowing through Earth’s magnetosphere at speeds exceeding 6 km/s (13,000 mph). These ribbons appear during some geomagnetic storms, revealing themselves by their soft #purple #glow.

https://spaceweather.com/

ramnath@nerdpol.ch

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GEOMAGNETIC STORM: Forecasters did not see this one coming. On March 23-24, auroras spread into the United States as far south as New Mexico (+32.8N) during a severe (category G4) geomagnetic storm--the most intense in nearly 6 years. The cause of the storm is still unclear; it may have been the ripple effect of a near-miss CME on March 23rd.

"Aurora pillars were visible from Shenandoah National Park in Central Virginia," says Peter Forister, who photographed the light show at latitude +38.7 degrees:

"Beautiful red and green colors were visible to the naked eye around 11 pm local time," he says. Other notable low-latitude sightings were made in Colorado (+38.7N), Missouri (+40.2N), Colorado again (+38.3N), Nebraska (+41N) and North Carolina (+36.2N). More than half of all US states were in range of the display.

Not every light in the sky was the aurora borealis, however. There was also #STEVE
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Never miss another geomagnetic storm. Sign up for Space Weather Alerts and you'll receive a text message when magnetic storms erupt. Aurora tour guides and professional astronomers use this service. You can, too!

SEVERE GEOMAGNETIC STORM: Forecasters did not see this one coming. On March 23-24, auroras spread into the United States as far south as New Mexico (+32.8N) during a severe (category G4) geomagnetic storm--the most intense in nearly 6 years. The cause of the storm is still unclear; it may have been the ripple effect of a near-miss CME on March 23rd.

"Aurora pillars were visible from Shenandoah National Park in Central Virginia," says Peter Forister, who photographed the light show at latitude +38.7 degrees:

"Beautiful red and green colors were visible to the naked eye around 11 pm local time," he says. Other notable low-latitude sightings were made in Colorado (+38.7N), Missouri (+40.2N), Colorado again (+38.3N), Nebraska (+41N) and North Carolina (+36.2N). More than half of all US states were in range of the display.

Not every light in the sky was the aurora borealis, however. There was also STEVE:

Joseph Shaw photographed the luminous ribbon over Bozeman, Montana. It also appeared over South Dakota, Washington State, Idaho, Montana again, and Scotland.

STEVE (Strong Thermal Emission Velocity Enhancement) looks like an aurora, but it is not. The phenomenon is caused by hot (3000°C) ribbons of gas flowing through Earth’s magnetosphere at speeds exceeding 6 km/s (13,000 mph). These ribbons appear during strong geomagnetic storms, revealing themselves by their soft purple glow.

This remarkable and surprising storm began on March 23rd when magnetic fields in the space around Earth suddenly shifted. In the jargon of space weather forecasting "BsubZ tipped south." South-pointing magnetic fields can open a crack in Earth's magnetosphere and, indeed, that's what happened. Earth's "shields were down" for almost 24 hours, allowing solar wind to penetrate and the storm to build to category G4.

These developments may have been caused the close passage of an unexpected CME. The storm cloud could have left the sun on March 20-21 when SOHO coronagraph data were unusually sparse. We didn't know it was coming. For aurora watchers, it was a welcome surprise.
https://spaceweather.com/

horst@hub.netzgemeinde.eu
anar65@diaspora-fr.org

#Bloc-Lorraint dissout, ça y est c'est fait !!!

#Antifascisme, #ExtrêmeDroite, #Gouvernement, #Justice, #Solidarité

Et #bonne-Nuit !

🔴 État policier : le Bloc Lorrain officiellement dissout 🔴

La dissolution de l’association militante crée un précédent inquiétant

«Ça y est, c’est tombé en Conseil des Ministres, on est dissout». Ce sont les mots du porte parole de l’association Le #Bloc-Lorrain, basée dans l’Est de la France. Il ajoute : «on va faire un recours au Conseil d’État. On a peur qu’ils se servent de ça pour faire une jurisprudence.»
**
En effet, dans un courrier daté du 21 octobre 2022 que nous avions pu consulter, le #BlocLorrain était accusé par le Ministère de l’ #Intérieur de provoquer **«à des manifestations armées ou à des agissements contre des personnes et des biens»
. Rien que ça.

Mais qui compose le Bloc Lorrain ? Quelles sont ses activités ? La structure est une association loi 1901 qui «regroupe environ 200 adhérents et adhérentes de tous les âges» nous explique son porte-parole. Le collectif se revendique #libertaire, #altermondialiste, #écologiste. À la base, c’est «un groupe de potes, certains militent depuis 20 ans». «On s’est constitué en association en mars 2021, pour mener à bien certaines actions autour de la #justice-sociale

Depuis, le Bloc Lorrain n’a pas ménagé ses efforts. Des maraudes étaient organisées «toutes les semaines, à Nancy, Metz, dans toute la Lorraine». Désormais, il «y a des militants partout dans la région» et même «des sympathisants ailleurs». En deux ans, le Bloc Lorrain a distribué plus de 20.000 repas.

Le collectif réalise aussi des distributions de nourriture aux étudiant-es et vient en aide à des familles de réfugié-es. «On fait aussi des actions environnementales» nous explique le porte-parole. Par exemple, le groupe sort ramasser des tonnes de déchets jetés dans la nature. Des initiatives salutaires, en faveur du bien commun.
C’est un véritable «système alternatif de luttes» qui se met en place. Le Bloc Lorrain pratique l’entraide concrète et lutte dans la rue. «On manifeste aussi, évidemment, on tient les banderoles», ou encore «on milite aussi sur #Bure, contre l’enfouissement des déchets #nucléaires». Le Bloc Lorrain s’est aussi déplacé à Paris lors de grosses manifestations ou à Nantes lors de fêtes de la musique en hommage au jeune #Steve, tué par la police.

C’est sur ce point que le gouvernement veut les attaquer. Le Ministère de l’Intérieur, qui est entré dans une frénésie de dissolution depuis deux ans, a tenté de détruire notre média #Nantes-Révoltée, puis des groupes de #soutien à la "Palestine, et un collectif #antifasciste lyonnais. Auparavant, il avait dissout de nombreuses associations musulmanes, au nom de la lutte contre le «séparatisme». Des procédures d’exception contre les minorités et les opposant-es pendant qu’Éric #Zemmour, condamné pour provocation à la haine raciale et proche de groupes néo-nazis violents, est invité sur tous les plateaux dès qu’il a envie de vomir son #racisme à l’antenne.

Contre le Bloc Lorrain, il n’y a que des accusations floues, basées sur des intentions supposées. Par exemple le gouvernement accuse la structure de «valoriser les débordements» sur sa page Facebook, la diffusion de vidéos de manifestations, ou encore la dénonciation de la #police. Dire la #vérité est désormais interdit en France. Chaque publication ou commentaire sur Facebook semble scrutée, épluchée, pour en déduire que le collectif «incite» à la «commission d’actes violents». On peut difficilement faire plus mensonger : le Bloc Lorrain a organisé une manifestation à Nancy, contre sa dissolution le 29 octobre. Des centaines de personnes avaient défilé dans le calme.

Ce 22 novembre 2022, en Conseil des Ministres, un décret lunaire au nom de la Première Ministre et du Ministre de l’Intérieur a donc entériné la dissolution. Un précédent inquiétant, puisque les procédures contre Nantes Révoltée n’ont pas abouti et que les dissolutions visant les associations pro-Palestine et antifascistes ont été cassées par le conseil d’ #État. Avec cet arrêté contre le Bloc Lorrain, s’il est maintenu, c’est un palier qui est franchi. Demain, n’importe quel #collectif #militant peut être visé. Et après ? Il en va de la survie des maigres #contre-pouvoirs qui existent encore en France.

Pour rappel, les procédures de #dissolution ont été inventés dans les années #1930, en pleine montée du #fascisme et de tensions militaires : il s’agissait de réagir aux nombreux groupes armés d’extrême droite, #fascistes ou #monarchistes, qui préparaient un coup d’État contre la République, commettaient des attentats et avaient attaqué le Parlement. Aujourd’hui, cette procédure est utilisée très largement pour anéantir les groupes d’opposant-es qui font vivre la vie sociale à l’échelle des territoires. L’usage s’est inversé.

Sur sa page Facebook, le Bloc Lorrain déplore : «La 180ème maraude n’aura pas lieu, l’énième ramassage de déchets ne se fera pas ce week-end. Nous n’existerons plus en tant qu’entité. Nous serons dans l’obligation de stopper nos activités, plus de messages, plus de réponses collectives, plus de compte bancaire, plus rien au nom de l’association. Nous ne pourrons plus nous rassembler tous ensemble sous peine de 3 ans de #prison et 45.000 euros d’ #amende

Tout n’est pas fini, car un recours aura lieu au Conseil d’État, probablement dans plusieurs mois. D’ici là, une cagnotte est en ligne et le déroulé de la procédure sera expliqué sur le Média Jaune de Lorraine

fiel@diaspora-fr.org
#Steve #Nantes #ViolencesPolicières #Police #justice #gouvernement #Etat

🔴 La fabrique de l’impunité 🔴

Steve : l’ancien préfet n’est plus mis en examen, l’enquête indépendante est rejetée par la justice

L’ancien préfet de Nantes au moment de la noyade de Steve le 21 juin 2019 va échapper à des poursuites judiciaires. Il n’est officiellement plus mis en examen pour homicide involontaire. C’est la décision prise par la chambre d’instruction de la cour d’appel de Rennes ce vendredi 28 octobre.

Le 21 juin 2019 la police nantaise attaque à coup de grenades et de balles en caoutchouc des centaines de personnes qui font la fête au bord de la Loire. La charge, d’une extrême violence, a lieu après la diffusion d’une chanson contre l’extrême droite. Plusieurs dizaines de personnes sont blessées, une dizaine tombe dans le fleuve du haut du quai et Steve, 24 ans, est porté disparu. Il sera retrouvé noyé un mois plus tard. Claude d’Harcourt, le préfet, qui a supervisé l’opération, déclarait froidement à la presse, juste après le drame : «Les forces de l’ordre interviennent toujours de manière proportionnée. Face à des individus extrêmement avinés […] il est difficile d’intervenir de façon rationnelle». Ce préfet promet même «des poursuites» contre les fêtards. Quelques semaines plus tard, il porte plainte contre un journaliste qui a dénoncé la répression de la fête de la musique.

Depuis, l’ancien Préfet a été promu «directeur général des étrangers» au ministère de l’Intérieur. Rappelons qu’il a débarqué à Nantes en novembre 2018 et a passé 2 ans à martyriser la population nantaise, en particulier les exilés. Claude d’Harcourt est un énarque, issu d’une grande famille aristocratique. Dès sa prise de fonction il encadre des manifestations par des dispositifs de policiers parfois plus nombreux que les participants eux-mêmes. Le 17 novembre de la même année, Nantes est l’une des rares villes où les Gilets Jaunes sont gazés et attaqués par la police dès l’Acte 1. En quelques mois de mouvement son bilan est terrible : des centaines de blessés, plus de 300 gardes à vue, plusieurs mutilés. Et un jeune homme, Adrien, tombé dans le coma devant la préfecture suite à un tir en pleine tête le 29 décembre 2018. Les mois suivants, la fête foraine et l’hôpital sont touchés par les gaz lacrymogènes, tirés en quantités ahurissantes chaque samedi.

Après la noyade de Steve, ce préfet choisit l’escalade en interdisant «tout rassemblement» dans la ville, le jour de l’hommage. La répression est terrible, alors même que la ville entière est choquée par la noyade du jeune fêtard. Claude d’Harcourt réprimera avec la même brutalité les manifestations syndicales pour les retraites.
Le 21 juin 2020, un an après la mort de Steve, Claude d’Harcourt choisit à nouveau la violence : il interdit la soirée prévue en hommage. Tout rassemblement est interdit dans la ville. Nantes est mise en état de siège, la répression est de nouveau terrible. Il quitte ses fonctions quelques semaines plus tard. Après avoir fait couler du sang et des larmes à Nantes, sans répondre de ses actes.

En octobre 2021, le préfet d’Harcourt est mis en examen pour «homicide involontaire». Des qualifications déjà très insuffisante, après plus de 2 ans d’impunité totale. Désormais, même ces poursuites à l’encontre de Claude d’Harcourt s’envolent. La justice estime qu’il y a une «absence d’indices graves ou concordants» pour le poursuivre.

Les avocats du préfet ont remporté une autre victoire ce vendredi 28 octobre : la chambre d’instruction de la cour d’appel a prononcé la «nullité» de l’expertise judiciaire confiée au laboratoire d’analyse Index. Cela veut dire que cette enquête indépendante très précise, prouvant la responsabilité de la police, ne sera pas utilisée dans la procédure. Index est un laboratoire d’expertise qui travaille sur des affaires de violence d’État​. Concernant la mort de Steve, Index avait produit vidéo d’une durée d’une heure qui reconstituait minutieusement le drame à partir des innombrables données figurant au dossier : 4600 pages de procédure, 5 heures de vidéos collectées à partir de téléphones de teufeurs et d’images de vidéosurveillance, et 33 heures d’échanges radio entre les policiers, le centre d’information et de commandement et les services d’urgence.

Un élément irréfutable, précis, décisif pour un éventuel procès. Une vraie enquête, comme ni l’IGPN ni la justice, malgré leurs moyens colossaux, n’en ont mené.

Cette «nullité» d’un document essentiel est d’une perversité totale. L’impunité policière se base souvent sur une prétendue absence de preuves. Les affaires sont généralement classées «faute d’éléments». Mais quand ces preuves existent, comme c’est le cas ici, la justice se charge de les faire disparaître. On touche ici au cœur de l’État policier : l’ensemble du système légal a besoin des violences policières. L’institution judiciaire accompagne de toutes ses forces les crimes policiers. Dans le même temps, ces mêmes magistrats n’hésitent pas à condamner lourdement les opposants, les pauvres, les immigrés sur la base d’éléments inexistants.

Trois ans ont passé depuis la mort de Steve et l’affaire piétine. La stratégie de l’apaisement et des appels au calme n’a rien obtenu. Lorsqu’il s’agit d’exiger vérité et justice sur les violences d’État, seule la peur de voir le rapport de force basculer permettra d’obtenir un soupçon de justice de la part du pouvoir.

Source de la presse locale.