#défiance

fredericbaylot@diaspora-fr.org

Guide pratique des médicaments

CHARLEY, LA VOIE DE LA JOIE DANS LA VIE MALGRÉ TOUS LES MALGRÉ

TOUTES LES BD DE CHARLEY : charley.baylot.org

TOUTES LES BD DE FRÉDÉRIC : frederic.baylot.org
LES BD DE CHARLEY, COMME TOUTES LES BD DE FRÉDÉRIC, PEUVENT ÊTRE COMMANDÉES SUR HTTP://LIBRAIRIE.BAYLOT.ORG
MES DESSINS SONT SOUS LICENCE CREATIVE COMMONS CC-BY-NC-ND* ET PEUVENT ÊTRE UTILISÉS DANS CES SEULES CONDITIONS EN INDIQUANT LE LIEN HTTP://FREDERIC.BAYLOT.ORG/ (POUR TOUT CONTACT ET DEMANDE : LUNGTA @ FREE.FR ); N’HÉSITEZ PAS À LES PARTAGER

Facebook : https://www.facebook.com/frederic.baylot

Instagram : https://www.instagram.com/fredericbaylot/

#BDCharley #bandedessinee #bandedessinée #bd #HistoireCourte #InstaBD #FrédéricBaylot #HistoiresCourtes #défiance #commandeparinternet #arnaque #arnaqueur #voleur #agressivité #colère

*CC-BY-NC-ND = Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Pas de modification

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #terre #guerre #idéologie #impérialiste #écologie #guerre #manifestation #défiance #autorité #myphoto

L’empire les quatre fers en l’air (extrait) Lundi-matin du30 août 2021

L’humanité est piégée dans une cage serrée et se tape la tête contre les murs en cherchant une sortie impossible à trouver. Le milieu physique se dégrade à grande vitesse. Les forêts sont brûlées, les champs bétonnés, les montagnes violentées, les eaux souillées, l’air contaminé, l’atmosphère encombrée de quincaillerie satellitaire. Les ressources vitales se raréfient et frôlent l’épuisement. La terre se réchauffe et court à l’effondrement climatique. Les virus et les bactéries se gaussent de l’outrecuidance des experts qui nous font miroiter jeunesse et santé éternelles, alors qu’on plonge dans une pandémie qui a déjà emporté des millions de vies. La majorité vit du revenu du travail, mais le travail se fait de plus en plus rare et les légions de chômeurs grossissent inexorablement. Le logement est inscrit dans la loi comme un droit « opposable », alors que les jardins, les places, les espaces sous les viaducs et les porches des grandes bâtisses se remplissent de tentes et de couches improvisées pour abriter les sans abri. Les banques centrales nous inondent d’argent à bon marché, pendant qu’un nombre grandissant de gens s’arrachent les cheveux, car ils auraient besoin de plusieurs vies pour s’acquitter des dettes contractées. Les parents s’affligent, car ils prévoient que leurs enfants n’auront pas leur niveau de vie et connaîtront probablement des jours difficiles. Les pouvoirs, tous les pouvoirs, se gargarisaient naguère de tirades sur la « libre circulation des biens et des personnes », la « liberté d’expression » ou le « respect de la vie privée et familiale » – ils y ont mis une sourdine, tout cela est désormais abrogé.

Tout est mis en capilotade. Faut-il alors s’étonner que les guerres éclatent, les rébellions se déchaînent, les foules s’agitent, les émeutes éclatent, que l’autorité tombe dans le discrédit et que la défiance s’installe dans les esprits ?