Georges Ibrahim Abdallah ne doit pas être libéré, selon les États-Unis qui en appellent à la justice française
#politique #justice #impérialisme
Libérez Georges Ibrahim Abdallah ! Mort aux impérialistes. US!
#politique #justice #impérialisme
Libérez Georges Ibrahim Abdallah ! Mort aux impérialistes. US!
#géopolitique #impérialisme #guerre
Les USA et la Chine s'entendront sur notre dos...
#économie #politique #impérialisme #guerre
https://yewtu.be/watch?v=cPZNy8HNY2U
https://www.youtube.com/watch?v=cPZNy8HNY2U
#géopolitique #guerre #impérialisme
https://yewtu.be/watch?v=X69Gus-MkyU
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#géopolitique #impérialisme #guerre #leGrandRoque
https://xcancel.com/MyretZaki/status/1863292672301043885
Parce qu’il « savait les noms », Pier Paolo Pasolini, dont on fête en mars 2022 le centenaire de la naissance, a été sauvagement assassiné sur une plage d’Ostie le 2 novembre 1975, un an après la parution de ce texte. Selon son traducteur et biographe René de Ceccatty, « le garçon qui a assassiné Pasolini avait été mandaté par des mafieux, qui eux-mêmes avaient été mandatés probablement par la démocratie-chrétienne, et probablement aussi par la CIA, mises en cause dans ce texte. »
https://lesamisdebartleby.wordpress.com/2022/03/22/pier-paolo-pasolini-je-sais/
#géopolitique #impérialisme #guerre Syrie
La situation ces dernières heures :
Bref, on doit bien entendu se réjouir de la chute d’El Assad mais le climat côté puissances impérialistes occidentales ne me rend pas optimiste sur les suites de la révolution et l’émancipation du peuple.
Le scénario le + optimiste est qu’ils récupèrent un territoire mis en pièce, sans armée, sous protection occidentale… jusqu’à ce qu’un président américain montre un tube d’eau bleue au sénat pour justifier de mener une nouvelle guerre.
Je suis content pour les Syriens mais je m'inquiète pour l'avenir proche...
#géopolitique #impérialisme #guerre #Occident #BRICS
https://yewtu.be/watch?v=dzokZOB44zw
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LA « DÉMOCRATIE » EN ROUMANIE !!!! : pour empêcher l’élection du candidat anti-OTAN, arrivé en tête au 1er tour, la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle ! - Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo] http://www.communcommune.com/2024/12/roumanie-pour-empecher-l-election-du-candidat-anti-otan-arrive-en-tete-au-1er-tour-la-cour-constitutionnelle-annule-l-election-presidentielle.html
J'espère qu'il gagne au premier tour.
Tags: #dandelíon #politique #impérialisme #guerre #OTAN
via dandelion* client (Source)
#géopolitique #impérialisme #globalisme #USA
Le globalisme désigne communément l’idéologie dominante qui s’est installée dans les esprits à compter des années 1980. Il s’est caractérisé, dans l’ordre économique, par un certain nombre de croyances explicites et de réalités objectives qui ont dominé sans partage le débat politique : primauté du Marché sur l’État, asservissement de ce dernier à une finance dérégulée, promotion du libre-échange comme une fin en soi, etc.
Mais le globalisme possède aussi une dimension politique, irréductible à sa seule volonté de réduire et d’asservir l’État aux intérêts de la haute finance internationale. Il en a en effet rongé le principe, altéré la substance en contestant, avant même son pouvoir, son principe : il n’était pas simplement ordonné à l’État de reculer face au Marché, mais également face au droit, face à une science juridique chargée d’entraver sa puissance au nom de droits individuels toujours plus étendus. La consécration de l’individu-roi exigeait l’abaissement de la puissance tutélaire de la chose publique : elle l’a obtenue.
D’un paradigme à l’autre
Primauté du Marché, primauté de l’individu : à ses dimensions économique et politique, il convient d’ajouter au globalisme une strate, pesant sur le sens et la force du lien qui unit les individus à l’échelle collective, au-delà des relations interpersonnelles. Alors que plusieurs siècles d’Histoire avaient érigé les nations comme cadre apparemment indépassable d’une identité collective substantielle, fondement du seul ordre politique légitime concevable, les décennies écoulées ont rivalisé de critiques et d’attaques contre ce cadre désormais perçu aliénant, faussement émancipateur, au profit d’identités infra- ou supranationales.
Toutes les identités pouvaient et devaient être promues, à l’exception de celle qui toutes les transcendait et élevait chacun à la condition politique. Particulièrement poussé en France – peut-être parce que le substrat national, plus solide qu’ailleurs, pouvait y encaisser de plus rudes coups – ce mouvement est si gravement attentatoire au politique, il a produit des effets si pernicieux dans tant de domaines, que l’immense majorité des citoyens ressent aujourd’hui plus ou moins confusément la nécessité d’y mettre un terme.
Si les couches dominantes se sont longtemps repues des bienfaits que le globalisme leur procurait, si elles ont longtemps pu convaincre les dominés qu’il n’y avait pas d’alternative, cela tient à deux choses : ces derniers ont également tiré profit du globalisme à leur niveau, leur passivité a été pour ainsi dire achetée au fil des décennies par des moyens différents selon les pays : par des aides sociales de plus en plus ouvertement financées par la dette publique dans le cas français, par des capacités d’endettement privé élevées dans le cas américain, toujours associées à l’exploitation de la main-d’œuvre des pays en développement pour garantir l’accès à une offre de biens élargis.
Si le système s’écroule aujourd’hui, c’est en raison de ses impasses et de ses coûts intenables : nombre d’économies occidentales conjuguent à un affaissement productif des niveaux d’endettement public de moins en moins soutenables. L’impuissance symbolique et pratique de l’État, de plus en plus évidentes dans un nombre croissant de domaines, ne cesse d’alimenter une inquiétude civique chaque année plus vive. Enfin, les excès de ce qu’il est convenu d’appeler le « wokisme » suscite un rejet croissant, dans la mesure où il semble de plus en plus incompatible avec le principe même de la vie sociale, de la culture ou de la transmission, sa logique ultime aboutissant à l’enfermement en lui-même d’un individu tout entier livré à son projet libertaire d’auto-constitution.
Chaque peuple va s’émanciper du globalisme selon des modalités spécifiques, car les identités nationales forgées au fil des siècles n’ont en rien disparu : mises à distance, relativisées, niées parfois par certaines forces politiques minoritaires, ces identités n’ont jamais cessé de sous-tendre souterrainement l’édifice social et politique, pour trois raisons.
Tout d’abord, parce que la majorité des gens ordinaires y est restée spontanément attachée, malgré les objurgations que cela pouvait leur valoir dans les discours politiques, médiatiques, scientifiques façonnés par l’idéologie dominante – on songe par exemple à la fameuse formule altermondialiste : « penser global, agir local » qui oblitérait purement et simplement l’échelon national. Ensuite, parce que l’appartenance à la nation ne revêtait plus le caractère prégnant et contraignant qu’elle avait auparavant. Enfin et surtout, parce que ces identités n’ont pas d’alternatives viables. La forme stato-nationale est en effet la forme politique par excellence de la modernité. Si les contours et les caractéristiques propres à chaque nation peuvent varier très sensiblement dans le temps, si même certaines peuvent disparaître, la forme qui préside à leur existence, demeure dans celles qui leur succèdent.
Le cas américain
Dans le cas américain, la fin de la parenthèse globaliste empruntera très probablement un chemin difficile à décrypter pour un esprit français. Cela tient, à un niveau superficiel, au caractère imprévisible et brouillon du nouveau président, qui n’a rien du stratège, de l’intellectuel ou du visionnaire ; il sent les choses plus qu’il ne les comprend, et ne cherche pas à développer une vue d’ensemble cohérente qui serait le préalable à une action méthodique. Surtout, le nouveau paradigme érige l’État comme garant d’une communauté politique, de sa permanence à travers le temps, de la protection et de la sécurité de ses membres. Or, il se trouve que la question de l’État est particulièrement complexe aux États-Unis, l’ambivalence des citoyens à son égard étant plus forte que partout ailleurs en Occident.
Plusieurs éléments essentiels en limitent la puissance : l’organisation fédérale de la République américaine, dont découle une tension fréquente entre ce qui relève des États fédérés et de Washington ; l’aspiration à l’indépendance des citoyens vis-à-vis de l’État, citoyens dont la sécurité et la prospérité ne peuvent pas dépendre trop ouvertement de lui sans sembler porter atteinte très vite à leur liberté. Cela se traduit concrètement par toutes sortes de réalités proprement américaines, du port d’armes très répandu au rejet d’une fiscalité trop redistributive ou d’une réglementation économique trop tatillonne – même s’il y a parfois un écart important entre la réalité et la représentation que l’on s’en fait.
Compte tenu de ce qu’ils sont, les États-Unis semblent donc les moins bien placés pour voir renaître sur leur sol l’État dans sa puissance organisatrice et tutélaire. Or, le mouvement est déjà largement engagé, au moins dans le domaine économique : la volonté de protéger les travailleurs et de reconstituer une base productive dramatiquement entamée par la désindustrialisation a provoqué dès le premier mandat de Donald Trump un virage protectionniste que son successeur a conforté. Si beaucoup d’incertitudes pèsent sur le contenu du second mandat, il est acquis cependant que le protectionnisme en sortira accentué. Si l’État n’a évidemment pas vocation à se mêler de tout en matière économique, il lui est aujourd’hui demandé de renoncer au libre-échange, pilier du globalisme, pour protéger le pays de ses excès.
Avec la circulation des biens, celle des hommes est aussi touchée. Une des grandes leçons du scrutin est l’affirmation d’une claire majorité d’électeurs favorables à une réduction drastique des flux migratoires illégaux, une majorité qui transcende largement aujourd’hui les différences et clivages ethniques internes. La politique migratoire à venir du gouvernement américain va donc heurter de plein fouet une autre croyance constitutive du globalisme, celle du nomadisme généralisé d’une humanité détachée, pour le meilleur, de ses ancrages territoriaux et historiques. Cela va se traduire notamment par l’inexorable déconstruction de l’édifice juridique développé ces dernières décennies qui a, au nom du droit des migrants, condamné la puissance publique à une impuissance de plus en plus caractérisée dans la gestion de la politique migratoire, jusqu’à susciter inquiétude et critique chez nombre de citoyens.
Enfin, il est possible que le second mandat de Trump voie s’achever l’époque des guerres lointaines aux issues désastreuses, si toutefois le néo-isolationnisme qui semble caractériser Donald Trump (quoique certains des contributeurs milliardaires à sa campagne pourraient laisser penser le contraire) se concrétise plus clairement qu’au cours de son premier mandat.
Il faut noter que ces trois éléments : protectionnisme, restrictions migratoires, isolationnisme, sont tous reliés explicitement aujourd’hui au thème de la « sécurité nationale », thème central dans la culture politique américaine, qui a connu ces dernières années une singulière extension de son périmètre d’application. Un indice supplémentaire de ce qui est désormais attendu de l’État et du renouveau idéologique dont il fait l’objet, puisqu’il est entendu, dans l’esprit de l’immense majorité des citoyens, qu’il est le seul garant de ladite sécurité.
Le naufrage programmé de l’Union européenne
La réélection de Donald Trump a fait se lever un vent de panique dans les chancelleries européennes. L’immense majorité des responsables politiques y voient une menace pour « l’Europe », en premier lieu pour sa sécurité stratégique, tant il semble acquis à leurs yeux que le nouveau président américain va se désengager de l’OTAN, sinon en sortir, après avoir imposé une paix entre la Russie et l’Ukraine sur le dos des 27.
La France fait ici un peu exception, puisqu’elle profite de ce qui ressemble à une opportunité pour entonner son éternel refrain sur la défense européenne et l’autonomie stratégique de l’UE, en espérant qu’il ne tombera pas tout à fait dans le vide cette fois-ci. Les craintes concernent également le domaine économique, le continent tremblant à l’idée d’une « guerre commerciale » avec des États-Unis devenus plus ouvertement protectionnistes.
S’il est probable que les intentions prêtées à Donald Trump se réaliseront plus ou moins complètement, elles ne devraient pas constituer pour les élites européistes le premier motif d’inquiétude, car elles auront bien plus à affronter que leur solitude stratégique ou la baisse des exportations des 27 vers les États-Unis.
Le basculement idéologique qu’illustre l’élection présidentielle américaine représente à terme une menace mortelle pour l’Union européenne, car il la condamne dans son principe même. S’il est sur cette planète une organisation authentiquement globaliste, c’est bien de l’UE qu’il s’agit en effet. Nulle part ailleurs dans le monde les États n’ont été autant abaissés, n’ont vu autant leur légitimité contestée et leur pouvoir affaibli : disparition des frontières internes – quand la frontière, condition de son ancrage territorial, est indispensable à une démocratie effective –, quasi-disparition de la politique économique – réduite pour l’essentiel à la seule fiscalité – au profit du Marché et d’une banque centrale indépendante, altération de la souveraineté populaire par les traités successifs et l’inflation du droit communautaire qui donnent toujours plus de poids aux institutions bruxelloises.
En un étrange retournement de l’Histoire, le continent qui a vu naître l’État-nation se sera acharné quelques décennies durant à le piétiner par passion idéologique.
Cette séquence historique touche à sa fin. Lorsqu’elle sera terminée, il deviendra difficile d’expliquer pourquoi les élites auront tant sacrifié à l’UE, en dépit de son échec objectif rapidement observable et des atteintes concrètes que le projet européiste représentait pour les peuples et les États.
Comment comprendre l’attachement inconditionnel des dirigeants au libre-échange dans un pays comme la France, quand il a eu pour effet spectaculaire une désindustrialisation massive et un déficit commercial abyssal ? Comment comprendre l’adhésion de principe à la construction européenne quand elle suppose de porter atteinte à ce fondement de la démocratie qu’est la souveraineté nationale ? Ces questions, qui émergent dans l’espace public depuis quelques années, prendront un tour plus aigu à mesure que refluera le globalisme et que de nouvelles générations de dirigeants rejetteront la cécité idéologique de leurs prédécesseurs.
Déjà, la dynamique de fond qui entraîne le projet européiste vers sa dislocation finale est engagée. D’un point de vue rhétorique, il est clairement sur la défensive et les partis qui l’ont porté historiquement n’ont plus qu’à opérer une mue interne ou à disparaître face aux forces nouvelles qui émergent dans tous les pays. Si ces forces « populistes » prennent très souvent des formes peu sympathiques, voire inquiétantes, l’élection américaine a démontré une fois de plus que la diabolisation fonctionne de moins en moins bien et que la meilleure réponse au « populisme » consiste non pas à rejeter en bloc tout ce qui le caractérise, mais à prendre au sérieux les thèmes qu’il développe, à s’en emparer pour canaliser la colère populaire et lui permettre de s’exprimer dans un cadre démocratique consolidé.
Les forces de gauche, aujourd’hui souvent coupées des couches populaires par leur allégeance au globalisme, devraient avoir pour priorité de regagner la confiance de ces couches en s’affranchissant ostentatoirement du cadre idéologique qui a conduit à cette anomalie. Si le phénomène s’observe déjà au Danemark ou en Allemagne, force est de constater qu’il n’est pas encore engagé en France.
Quoi qu’il en soit, une chose est certaine : il existe une incompatibilité de principe entre le projet européiste et le retour d’une dominance idéologique centrée sur l’État et la nation. L’effacement progressif du globalisme au sein des élites signera donc la fin inéluctable de ce projet, voué à être toujours davantage remis en cause comme attentatoire aux nouveaux canons de la pensée et de la politique.
https://elucid.media/politique/donald-trump-election-fait-trembler-globalistes
#géopolitique #impérialisme #UE #effondrement
Comme le dit ce cher Slobodan Despot, la vieille blague communiste polonaise s'applique parfaitement aux dirigeants de l'UE asservis à leur maitre américain : "quand il pleut à Washington, ils ouvrent leur parapluie".
#géopolitique #impérialisme #guerre #OTAN
https://yewtu.be/watch?v=e_8d3GVyXL4
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Situation complexe en Europe de l'Est.
Situation insurrectionnelle grave au Pakistan, pays doté de l'arme nucléaire et de missiles intercontinentaux. Qui en parle ? personne.
https://yewtu.be/watch?v=kXStgPCfQaE
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#politique #impérialisme #propagande
https://yewtu.be/watch?v=fVSqjUfkOgM
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