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affrontements contre le nouveau gouvernement d’extrême droite
lien de la #Vidéo : https://contre-attaque.net/wp-content/uploads/2024/02/GEg5XxlEhKpRREwDAOekrG72SVQobmdjAAAF.mp4
Le 31 janvier et le 1er février, l’Argentine a connu deux journées de grève et de manifestations contre le nouveau gouvernement d’extrême droite. Javier Milei, le* président récemment élu*, impose au pays une thérapie de choc ultra-libérale et autoritaire. Cet adepte du capitalisme le plus extrême veut aussi largement restreindre la possibilité de manifester et de revendiquer dans la rue.
Parmi les premières mesures de Milei, la «loi omnibus» qui vise à déréguler l’économie et donc à appauvrir massivement les plus pauvre et provoquer une récession, soi-disant pour assainir les finances publiques.
Pendant que la loi était discutée au Parlement, de grandes manifestations ont eu lieu à Buenos Aires, la capitale, avec des affrontements contre la police. De nombreux manifestants ont été blessés par des tirs de balles en caoutchouc et, comme en France, les voltigeurs ont semé la terreur en fonçant en moto vers les cortèges et en tirant sans relâche.
Le deuxième jour de mobilisation, des députés sont sortis du Congreso pour tenter de protéger les manifestants face à la police. Malgré l’effet de sidération de la victoire de
Milei, l’Argentine résiste. Il y avait le 24 janvier, déjà, d’énormes manifestations dans tout le pays.
enfrentamientos contra el nuevo gobierno de extrema derecha
enlace al #Vídeo: https://contre-attaque.net/wp-content/uploads/2024/02/GEg5XxlEhKpRREwDAOekrG72SVQobmdjAAAF.mp4
El 31 de enero y el 1 de febrero, Argentina vivió dos días de huelgas y manifestaciones contra el nuevo gobierno de extrema derecha. Javier Milei, el*[presidente recientemente elegido*, está imponiendo una terapia de choque ultraliberal y autoritaria en el país. Este seguidor del capitalismo extremo también quiere restringir severamente la capacidad de manifestarse y hacer reivindicaciones en las calles.
Entre las primeras medidas de Milei está la "ley ómnibus "** que pretende desregular la economía** y empobrecer así masivamente a los más pobres y provocar una recesión, aparentemente para consolidar las finanzas públicas.
Mientras se debatía la ley en el Parlamento, se produjeron manifestaciones multitudinarias en Buenos Aires, la capital, con enfrentamientos contra la policía. Numerosos manifestantes resultaron heridos por balas de goma y, como en Francia, los voltigeurs sembraron el terror corriendo hacia las procesiones en moto y disparando sin descanso.
El segundo día de manifestaciones, los diputados salieron del Congreso para intentar proteger a los manifestantes de la policía. A pesar del asombroso efecto de la victoria de Milei
victoria de Milei, Argentina resiste. Ya el 24 de enero hubo grandes manifestaciones en todo el país.