#grève

dandauge@fedi.thechangebook.org

ON N'EST PAS DES CHIENS : [ENCORE UN] ULTIME COMBAT

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Image/photoLarchmutz⏚ 🦊 🍂 wrote the following post Fri, 25 Oct 2024 17:30:27 +0200

"On n'est pas des chiens"

https://www.youtube.com/watch?v=y47iLdthjrA

Lien alternatif : https://inv.nadeko.net/watch?v=y47iLdthjrA

Mieux encore : https://video.blast-info.fr/w/ozgsMog2bpyBjQ4pacfp5h

Attention, autre combat

G*** cherche à bloquer Invidious ou autres dérivés comme Materialious. Si la vidéo ne se charge pas pour l'instance donnée en premier lien alternatif, veuillez utiliser une autre instance. Mieux encore, cherchez le contenu sur #peertube. S'il existe, partagez prioritairement le lien peertube. S'il n'est pas disponible sur cette plate-forme vidéo de la #fediverse ou s'il n'est pas mis en avant par l'auteur ou diffuseur, faites une demande à ce dernier afin que le contenu soit aussi disponible sur Peertube et/ou qu'il soit autant mis en avant, à minima, que celui publié sur You***. Merci de reporter cette présente notre sous tous vos partages vidéos :)

#grève #anticapacitisme

magdoz@diaspora.psyco.fr

La liberté d'expulsion - Le Billet de Charline dans « Le grand dimanche soir »
05/05/2024 https://piped.adminforge.de/watch?v=690_p0LZVqg ou https://yewtu.be/watch?v=690_p0LZVqg

❤️❤️ Clause de défense du logiciel libre : Expert ou novice, le logiciel libre a besoin d'une chose : qu'on le fasse vivre ‼️ Donc n'hésite pas à donner la priorité à Peertube au lieu de Youtube, quand c'est possible, n'hésite pas à privilégier une info diffusée par un site avec peu ou pas de traqueur, plutôt qu'un site capitaliste putaclic, bref, mets en avant ce qui fait notre force ici sur Diaspora, le logiciel libre et décentralisé. Et ne t'inquiète pas, les GAFAM et autres twitter/X ne disparaîtront pas, laisse aux autres les mauvaises habitudes. Avec bienveillance pour nous tous, car trop de youtube et hop, le jour où ton message dérange, couic, censure : veille à préserver, pour notre bien, le logiciel libre, en le faisant vivre. ❤️❤️ Cela dit sans diffamation, harcèlement de messages répétés partout, bref, un message tout innocent 😜 ‼️ Mots clés : Recherche Peertube - Framalibre - Clients youtube - LibRedirect - Protéger sa navigation sous Firefox - Fediverse - Logiciel Libre : à diffuser autour de vous ! - Rien à cacher | Nothing To Hide -

Son et texte :
La liberté d’expulsion https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-billet-de-charline-vanhoenacker/le-billet-de-charline-vanhoenacker-du-dimanche-05-mai-2024-5206176

Il manque l’un d’entre nous ce soir, on pense à lui n’est-ce pas ? Je sais qu’il nous écoute : on pense à toi, Alex Vizorek !
Aujourd’hui, un seul être vous manque et c’est #GuillaumeMeurice qui n’a pas le droit d’être avec nous ce soir. Radio France l’a envoyé deux semaines en internat, pour le remettre dans le droit chemin.
Il est convoqué le 16 mai pour “faute grave”. “Faute grave” ! En cabotin qu’il est, vous le connaissez,il s’est amusé dimanche dernier à refaire une blague que la justice française vient pourtant de requalifier comme #blague, puisque la plainte contre lui a été classée “sans suite”. Alors classée oui, mais “sans suite” ?
J’ai une pensée pour le Procureur qui a classé la plainte. Il doit penser : “Ok donc moi je dis un truc, mais à Radio France, tout le monde s’en carre, en fait”.
Certains d’entre vous nous ont demandé pourquoi nous ne sommes pas en #grève. D’abord, parce qu’on est des spécialistes de la grève (on les a toutes faites depuis 10 ans), on connaît les règles : préavis de 5 jours à Radio France. Vous voudriez pas qu’en plus on se mette hors-la-loi ? Et puis comme l’ #extrême-droite a décidé de nous faire taire, ce soir on ne va tout de même pas leur laisser ce plaisir.
On a la chance d’avoir un #micro, on le garde. Parce que c’est important de défendre la liberté d’expulsion ! …d’expression pardon ! Faut dire, qu’en ce moment on s’y perd.
Petite parenthèse. Je rassure nos dirigeants à #RadioFrance, cette chronique a été relue par un avocat. Comme en ce moment je sens bien que les RH sont très débordés à virer des collègues, je leur évite des réunions inutiles. Dans les émissions d’humour et de reportages, en ce moment, on donne beaucoup de boulot aux Ressources Humaines. D’ailleurs, à force de passer plus de temps aux RH et à la PJ plutôt qu’à écrire des blagues, on va finir par donner raison aux gens qui disent que l’argent public est mal dépensé.
Mais question : s’il n’y a plus Guillaume et qu’on disparaît, #PascalPraud, il va s’attaquer à qui pour pas s'emmerder ? A Demorand et #Salamé ? Nous, on veut bien continuer à faire paratonnerre ! On nous reproche parfois de manquer de retenue dans un contexte social tendu. Comme si les humoristes avaient un pouvoir politique.
Vous avez déjà vu un clown au Gouvernement ? Non, ne répondez pas, on va encore avoir des ennuis. Ce n'est pas gentil pour les clowns. Je reconnais qu’on est allé trop loin. En voulant mettre des blagues dans des chroniques, on a dépassé les limites.
Mais je ne sais pas dans quel club on te prive de ton principal attaquant trois jours avant le match. En matière de liberté d’expression, même s’il faut monter sur le terrain sur une seule jambe et les yeux bandés, on va le jouer ce match !
Alors ce soir, on ne vous promet pas de marquer des buts, mais on a à cœur de montrer que la solidarité, ça existe encore, et c’est la meilleure défense !

#France #Meurice #Charline #Vanhoenacker #Humour #RadioRance

dunoir@diaspora-fr.org

#JO2024 #Paris2024 #Zbeul #Grève #Blocage #Sabotage

Vive les jeux du zbeul 2024 !

Alors on appelle tous-tes celle-ux qui sont plus partisan-nes du feu de joie que de la flamme olympique à prendre part aux jeux du zbeul 2024. Un blog (zbeul2024.noblogs.org) et un compte twitter (@Zbeul2024) serviront à relayer des initiatives de zbeul antiJO, que ce soit là où se dérouleront les épreuves comme n’importe où ailleurs ! (...)

dunoir@diaspora-fr.org

À Douarnenez, au début du 20e siècle, l'industrie sardinière employait des femmes, parfois très jeunes, pour préparer les sardines avant de les mettre en boîtes - Wikimedia Commons - Domaine public - Source : Collection personnelle - Author : anonyme

#Femmes #Grève #Douarnenez #1924 #Radio #France-Culture

La grande grève de 1924

Douarnenez, 1924. Les hommes sont en mer et les femmes à terre, les mains dans le poisson, travaillant dans les nombreuses conserveries que compte la ville. À la clé, des journées interminables et des salaires dérisoires pour celles surnommées les « Penn Sardin ».
Avec :
- Fanny Bugnon Historienne à l'Université Rennes 2, autrice
- Théo Bernard Doctorant en histoire à l'Université d'Évry Val d'Essone, auteur d'un mémoire intitulé "La grève des sardinières et des manœuvres des usines métallurgiques et des fabriques de conserve de Douarnenez (1925-1925). Stratégies politiques et identités ouvrières"
- Alain Le Doaré Historien, conférencier, spécialiste de la Bretagne, commissaire d'exposition, auteur
- Anne-Denes Martin Écrivaine
- Marie-Aline Lagadic Chanteuse
- Klervi Rivière Chanteuse

En novembre 1924, une grève débute. Elle sera longue, agitée et finalement victorieuse. Récit de cette lutte à travers ses chants, mémoires et évènements.

Depuis l'installation des premières conserveries de poisson à Douarnenez (Finistère) au milieu du 19e siècle, la ville voit sa population grossir. Venue notamment des campagnes environnantes, la main d'œuvre arrive, et dans les usines, une majorité de femmes travaillent. Les ouvrières commencent souvent jeunes, à douze voire dix ans, et peuvent travailler jusqu'à 18 heures d'affilée pour des salaires minuscules, à la merci des arrivées de poissons. Nettoyer, vider, faire frire, mettre en boîte, le travail est dur. Alors, pour se donner du courage, elles chantent souvent.

Les chants, en français et en breton, font partie prenante de la culture ouvrière, qu'ils soient ou non directement politique comme Saluez riches heureux, souvent interdit dans les usines. Ils se transmettent de génération en génération comme le montrent encore aujourd'hui, à Pont L'abbé (Finistère sud), Marie-Aline Lagadic et sa fille Klervi Rivière, toutes deux chanteuses. Elles ont appris principalement ces chants patrimoniaux via la mémoire familiale. Leur tante, leur mère, leur grand-mère ont travaillé dans des conserveries du Pays bigouden et leur ont transmis ces airs, qu'elles-mêmes entonnaient en travaillant.

En 1905, la grève a déjà porté ses fruits : le salaire est désormais payé à l'heure, et non « au mille » de sardines travaillées. Mais il reste ridiculement bas, 80 centimes de l'heure pour les femmes. En novembre 1924, la grève gagne les usines. Les ouvrières réclament d'abord 1 franc de l'heure puis 1.25, les fameux Pemp rel a vo (en breton), slogan qui envahit les rues lors des manifestations devenues quotidiennes.
À Douarnenez, depuis 1921, la ville est communiste – l'une des premières en France. Daniel Le Flanchec, le maire nommé à la suite du décès brutal de Sébastien Velly, est un personnage atypique, « borgne et tatoué, [portant] un "mort aux vaches sur la main" comme le décrit son biographe Jean-Michel Le Boulanger. Très vite, des syndicalistes -Marie Le Bosc, Charles Tillion ou Lucie Colliard- arrivent pour appuyer le mouvement. Les marins arrêtent de sortir en mer, les soutiens financiers affluent de la France entière.
Après l'échec des négociations entre les grévistes et les usiniers, organisées par le ministère à Paris, des grèves éclatent dans les autres ports de la région.

« Devant chaque usine on s’arrêtait et on leur chantait quelque chose. (…) On n’avait hâte qu’à une chose, l’heure de la réunion et de la manifestation. On cassait deux à trois paires de sabots dans la semaine. » Extrait de Les ouvrières de la mer, Anne-Denes Martin (L'Harmattan, 1994)

Le tournant de la grève se joue le 1er janvier 1925 : le maire et son neveu sont blessés suite à des coups de feu, tirés par des « jaunes », des casseurs de grève payés par les patrons. Le 6 janvier, un compromis est trouvé, c'est la victoire pour les grévistes !

Près de 80 ans plus tard, en 2005, Claude Michel écrit avec des lycéens, une chanson en mémoire de cette lutte historique, Penn Sardin, depuis régulièrement chantée dans des manifestations dans toute la France. En février 2024, la chorale Kanit'Ta, emmenée par Manon Hamard, l'entonne sur la place des Halles : Écoutez claquer leurs sabots / Écoutez gronder leur colère / Écoutez claquer leurs sabots / C'est la grève des sardinières.

dunoir@diaspora-fr.org

#LuttesSociales, #Sport #JO2024 #Blocage #Grève

La grève générale pour les Jeux Olympiques ?

C’est désormais clair pour tout le monde : les Jeux Olympiques qui auront lieu à Paris cet été seront un sommet d’horreurs anti-sociales, d’expérimentations liberticides, une auto-célébration macroniste et probablement un ratage historique en mondovision puisque rien n’est prêt. Bref, la Start-up Nation va se taper une honte internationale.

Mais il reste un domaine dans lequel notre pays peut se démarquer et retrouver un peu de fierté : la révolte.

La CGT était jusqu’ici frileuse pour un appel à la grève pendant les Jeux Olympique. En décembre, sa représentante déclarait : «La CGT ne va pas s’amuser à gâcher la fête pour des millions de Françaises et de Français».

À présent, le ton a changé. Car Macron ne se contente pas d’avoir écrasé le plus grand mouvement social depuis Mai 68 en imposant le recul des retraites par 49.3, il continue à frapper dans tous les sens : destruction des allocations chômage, suppressions de milliers de postes dans l’éducation, cure d’austérité… Le tout en crachant au visage des «partenaires sociaux».

C’est sans doute trop pour Sophie Binet, à la tête de la CGT, qui annonce désormais un «carton rouge». Le syndicat va déposer début avril des préavis de grève dans la fonction publique pour la période des Jeux, du 26 juillet au 11 août. Les secteurs concernés pour le moment sont les transports et l’hôpital.

C’est simple, une seule profession a obtenu des primes énormes pour les Jeux : la police. Chaque agent pourra toucher jusqu’à 1.900 euros de prime lors de l’événement. Quant aux centaines de milliers de petites mains qui travailleront au même moment : zéro.

Une grève géante qui paralyserait les Jeux Olympiques ? De quoi donner des cauchemars au gouvernement. Mais ce n’est pas tout, du 20 au 21 Juillet 2024, une mobilisation internationale contre les mégabassines aura lieu dans le Poitou, alors que les caméras du monde seront rivées sur la France. Et un peu partout, des appels s’organisent pour perturber le passage de la flamme olympique.

Ces Olympiades seront-elles l’occasion de se venger du gouvernement et de monter sur le podium mondial de la révolte ? La réponse cet été

vincezd@pod.geraspora.de

Article incroyable dans le dernier #fakir de février 2024 sur la grande distribution. Et notamment sur les magouilles totalement illégales du groupe #casino, et comment l' #URSSAF, le #FISC, l' #OCLTI (office central de lutte contre le travail illégal), les centres des impôts ou les ministres se couchent ( #darmanin, #lemaire). Explications d'initiés.

Sur la piste des étrangleurs (et de leurs complices)

https://fakirpresse.info/sur-la-piste-des-etrangleurs-et-de-leurs-complices (extrait, achetez le numéro en kiosques !)

Tu es en train de m’expliquer Casino ne paie pas les cotisations sociales ni patronales de milliers d’employés dans ces magasins, ni même une partie de ses impôts sur les bénéfices…
— C’est exactement ça.

En revanche, ils tiennent un double discours auprès des différentes administrations : ils se débrouillent pour faire passer mes salariés pour les leurs auprès de l’Urssaf et toucher le #CICE, le Crédit impôt compétitivité emploi.

Donc, le manque à gagner est colossal pour l’État. Moi, ma supérette avait 10.000 euros de masse salariale mensuelle. Et vous avez entre 6 et 10.000 gérants associés, autant de comptes personnels utilisés pour payer les salariés. Alors, oui, c’est colossal.
— De combien, tu as une idée ?
— À une époque, je faisais les calculs. J’additionnais. Mais moi, je ne suis pas un chevalier blanc, je suis toujours en activité : tout ce que je fais là, je le fais la nuit. J’ai arrêté de compter à dix milliards

Ensuite cette personne explique comment il enregistre, sous huissier, des preuves de caisse noire et autres manipulations de caisse, qu'il fait suivre les dossiers à l'URSSAF, qu'aucun dossier n'est suivi…

Je suis allé au centre des impôts. J'avais RV mais je constate qu'on m'a inscrit sous un faux nom. Je ne comprends pas. Un emplyé arrive, et me reçoit dans une pièce à part, et de manière anonyme, donc. Il me dit, visiblement embêté: "Écoutez, je suis votre dossier, vous avez raison sur toute la ligne, mais… ma hiérarchie ne veut pas qu'on poursuive ça. Elle me retire le dossier. Mais continuez à vous battre."

et ça continue.

Les gérants Casino paient les salariés sur leurs fonds propres, et sont remboursés par le groupe. Le groupe contrôle les prix des magasins par un système informatique centralisé, ce qui leur permet de créer un déficit de 200 000 euros en cinq minutes… que les gérants doivent rembourser sur leurs fonds propres.

Mais ce n'est pas tout, il y a d'autres témoignages glaçants, et un exemple de #grève victorieuse !

#grandedistribution #leclerc #mafia #naouri #inflation

dunoir@diaspora-fr.org

#Éducation #mobilisation #Grève #Manifestation

Nouvelle journée de mobilisation des travailleureuses de l’éducation

Après la réussite de la journée de grève du 1er février, plusieurs organisations syndicales appellent à une nouvelle journée de grève le mardi 6 février. Un rassemblement est organisé devant la DSDEN à 11h30.

Après la réussite de la journée de grève du 1er février, nos organisations SNES-FSU, CGT Educ’action et SUD éducation appellent à la grève le mardi 6 février.
Oui au choc des salaires….

Le 1er février, les personnels ont largement dénoncé le mépris de la ministre pour l’École publique mais aussi les politiques qui organisent une forme de séparatisme scolaire et social.
Ils ont réaffirmé leur attachement à l’Ecole publique, laïque, gratuite et obligatoire. C’est aussi la politique menée par Amélie Oudéa-Castéra et Gabriel Attal qui suscite une grand colère chez les personnels. Le dossier des salaires ne peut pas être clos : les mesures prises ne permettent même pas un rattrapage des pertes de ces dernières années. Le pacte n’est pas de la revalorisation, mais une charge de travail supplémentaire et une attaque contre notre statut.
Non au choc des savoirs !

Le choc des savoirs dessine les contours d’une École passéiste et conservatrice. A travers les groupes de niveaux, c’est l’École du tri social qui se met en place. Nous n’avons pas choisi ce métier pour trier les élèves, mettre à l’écart les élèves les plus en difficultés, voire même les élèves en situation de handicap ou allophones ! La mise en place des groupes de niveaux à marche forcée destabilise aussi les collèges : quoi qu’en dise la ministre, il y a bien des suppressions de dédoublements, d’options pour financer ce dispositif pourtant largement rejeté par les personnels sur le terrain. Cette mise en place à marche forcée est d’une grande violence pour nos collègues qui voient leur identité professionnelle niée.

La colère est grande chez les personnels. Après une première journée réussie, pour gagner, il faut continuer l’action et amplifier le rapport de force ! Le SNES-FSU, la CGT Educ’action et SUD éducation appellent à poursuivre et amplifier rapidement la mobilisation pour nos salaires et pour l’abandon des contre-réformes de tri social du collège et des lycées comme les mesures choc des savoirs : soyons nombreuses et nombreux en grève le mardi 6 février.

SNES-FSU, CGT Educ’action et SUD éducation

La CNT-FTE 42 appelle également à se joindre au mouvement.

dunoir@diaspora-fr.org

#Argentine #Argentina

#milei, #ExtrêmeDroite, #CryptoFascisme, #libertarianisme, #libertarien, #libertarisme" #anarcho-Capitaliste " #LuttesSociales, #Grève, #Manifestation, #Repression
#milei, #ExtremaDerecha, #CriptoFascismo, #libertarianismo, #libertarianismo, #libertarianismo" #anarcoCapitalista " #LuchasSociales, #Huelga, #Manifestación, #Represión

affrontements contre le nouveau gouvernement d’extrême droite

lien de la #Vidéo : https://contre-attaque.net/wp-content/uploads/2024/02/GEg5XxlEhKpRREwDAOekrG72SVQobmdjAAAF.mp4

Le 31 janvier et le 1er février, l’Argentine a connu deux journées de grève et de manifestations contre le nouveau gouvernement d’extrême droite. Javier Milei, le* président récemment élu*, impose au pays une thérapie de choc ultra-libérale et autoritaire. Cet adepte du capitalisme le plus extrême veut aussi largement restreindre la possibilité de manifester et de revendiquer dans la rue.

Parmi les premières mesures de Milei, la «loi omnibus» qui vise à déréguler l’économie et donc à appauvrir massivement les plus pauvre et provoquer une récession, soi-disant pour assainir les finances publiques.

Pendant que la loi était discutée au Parlement, de grandes manifestations ont eu lieu à Buenos Aires, la capitale, avec des affrontements contre la police. De nombreux manifestants ont été blessés par des tirs de balles en caoutchouc et, comme en France, les voltigeurs ont semé la terreur en fonçant en moto vers les cortèges et en tirant sans relâche.

Le deuxième jour de mobilisation, des députés sont sortis du Congreso pour tenter de protéger les manifestants face à la police. Malgré l’effet de sidération de la victoire de
Milei, l’Argentine résiste. Il y avait le 24 janvier, déjà, d’énormes manifestations dans tout le pays.

enfrentamientos contra el nuevo gobierno de extrema derecha

enlace al #Vídeo: https://contre-attaque.net/wp-content/uploads/2024/02/GEg5XxlEhKpRREwDAOekrG72SVQobmdjAAAF.mp4

El 31 de enero y el 1 de febrero, Argentina vivió dos días de huelgas y manifestaciones contra el nuevo gobierno de extrema derecha. Javier Milei, el*[presidente recientemente elegido*, está imponiendo una terapia de choque ultraliberal y autoritaria en el país. Este seguidor del capitalismo extremo también quiere restringir severamente la capacidad de manifestarse y hacer reivindicaciones en las calles.

Entre las primeras medidas de Milei está la "ley ómnibus "** que pretende desregular la economía** y empobrecer así masivamente a los más pobres y provocar una recesión, aparentemente para consolidar las finanzas públicas.

Mientras se debatía la ley en el Parlamento, se produjeron manifestaciones multitudinarias en Buenos Aires, la capital, con enfrentamientos contra la policía. Numerosos manifestantes resultaron heridos por balas de goma y, como en Francia, los voltigeurs sembraron el terror corriendo hacia las procesiones en moto y disparando sin descanso.

El segundo día de manifestaciones, los diputados salieron del Congreso para intentar proteger a los manifestantes de la policía. A pesar del asombroso efecto de la victoria de Milei
victoria de Milei, Argentina resiste. Ya el 24 de enero hubo grandes manifestaciones en todo el país.

dunoir@diaspora-fr.org

#8mars #Féminisme #CaisseDeGrève #Grève #Manifestation

La caisse de grève féministe du 8 mars a besoin de soutien !

Comme en 2023, l’Assemblée de la grève féministe de #Dijon réouvre une caisse de grève pour les grévistes (du travail salarié, des cours, du chômage, du travail domestique, de l’éducation des enfants, du travail émotionnel etc. etc. etc.) femmes et minorités de genre qui seront en grève le 8 mars 2024 pour la seconde grève féministe locale.

Une caisse de grève, c’est un outil politique qui permet de compenser financièrement le fait de faire grève pour les personnes précaires. Parce que certaines personnes minorisées, précarisées, n’ont pas la possibilité matérielle de participer aux mouvements de grève, la caisse de grève a pour objectif de compenser ces obstacles et de permettre à ces personnes de faire grève. Le but, c’est de limiter le frein financier à faire grève, pour que le plus grand nombre puisse se mobiliser.

C’est pour qui ?

La caisse de grève féministe s’adresse aux femmes et minorités de genre. Si pour des raisons financières, ce n’est pas possible pour toi de faire grève, alors inscris toi et tu pourras bénéficier de l’aide financière de la caisse de grève féministe. On ne te demandera pas de justificatifs ou de preuve de ta précarité, et tout le processus est entièrement anonymisé (aucune obligation de donner ton vrai nom et/ou prénom par exemple). On a décidé de se baser sur le principe de l’autodétermination pour la demande de compensation financière.

Comment ça marche ?

On réunit des fonds de plusieurs manières (soirées, événements, cagnotte...) et on redistribue aux personnes inscrites à la caisse de grève, pour le 8 mars 2024. Il sera proposé un minimum de 80 euros pour la journée, ou 40 euros pour la demi-journée. Après ton inscription, tu seras contacté par la caisse de grève afin de valider ta demande. Enfin, des temps seront organisés après le 8 mars pour te remettre l’argent en espèces (tu seras informé des dates).

Tu peux t’inscrire en cliquant sur ce lien :
https://framaforms.org/inscription-caisse-de-greve-feministe-2024-1706712522

Ou lors de notre soirée en soutien à la caisse de grève le 3 février aux #tanneries

Si tu veux soutenir, tu peux nous faire un don lors de la soirée ou au lien suivant : https://www.helloasso.com/associations/attac21/formulaires/1

P.-S.

Les prochaines dates d’AGFF :
- Jeudi 8 février à 18H30 au RézoFetart
- Jeudi 21 février à 18h30 au local de la FSU (45 rue Parmentier)
- Dimanche 3 mars, de 9h30 à 17h à la bourse du travail (17 rue du transvaal)

Nos contacts pour échanger :
grevefeministe.dijon@protonmail.com
@grevefeministe.dijon sur instagram
Grève Féministe Dijon sur Facebook

dunoir@diaspora-fr.org

#Grève #Education #1fevrier

#Salaires, #postes, #ConditionsDeTravailavail, #Reformes :

éducation en danger !

Pour nos salaires, contre les suppressions de postes, contre la mise en place des réformes à marche forcée, nos organisations syndicales de la Loire : FSU, CGT Educ’Action, SUD éducation, la FNEC-FP FO et le SE-UNSA appellent à une journée de grève et de manifestations le 1er février 2024.