#ressources

tina@diaspora.psyco.fr

Traversée pour la défense de la ressource en eau.

Du Marais poitevin à la Vénétie.

À l’initiative du collectif Bassines non merci et des Soulèvements de la terre, une délégation prend la route le lundi 2 septembre pour une traversée du Marais poitevin jusqu’à Vicenza, en Italie, où se déroule un Camp climat du 5 au 8 septembre.
Cette traversée a pour objectif « d’alerter sur les enjeux d’accaparement et de pollution des eaux », et de « construire un mouvement de défense de l’eau par-delà les frontières nationales ».

#climat #bétonisation #pollutions #eau #ressources #mégabassines #bassines-non-merci #soulèvements-de-la-terre #luttes

anonymiss@despora.de

The #helium #supply #crisis

The latest helium supply crisis, dubbed Helium #Shortage 4.0, originated in 2022 after 16 years of recurring shortages. A series of unanticipated events such as explosions, fires and outages impacted recovery of the market following the launch of #Gazprom’s Amur #facility.

Source: https://www.gasworld.com/story/helium-recycling-and-cryogen-free-tech-critical-next-step-to-reduce-shortage-impact/2142978.article/

#gas #economy #news #ressources #Problem

tina@diaspora.psyco.fr

Déjouer la fin de l'eau.

Entretien.

On a souvent eu l’impression que le manque d’accès à l’eau était surtout un problème de pays en développement ou de zones arides.
Ensuite, on a considéré que l’eau était essentiellement un problème local...
Bien sûr, l’eau douce est un bien territorial, localisé dans une nappe, dans un bassin, etc, mais elle comporte aussi des aspects globaux. D’abord, parce que les cours d’eau et les nappes sont parfois transfrontaliers. Ensuite, parce qu’une fois évaporée des cours d’eau ou transpirée par les plantes, l’eau ne connaît pas de frontières nationales.
L’eau douce doit être considérée comme un bien commun global, avec toute sa complexité : le cycle de l’eau, la ressource en eau et l’eau potable ne peuvent pas être dissociés.

#environnement #ressources #eau

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Les voleurs d'eau !

La chanson date de 1989. La lutte contre le grand projet inutile de Sivens s'organise dès les années 2010 ; elle fera naître la ZAD du Testet. La portée militante de la chanson, légèrement adaptée, prend alors de l'ampleur.
La manifestation du 25 octobre 2014, contre les destructions de la forêt, se heurte aux FDO munies de grenades offensives, dont l'une tue le militant Rémi Fraisse.
Aujourd'hui, et tant que courront les voleurs d'eau, la chanson écrite sur un air traditionnel vénézuelien n'a pas fini de résonner dans les luttes contre les barrages, les mégabassines, les retenues collinaires et autres inventions d'accaparement des ressources.

No travo No JO !

-> Chanson des Voleurs d'Eau, réécrite, et chantée lors de la manif du 22 juin, au col de Lus-la-Croix-Haute, manif dénonçant les travaux en cours et les JO annoncés dans les Alpes pour 2030.

Ils détournent la rivière, là haut, là haut
Ils se moquent de nos misères, là haut, là haut
Si la soif nous affaiblit
Et si nos sources sont taries
Tous nos troupeaux
Vont périr l’un après l’autre, là haut, là haut
Il faut sortir nos fusils, là haut, là haut
Il faut lutter pour nos vies
Mais d’abord il nous faut parler
À ces gringos tantôt

Nos terres sont les plus fertiles, c’est l’eau, c’est l’eau
Et nous vivions si tranquilles, de nos travaux
Quand nous montions dans nos barques
Lorsque nous pêchions dans le lac
Heureux, heureux
Ils veulent construire un barrage, là haut, là haut
C’est la vallée qu’ils saccagent, là haut, là haut
Ils inond’ront nos villages
Et ils nous mettront dans des cages
Là haut comme des corbeaux
Nous devons les empêcher, là haut, là haut
De détruire nos foyers, si beaux, si beaux
Les adultes vont s’armer
Tous les enfants vont les aider
Il faut de l’eau, il faut de l’eau, il faut de l’eau, de l’eau

Ils nous montrent des contrats, c’est tout, c’est tout
Qui leurs donnent tous les droits, sur nous, sur nous
Ils veulent nous rayer du temps
Et puis du monde des vivants, pour de l’argent, l’argent
Que ferions-nous dans leur ville, tombeau, tombeau
Comme des tigres qu’on exile, au zoo, au zoo
C’est pourquoi jusqu’au dernier
Nous lutterons pour exister
Pour l’eau, pour l’eau, pour l’eau, pour l’eau
De l’eau, de l’eau, de l’eau

Ils détournent la rivière, là haut, là haut
Ils se moquent de nos misères, là haut, là haut
Si la soif nous affaiblit
Et si nos sources sont taries
Tous nos troupeaux
Vont périr l’un après l’autre, là haut, là haut
Il faut sortir nos fusils, là haut, là haut
Il faut lutter pour nos vies
Mais d’abord il nous faut parler
De l’eau, de l’eau, de l’eau

#luttes #ZADs #chants #eau #forêts #ressources

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La régie publique est-elle une solution sociale pour préserver l’eau ?

René Revol est maire de Grabels, et aussi président de la Régie publique de l'eau de la Métropole de Montpellier. Il a théorisé la «règle bleue», selon laquelle il faut «utiliser de manière sobre la ressource en eau en privilégiant les usages fondamentaux pour permettre à la ressource de se renouveler».

#société #consommation #ressources #eau

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Mégabassines à Sainte Soline.

Épisode 1 : La CR 47 annonce "se rendre sur place" et se tenir "aux côtés des forces de l’ordre".
Épisode 2 : Des militants antibassines agressés en route vers le Village de l’eau.

Le 16 juillet. "La position de la CR 47 pose des questions légitimes : Est-ce que les forces de l’ordre ont besoin de l’aide du syndicat lot-et-garonnais ? Est-ce que la présence de ce dernier ne risque pas, au contraire, de mettre de l’huile sur le feu ?"
Le 18 juilet. "Au total, selon les témoins, deux personnes ont été blessées, des vélos et des tentes ont été subtilisés, et des pneus crevés. Même si l’agression n’a pas été revendiquée, tous soupçonnent un acte délibéré et ciblé d’agriculteurs probassines".

L'acte de manipuler n'est pas seulement un art réservé aux kinésithérapeutes. Les médias font ça très bien, et les services de sécurité fournissent la pommade.

#sainte-soline #mégabassines #ressources #eau #agriculture #violences #luttes #résistances

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L’insoutenable coût écologique du boom de l’IA.

D’après une projection de l’Agence internationale de l’énergie, l’industrie mondiale des centres de données, de l’IA et des cryptoactifs devrait doubler sa consommation d’électricité d’ici 2026, générant un surplus de 37 milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère.
Ce qui représente l’équivalent de la consommation annuelle d’un pays comme le Japon. En France, ce seul secteur devrait générer, chaque année, 50 millions de tonnes de CO2 en 2050, alertent les autorités de régulation Arcep et Arcom.

#climat #ressources #énergies #CO2 #numérique #IA

Sans compter les dérives et le bien-fondé de l'utilisation de cette technologie. Comme le disait Joanna Maciejewska, et comme s'en inquiètent d'autres artistes, que devient l'humain dans la création, ou quid des droits d'auteurs, par exemple ? Technologie intéressante, donc, pour son potentiel, mais surtout génératrice de profits énormes selon dans quelles mains elle se retrouve. Celles qui nous crééent des besoins que nous n'avons pas forcément (voir : consumérisme).
Et aussi, génératrice de graves déséquilibres environnementaux.