#forêts

tina@diaspora.psyco.fr

Réparer le cycle de l’eau grâce à l’hydrologie régénérative

Ralentir, répartir, infiltrer et stocker l’eau dans le sol ; densifier la végétation.
Repenser la gestion des rivières, des eaux pluviales en ville, par l’aménagement du territoire, l’activité agricole et/ou forestière.
"Les rivières sont perturbées lorsqu’on les dévie, les canalise ou les enterre, quand on ne les supprime pas, ce qui accélère les flux d’eau en surface".
D’autres pistes accessibles se passent à l’échelle locale, comme l’arrêt de projets tels que les méga-bassines ou les grandes infrastructures routières pour aménager le territoire via la mise en œuvre de la loi ZAN (Zéro Artificialisation Nette). Ou/et désimperméabiliser les sols en contexte urbain : les parkings, les cours d’école, tous les espaces qui peuvent être re-végétalisés.

« Il y a un proverbe Africain qui dit : on entend l’arbre qui tombe, mais pas la forêt qui pousse. »

#eau #forêts #hydrologie #hydrologie-régénérative #cycle-de-l-eau

friendicare@loma.ml

Cambodge : vrai carbone, faux crédits? Enquête sur une déforestation massive • FRANCE 24

inv.nadeko.net/watch?v=EBiT6jh… ou invidio.us/watch?v=EBiT6jh8TZA

Le Cambodge, qui compte environ 40% de #forêts sur son territoire, s’érige en champion des crédits carbone en Asie. Ce système est censé permettre de financer la protection des forêts du pays grâce à l'argent injecté par des multinationales du monde entier. Depuis dix ans des entreprises, notamment françaises et américaines, dépensent ainsi des millions d'euros pour acheter ces crédits leur permettant de compenser leur empreinte carbone. Mais l'enquête de nos correspondants au Cambodge révèle une déforestation massive à l'intérieur même des zones protégées. En 2023, le royaume a perdu 121 000 hectares de forêt, l'équivalent de la superficie de la ville de Los Angeles.

Real carbon, false credits? Investigating mass deforestation in Cambodia • FRANCE 24 English
inv.nadeko.net/watch?v=PZr3JK6… or invidio.us/watch?v=PZr3JK60XUE

tina@diaspora.psyco.fr

Pour gagner 1 h de train, on va raser une forêt et dépenser 14 milliards d’euros

GPSO : le projet pharaonique à 14 milliards d’euros appelé « Grand Projet Ferroviaire du Sud-Ouest ». Il consiste à créer une ligne de TGV en parallèle aux voies ferrées déjà existantes (TER, Intercités, fret) entre Bordeaux et Toulouse, avec un embranchement vers Dax.

Seules quatre villes seront desservies : Bordeaux, Agen, Montauban et Toulouse. Ce seul tronçon aura une emprise totale de 6300 ha, dont 1500 ha de terres agricoles ; 3000 ha de forêts et 370 ha de zones humides seront détruites et/ou artificialisées.

Des Écureuils du GNSA (Groupement National de Surveillance des Arbres) ont commencé à s’installer dans les arbres menacés sur le tracé, le 31 août à Castelnau-d’Estretefonds, près de Toulouse, au niveau de l’écluse n°7 du Canal du Midi.
Le 19 septembre, le GNSA a passé le flambeau à d’autres Écureuils, pour certains venu.es de la lutte contre l’A69.

Et là encore, il n’y a eu aucun dépôt de demande de dérogation, pourtant obligatoire, pour la coupe de ces arbres d’alignement.

#GPSO #réseau-ferroviaire #environnement #terres #forêts #écosystèmes #écocide #luttes

tina@diaspora.psyco.fr

Amazonie : une grande victoire pour les Mundurukus

La préservation de la forêt (couvrant 178 173 hectares et abritant une faune et une flore particulièrement riches) et celle du peuple munduruku sont intrinsèquement liées : les Mundurukus protègent la forêt, et la forêt répond à une bonne partie de leurs besoins essentiels, tant sur les plans spirituel et culturel que sur les plans socio-économique et sanitaire.
Cette terre appartient aux Mundurukus depuis toujours, mais elle est menacée par l’exploitation minière, l’exploitation forestière illégale et des projets de construction d’infrastructures.

Le 25 septembre 2024, le ministre brésilien de la Justice vient finalement de proclamer le territoire Sawré Muybu «Terra Indigena», après dix ans de luttes du peuple.

#Amazonie #environnement #écosystèmes #forêts #peuples-autochtones #luttes

tina@diaspora.psyco.fr

Les voleurs d'eau !

La chanson date de 1989. La lutte contre le grand projet inutile de Sivens s'organise dès les années 2010 ; elle fera naître la ZAD du Testet. La portée militante de la chanson, légèrement adaptée, prend alors de l'ampleur.
La manifestation du 25 octobre 2014, contre les destructions de la forêt, se heurte aux FDO munies de grenades offensives, dont l'une tue le militant Rémi Fraisse.
Aujourd'hui, et tant que courront les voleurs d'eau, la chanson écrite sur un air traditionnel vénézuelien n'a pas fini de résonner dans les luttes contre les barrages, les mégabassines, les retenues collinaires et autres inventions d'accaparement des ressources.

No travo No JO !

-> Chanson des Voleurs d'Eau, réécrite, et chantée lors de la manif du 22 juin, au col de Lus-la-Croix-Haute, manif dénonçant les travaux en cours et les JO annoncés dans les Alpes pour 2030.

Ils détournent la rivière, là haut, là haut
Ils se moquent de nos misères, là haut, là haut
Si la soif nous affaiblit
Et si nos sources sont taries
Tous nos troupeaux
Vont périr l’un après l’autre, là haut, là haut
Il faut sortir nos fusils, là haut, là haut
Il faut lutter pour nos vies
Mais d’abord il nous faut parler
À ces gringos tantôt

Nos terres sont les plus fertiles, c’est l’eau, c’est l’eau
Et nous vivions si tranquilles, de nos travaux
Quand nous montions dans nos barques
Lorsque nous pêchions dans le lac
Heureux, heureux
Ils veulent construire un barrage, là haut, là haut
C’est la vallée qu’ils saccagent, là haut, là haut
Ils inond’ront nos villages
Et ils nous mettront dans des cages
Là haut comme des corbeaux
Nous devons les empêcher, là haut, là haut
De détruire nos foyers, si beaux, si beaux
Les adultes vont s’armer
Tous les enfants vont les aider
Il faut de l’eau, il faut de l’eau, il faut de l’eau, de l’eau

Ils nous montrent des contrats, c’est tout, c’est tout
Qui leurs donnent tous les droits, sur nous, sur nous
Ils veulent nous rayer du temps
Et puis du monde des vivants, pour de l’argent, l’argent
Que ferions-nous dans leur ville, tombeau, tombeau
Comme des tigres qu’on exile, au zoo, au zoo
C’est pourquoi jusqu’au dernier
Nous lutterons pour exister
Pour l’eau, pour l’eau, pour l’eau, pour l’eau
De l’eau, de l’eau, de l’eau

Ils détournent la rivière, là haut, là haut
Ils se moquent de nos misères, là haut, là haut
Si la soif nous affaiblit
Et si nos sources sont taries
Tous nos troupeaux
Vont périr l’un après l’autre, là haut, là haut
Il faut sortir nos fusils, là haut, là haut
Il faut lutter pour nos vies
Mais d’abord il nous faut parler
De l’eau, de l’eau, de l’eau

#luttes #ZADs #chants #eau #forêts #ressources

tina@diaspora.psyco.fr

Nous sommes à l’aube d’un mouvement populaire de défense des forêts.

Gaspard d’Allens, journaliste, auteur de Main basse sur nos forêts et Des forêts en bataille, évoque la nécessité de construire un front commun autour des luttes forestières.

Qu’impliquerait un gouvernement d’extrême droite pour les forêts françaises ? Le Rassemblement national s’en préoccupe-t-il seulement ?
Évidemment que non. L’extrême droite n’a pas de projet pour les forêts. Je ne suis même pas sûr que Jordan Bardella sache qu’une politique forestière existe. Comme l’écologie de manière générale, le sort des forêts n’apparait pas dans le programme du Rassemblement national. Lors de la fameuse soirée organisée par Valeurs actuelles, où le journaliste Hugo Clément est malheureusement allé débattre avec Bardella sur ce sujet, ce dernier n’a pas su répondre aux questions qui lui étaient posées sur les forêts. Pas de doute qu’un gouvernement d’extrême droite irait dans le sens des dynamiques à l’œuvre : accélération de l’industrialisation, concentration des acteurs, répression des militants écologistes… Historiquement, les régimes fascistes aiment les forêts plantées, droites, en rang, au cordeau. Les régimes de ce genre au Portugal et en Espagne ont par exemple participé à d’énormes campagnes de plantation d’eucalyptus sur des forêts existantes, des terres agricoles jugées improductives, des biens communaux.

Et un gouvernement de gauche porté par le Nouveau front populaire ?
Là ce serait autre chose. Déjà, deux points sont dédiés aux forêts dans le programme qui a été publié la semaine dernière : « Protéger la forêt en garantissant la diversité des essences, avec une filière sylvicole respectueuse de la biodiversité et des sols, garantissant les qualifications et les emplois des forestiers » et « rétablir les milliers de postes supprimés dans le service public de suivi et de protection de la nature », notamment à l’ONF. On lit aussi qu’il y aurait un moratoire sur les projets d’autoroute ou sur les méga-bassines. Nous avons su, par nos luttes et nos pressions sur le terrain, imposer ces sujets aux appareils politiques. Les partis de gauche n’ont pas pu faire l’impasse.

#écosystèmes #forêts #forêts-vivantes #luttes-forestières

tina@diaspora.psyco.fr

Simona avec le lynx femelle Agata. Photo : Lech Wilczek.

Qui a entendu parler de Simona Kossak ?

Elle est née en 1943. C'était une scientifique, une écologiste et une militante, qui s'est battue pour protéger la plus ancienne forêt d'Europe. C'était aussi une personne fascinante. Les habitants la traitaient de sorcière, parce qu'elle parlait avec les animaux et possédait un corbeau "terroriste" qui volait de l'or et attaquait les cyclistes. Elle a passé plus de 30 ans dans une cabane en bois dans la forêt de Białowieża (Pologne), sans électricité ni accès à l'eau courante. Un lynx dormait dans son lit, et une laie apprivoisée vivait avec elle sous le même toit.

— En savoir plus : -> Culture.pl (eng).
— D'autres nombreux liens avec les mots-clés 'Simona Kossak' sur un navigateur.
Trailer du film "Simona". Film primé de Natalia Koryncka, sorti en 2022. (via Invidious).

#écologie #biologie #sciences #militantisme #forêts #écosystèmes

tina@diaspora.psyco.fr

Planter 1 milliard d’arbres : comment le plan de Macron rase des forêts.

Ce projet est une supercherie, dénoncent des associations. Il servirait à financer des coupes rases et à industrialiser la filière : les millions d’euros d’argent public déversés servent de prime aux coupes rases et transforment des forêts diversifiées en monocultures résineuses.

Un rapport intitulé «Mesure renouvellement forestier. Bilan France Relance 2021-2023» (émanant de la DGPE du ministère de l’Agriculture) indique que 15 millions de plants d’arbres auraient été replantés sur 10 000 hectares de forêts qualifiées de «pauvres»* par le gouvernement, alors que ces forêts rasées étaient en réalité saines et bien portantes.
*Un peuplement est considéré comme «pauvre», lorsque sa valeur économique est inférieure à 15 000 euros l’hectare, soit environ trois fois son coût de plantation.

Des coupes rases sur 6 500 hectares auraient même été réalisées en zone Natura 2000. Sur ces surfaces dévolues d’ordinaire à la protection du vivant, 1 500 hectares auraient été ensuite plantés exclusivement en pins douglas, une essence prisée par les industriels.

«C’est une supercherie, un non-sens écologique et climatique. Une forêt pauvre, il faut l’enrichir, pas la détruire», remarque Christophe Chauvin (pilote du réseau forêt à France Nature Environnement).

On dirait que tout le monde s'en fout, de toute façon...

#nature #environnement #forêts #magouilles #filière-bois #pognon #anthropocène

dudababel@diaspora-fr.org

Le bois sale d'IKEA

Depuis près d'une décennie, IKEA s'est lancé dans une frénésie d'achat de terrains, s'emparant de forêts ancestrales en Roumanie.

Le géant de l'ameublement est aujourd'hui le plus grand propriétaire foncier privé du pays. Cependant, de récents rapports alarmants ont révélé ses pratiques d'exploitation forestière destructrices dans quelques-unes des dernières forêts anciennes d'Europe.

Face à ces accusations, IKEA a réagi en lançant une campagne de communication visant à discréditer cette étude et à tromper le public. Mais nous ne les laisserons pas s'en tirer à si bon compte.

En unissant nos forces, nous pouvons riposter par notre propre campagne de communication pour que le public apprenne la vérité sur la provenance du bois d'IKEA, et que soit dénoncée la fausse image écologique que l'entreprise aime cultiver. Nous ciblerons ensuite son PDG avec de puissantes publicités jusqu'à ce que l'entreprise change ses pratiques.

IKEA se vante de son bilan environnemental, mais ses acquisitions massives de terres forestières révèlent une réalité bien différente. IKEA possède aujourd'hui 51 000 hectares de terres en Roumanie, où les deux tiers des forêts vierges du pays ont disparu depuis 2007.

L’entreprise est aujourd’hui dénoncée pour avoir coupé à blanc ces forêts sans permis ni études d'impact sur l'environnement. Ce bois se retrouve ensuite dans des meubles vendus en Allemagne, en France et au Royaume-Uni.

Cette situation dépasse largement les frontières de la Roumanie. IKEA est le plus grand consommateur de bois au monde, et cette tendance croît à une vitesse alarmante. Au cours de la dernière décennie, le géant de l'ameublement a DOUBLÉ sa consommation de bois !

Si nous ne forçons pas l'entreprise à rectifier ses pratiques, il sera bientôt trop tard. Toutefois, nous savons que la pression de l'opinion publique peut contraindre IKEA à revoir ses positions. En 2021, une enquête a révélé qu'IKEA utilisait du bois russe obtenu illégalement pour fabriquer ses meubles pour enfants. Après un tollé général, IKEA a promis de cesser de s'approvisionner auprès de ce fournisseur aux méthodes illicites.

Nous devons désormais redoubler d'efforts pour sauver les dernières forêts de Roumanie. Êtes-vous prêt à soutenir notre campagne de communication pour faire pression sur les dirigeants d'IKEA et les inciter à changer de cap avec des publicités percutantes ?

Faire un don
Allison Johnson sur Eko (je n'arrive pas à vérifier son identité)


Documentation :

#foret #forêt #forets #forêts #roumanie #ikea #couperase #coupe_rase #écologie #ecologie #deforestation #déforestation

dandauge@fedi.thechangebook.org

Forêts publiques, luttes collectives : rencontre avec le forestier Daniel Pons

Image/photo

#Forêts publiques, #luttes collectives : rencontre avec le forestier Daniel Pons

Depuis sa créa­tion au milieu des années 1960, l’Office natio­nal des forêts (ONF) fait l’ob­jet d’in­jonc­tions contra­dic­toires : pro­duire plus de bois, mieux pré­ser­ver les forêts publiques. Et ce avec de moins en moins de per­son­nel. En vingt ans, le nombre de fores­tiers est pas­sé de 10 000 à 7 000. Sur la même période, une vague de sui­cides sans pré­cé­dent marque l’ins­ti­tu­tion. Les syn­di­cats mul­ti­plient alors leurs actions, pre­nant au sérieux la san­té phy­sique et men­tale des tra­vailleurs et des tra­vailleuses des bois. Parmi les figures de ce syn­di­ca­lisme fores­tier se trouve Daniel Pons. Après une car­rière pas­sée à obser­ver, apprendre et se battre, il n’est pas rare, aujourd’­hui, de le croi­ser à l’oc­ca­sion d’une mobi­li­sa­tion contre l’in­dus­tria­li­sa­tion des forêts : https://www.revue-ballast.fr/forets-publiques-luttes-collectives-rencontre-avec-le-forestier-daniel-pons/

tina@diaspora.psyco.fr

Quand les Néerlandais perdent volontairement leurs enfants en forêt.

Que s'appelleriont... le Dropping.

Une pratique originellement scout. Pas anodin qu'en néerlandais, scouts se dise «Padvinders», littéralement «ceux qui trouvent leur chemin».
«Les forêts néerlandaises sont toujours balisées, les enfants ne risquent pas de se perdre très longtemps», assure l'instituteur.
«Le largage, c'est quelque chose avec lequel nous sommes tous élevés», déclare Pia de Jong, écrivaine néerlandaise. Contrairement aux États-Unis, ici les enfants ont de l'instinct, car tout n'est pas pensé pour eux par les adultes.»

#Pays-Bas #forêts #éducation #tradition #rituel #parentalité

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #écriture #poésie #eaux #vie #nature #fontaine #torrent #cascade #champs #forêts #baume #chanter #désaltérer
L’Eau,
Du fleuve tumultueux au moindre ruisselet,
Exubérante l’eau déborde, sort des pierrées,
De partout ça bouillonne, inonde, s’étale,

Le ru discret se change en torrent, tout est en rut,
Des cascades jaillissent des falaises abruptes,
Les rochers noirs de pluie scintillent au soleil,
Des feuilles s’égouttent des chapelets de perles,
Les massifs, les prés, les champs, les forêts détrempent,
C’est un plaisir intense d’admirer la vie, l’eau,
Prendre toute sa place, celle qui lui est due,
Envahir la terre, la nourrir, la féconder,
Avant de s’infiltrer dans des baumes profonds,
Où calme elle repose chargée de minéraux,
Puis ici ou là réapparaitre mystérieuse,
Chanter aux fontaines du pays de Cocagne,
Désaltérer le passant, amuser les enfants,
De tout temps et à jamais Il en sera ainsi,
Enfin…..il faut croire à l’histoire ancienne.
Mireille Moutte

(Je prie les gens des hauts de France inondés de m’excuser., En Provence l’eau est rare et ses débordements bienvenus.)

dunoir@diaspora-fr.org

#Forêts

#Limoges #5Avril

Avenir de nos forêts : on n’est pas convié.e.s ? On s’invite !

Nous avons eu connaissance qu’une réunion de travail interdépartementale autour des questions de la forêt et du bois, était organisée par les Préfet.e.s de #Creuse, #Corrèze et #Haute-Vienne le 5 avril 2024. Ils n’ont souhaité y convier aucune partie civile, association ou collectif oeuvrant pour la forêt et la #biodiversité.

Conscients des enjeux et des intérêts vitaux que représente la forêt limousine dans son ensemble (activité humaine, qualité de l’ #eau et de l’ #air, maintien de la biodiversité, microclimat), nous pensons, en tant que citoyen.ne, association et collectif qu’il est légitime que notre voix soit représentée lors de ces rencontres. Il nous semblerait primordial, de pouvoir échanger sur ce sujet, qui nous importe à toutes et tous, afin de pouvoir avancer ensemble et dans l’intérêt commun. Nous avons donc proposé, que des personnes nous représentent lors de cette rencontre.

Ils ont décidé l’organisation de ce temps d’échange, sur les sujets qui nous concernent et y ont convié certaines parties, sans y associer la représentativité que nous avons, malgré notre sollicitation en date du 25 mars 2024.
Pas Invité.es, mais tou.te.s concerné.e.s !!!!!

En réponse, on vous propose de se rejoindre le Vendredi 5 avril 2024 à 14h30 à la Préfecture de la Haute-Vienne (salle des fêtes ; 6 rue Daniel Lamazière 87000 Limoges) pour accueillir les participant.e.s, leur transmettre nos revendications sous forme de courrier à leur arrivée et leur montrer qu’on est là malgré tout.
Vous pourrez amener votre dispositif sonore portatif, si vous le souhaitez !!

Collectif Forêts SyVa