khmelnitsky
#Ukraine #nucléaire #Uranium
Lorsque l’Union Soviétique, en 1986, retarda d’avertir les nations de l’explosion de la centrale de #Tchernobyl, tous la pointèrent très justement du doigt pour avoir manqué à son devoir de #radioprotection. Aujourd’hui alors que la #Russie a de suite averti qu’un nuage radioactif s’acheminait vers l’Europe de l’Ouest suite au bombardement de l’arsenal de #khmelnitsky, selon elle, riche en #uranium-appauvri (voire plus, déchets, sources radioactives ?), tous y voient un mensonge de guerre et une fausse alerte. L’Europe mérite-t-elle amplement son sort ?
NB. Quoi qu'il en soit de ce nuage de toute manière #toxique, l'emploi de ces #armes sur les champs de bataille de l'Est apporte invariablement des #nanoparticules, produites à l'impact par centaines de millions de milliards par gramme d'uranium, dans les #poumons de tous les européens d'abord et du monde entier ensuite sans distinction de classe. La #radioactivité-alpha, redoutable si émise à distance rapprochée, sinon nulle, des cellules vivantes, est considérablement plus dangereuse que le faible rayonnement gamma de l'uranium. Ces #projectiles à l'uranium ne font qu'augmenter le nombre déjà épouvantablement élevé d' #atomes radioactifs artificiels en suspension dans l'atmosphère depuis les essais atomiques et les récentes guerres "appauvries". Chers #négationnistes inspirez, expirez. Mais pas tout de suite, pas trop vite. Il faut laisser le temps faire son oeuvre implacable.
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