« Allergie à la viande : jusqu'à l'éco-dictature »
Traduit de l'allemand avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) :
« États-Unis d'Amérique : Les tiques végétaliennes militantes gagnent du terrain : c'est justement aux États-Unis d'Amérique, le pays des spareribs, du barbecue et du steak, que l'allergie à la viande se répand.
La vie d'un combattant de la liberté est difficile. Il se retrouve le matin dans les embouteillages professionnels, chauffe sa maison avec des matières premières qui deviendront de plus en plus chères dans les années à venir et souffre des conséquences physiques d'une alimentation à base de viande. Mais pour défendre sa liberté, il prend tout cela sur lui de manière désintéressée.
En matière de chauffage, il a tout de même réussi à donner une leçon à Robert Habeck et son SUV peut toujours rouler en ville. Seul ce fichu Jour Végé à la cantine est une mesure coercitive qui le discrimine personnellement. C'est pourquoi il ne mangera pas non plus les légumes.
Le fait d'indiquer qu'un régime végétarien produit moins de la moitié des gaz à effet de serre qu'un régime carné, et qu'un régime végétalien n'en produit qu'un tiers, est une attaque directe contre la culture dominante de la saucisse allemande et un pas de plus vers la dictature écologique.
Le combattant allemand de la liberté peut s'estimer heureux de ne pas devoir se battre pour son steak aux États-Unis d'Amérique. Certes, ses camarades là-bas sont meilleurs et plus efficaces pour remettre les pendules à l'heure et empêcher les interdictions vertes. Mais le combattant américain de la liberté et son bien culturel national qu'est le "barbecue" ritualisé sont menacés. Chez lui aussi, comme souvent en Allemagne, ce sont des tiques militantes qui sont en train de détruire son espace vital ancestral. Mais contrairement à ce qui se passe en Allemagne, ils n'occupent pas de maisons, ne se battent pas avec les nazis et la police ou ne se retranchent pas dans des villages de charbon.
Une seule morsure et les personnes concernées sont allergiques à la viande
En Amérique, les tiques imposent une véganisation forcée à laquelle aucune forme de pouvoir étatique ne peut s'opposer. Près d'un demi-million de personnes sont aujourd'hui victimes des "lone star ticks" (en français : tiques de l'étoile solitaire). En cas de non-respect du diktat des légumes, les réactions physiques risquent d'être violentes - dans le pire des cas, même la mort. Le fait que ces véritables tiques, reconnaissables à la tache blanche sur leur dos, se propagent de plus en plus n'a rien à voir avec un complot d'activistes climatiques radicaux végétaliens, mais avec ce contre quoi ils luttent. En effet, la crise climatique crée des conditions de vie idéales au-delà de l'aire de répartition naturelle des tiques dans le sud-est des États-Unis.
Si une morsure de ces suceurs de sang s'accompagne d'une réaction allergique à la viande, c'est grâce à la molécule de sucre alpha-gal contenue dans la salive des tiques. Lorsque le système immunitaire réagit à la morsure, il stocke cette molécule en tant que substance dangereuse.
Malheureusement, cette molécule est également présente dans la viande de la plupart des mammifères qui se retrouvent dans les assiettes américaines. Résultat : chaque bouchée de viande de porc, de bœuf et autres, mais aussi chaque gorgée de lait ou d'oursons gélatineux, déclenche - et entraîne - le système immunitaire, de sorte que les réactions deviennent de plus en plus violentes. La consommation de viande peut entraîner des éruptions cutanées, des pustules et des plaques, des crampes d'estomac et des diarrhées, mais aussi des difficultés respiratoires et, dans le pire des cas, l'arrêt respiratoire et la mort. Les réactions se produisent avec un certain retard, ce qui fait qu'un lien direct entre la consommation de viande et les symptômes n'est pas immédiatement visible.
C'est dommage que les tiques ne se laissent pas impressionner par des concepts tels que la "liberté individuelle", comme la politique verte et les alternatives respectueuses du climat. Pour les personnes concernées par l'allergie à la viande, la liberté signifie donc à l'avenir, contrairement aux combattants de la culture : "Jour végé, chaque jour". »
Grâce @mikhailmuzakmen@pod.geraspora.de.
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