La France, elle, s’apprête à l’injecter à tous ses élèves de 5ème ! filles et garçons.
On y trouve notamment du borate de sodium, qui intervient dans la composition de la mort aux rats, et donc classé toxique par l’Union européenne, avec l’avertissement suivant : « peut nuire à la fertilité et au fœtus » [19] !
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Étonnant pour un vaccin destiné prioritairement aux femmes !
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Sans surprise, le premier effet secondaire est donc l’infertilité.
Il ressort de tout cela que le rapport bénéfice/risques du vaccin anti-HPV est désastreux.
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Je vous le disais, au bout d’un an d’une de ses campagnes officielles de vaccination, le Japon a cessé de recommander le vaccin, suite à des dizaines de cas de « syndromes de brûlures chroniques [34] ».
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Une décision courageuse. Et en France ?
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Eh bien, en France… le ministère de la santé a décidé en décembre 2019 d’étendre sa recommandation de vaccination aux garçons [35].
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Et maintenant, Emmanuel Macron entend généraliser la vaccination à tous les adolescents, garçons comme filles !
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La question que je pose maintenant est : pourquoi ?
Pourquoi Emmanuel Macron généralise-t-il la vaccination anti-HPV ?
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La France compte 6300 cas de cancers du col de l’utérus.
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Le taux de survie à 5 ans est de 63% à un stade avancé, et de 90% à un stade précoce.
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Emmanuel Macron entend donc vacciner des dizaines de millions de Français, notamment des enfants, pour espérer (je dis bien espérer, car l’efficacité de ce vaccin est, d’après les chercheurs britanniques, « surestimée ») sauver entre 1000 et 2000 personnes…
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Exposer la santé de millions de Français aux graves effets secondaires de ce vaccin pour sauver 1000 à 2000 vies ne tient pas debout, on s’en rend bien compte.
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Pourquoi alors généraliser cette vaccination ?
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Par intérêt financier et industriel.
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Le Gardasil a bénéficié d’un emballement médiatique incroyable et d’un très gros investissement de lobbying de la part de l’industrie pharmaceutique.
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Avant la sortie des vaccins anti-Covid, le vaccin anti-HPV était le deuxième vaccin le plus lucratif du monde.
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Pour la seule année 2016, le Gardasil a rapporté 2,5 milliards de dollars au laboratoire Merck [36].
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Peut-on dire que, grâce à lui, on a pu lutter contre un problème de santé d’ampleur planétaire, une épidémie mondiale ?
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Eh bien même pas.
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Loin de là.
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En France, le cancer du col de l’utérus n’est « que » le 12è cancer touchant les femmes : 2797 femmes étaient atteintes de ce cancer en 2015. Bien sûr c’est dramatique pour les personnes atteintes.
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Mais ce chiffre est « modeste » comparé aux 54 062 femmes atteintes d’un cancer du sein la même année, et aux 53 913 hommes atteints d’un cancer de la prostate [37] !
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Alors deux questions se posent :
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pourquoi avoir fait de la lutte contre le cancer de l’utérus une croisade de santé publique dans tant de pays,
pourquoi le Gardasil fait-il un tel carton ?!
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Le succès du Gardasil repose en réalité sur :
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son prix élevé (plus de 400 euros pour les trois injections nécessaires) ;
la politique vaccinaliste des États, y compris et surtout la France, où 11 vaccins sont déjà obligatoires, ce qui fait de nous les champions d’Europe, et une exception dans le monde.
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A présent que le vaccin sera administré à tous les collégiens de France, garçons compris (sous l’argument fallacieux qu’ils sont porteurs du virus, évidemment, puisqu’ils ne peuvent par définition développer un cancer du col de l’utérus !), vous imaginez le jackpot absolu pour les laboratoires commercialisant ces vaccins.
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La campagne de vaccination généralisée à la rentrée prochaine est annoncée comme « gratuite » par M. Macron, mais vous vous doutez bien que c’est nous, contribuables, qui allons en réalité la financer : Merck ne va pas raser gratis !
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La démarche de connivence entre l’industrie pharmaceutique et le pouvoir est, dans cette affaire, outrageusement cynique.
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Nous devons refuser cette vaccination généralisée inutile et dangereuse, de toutes nos forces !
