#anticapitalisme

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✨ ★ Ⓐ #anarchisme #Liberté #autogestion #émancipation #écologie #antimilitarisme #anticléricalisme #rationalisme #fédéralisme_libertaire #feminisme #antiétatisme #anticapitalisme #antifascisme #internationalisme

★ Ⓐ 1er Ministre, bien le merci !

🟥 " Non je ne suis pas devenu fou, en fait ce qui s’est passé pour sa désignation, est un pur exemple de ce que dénoncent les anarchistes depuis très très longtemps. Donc oui merci tant il en est, que ce tour de passe-passe malhonnête, ait ouvert les yeux à certaines et certains qui croyaient encore que les élections servent à quelque chose et que placer le pouvoir dans des mains douteuses, certes élues, est un exercice, aventureux et dangereux (...) "

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★ Ⓐ Barnier : barre à droite toute...

" Le mouton à cinq pattes était un secret de Polichinelle, le nom de Barnier circulait déjà dès le début de l’été.

Alors, tout ça pour ça. Ainsi va le macronisme. Petit rappel.

Juste après les élections législatives, la gauche était en quête d’un premier ministre. A ce moment, le NFP nous a légué l’image d’une politique spectacle des plus sordides. Chaque parti de la coalition tirait la couverture à lui. Les socialistes avaient leurs prétendants à la fonction, les communistes avaient André Chassaigne, les Insoumis avaient aussi leurs champions, Mélenchon pensant même faire partie de la solution. Les écologistes faisaient figure d’un peu plus de dignité se gaussant des rivalités d’ego et avaient surtout bien compris l’image déplorable que donnaient les ambitions des uns et des autres vis-à-vis de leurs électeurs… Ils attendaient tous un coup de fil de Macron en tant que chefs de partis du NFP et comme sœur Anne, ils ne virent rien venir. Ce dernier voulait laisser passer les Jeux Olympiques et s’entretenir à compter du 23 août avec les chefs de partis. En réalité, le chef de l’Etat laissait pourrir la situation.

Entre temps, le NFP avait trouvé la perle rare : Lucie Castets. Exit Laurence Tubiana et Huguette Bello.

Jusqu’au dernier moment Macron essaya de trouver une coalition pour gouverner. Il était prêt à tous les rafistolages après s’être emmêlé les pieds dans le tapis de la dissolution. Il alla même jusqu’à dire que les élections n’étaient pas tout à fait une défaite pour le camp présidentiel. L’enfant-roi ne voulait simplement pas avoir tort. Il espérait toujours une coalition autour du bloc central en excluant le RN et LFI. Un grand démocrate, ce monsieur. Car il s’agit bien de leur démocratie en l’occurrence (...) "

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🔥 #FrontPopulaire #histoire >< #anarchisme #anticapitalisme #Révolution

★ Ⓐ 1936 : le Front populaire contre les occupations d’usines...

" L’affrontement avec le Front populaire a longtemps marqué la culture ouvrière française. Juin 36 puis mai 68 ont revivifié un imaginaire de lutte dont les antécédents se trouvent dans la commune de 1871 ou les révoltes de 1848. Une des supercheries de la vision républicaine de notre histoire a été d’attribuer ces « révolutions manquées » à des étapes nécessaires d’une évolution sociale : les acquis sociaux. Avec les premiers congés payés, elle a drapé les luttes de « justes récompenses », comme pour mieux usurper les contenus souvent radicaux des occupations d’usines. Pendant toute cette période, le discours de la SFIO et du PC a été de combattre une situation révolutionnaire. Les syndicats ont lancé le mot d’ordre de « savoir terminer une grève ».

L’espoir qu’a suscité juin 36 a été comparable à ceux que soulevèrent les événements cités plus hauts. Pendant la période où la SFIO a tenu le pouvoir parlementaire, sa politique a été de tout faire pour aboutir à un « temps de pause ». Dans le même temps, elle se positionnait devant le patronat comme la seule force capable de tenir la barre. Elle a usé de tout un appareil d’État pour réprimer ceux et celles qui débordaient la CGT dans laquelle réformistes et staliniens étaient de nouveau réunifiés aux moments des faits. Cette transformation pragmatique de la social-démocratie l’a amenée, en trois ans, du « Front populaire » au « front national des Français » puis au « front de la guerre », jusqu’à ce que, finalement, avec la même assemblée qui conduisit le Front populaire elle vote les pleins pouvoirs à Pétain... (...) "

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