#conditions

mimoutte@diaspora.psyco.fr

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Écœurement pour un monde complètement dévoyé au profit exclusif du pouvoir des plus forts. C’est pas nouveau, mais ce soir particulièrement les événements me « percutent ». On ne va plus pouvoir continuer à faire « comme si de rien n’était » regarder ailleurs !. Il va falloir joindre le geste à la parole. Être du côté du bien et s’en contenter n’est plus tenable : la charité, l’argent, la parole, l’écrit, la prise de conscience s’ils n’aboutissent pas à la transformation de cette réalité est une trahison de notre humanisme. Comment vivre et profiter pleinement de sa vie, si conscient de cette complicité tacite, on l’édulcore, la minimise , la nie, pour notre confort physique et intellectuel. Une omerta d’hypocrisie partagée par tous. Chacun, chacune a son petit chemin à suivre, à protéger, sa stratégie pour s’en sortir au mieux de ses possibilités. Le dénie de la gravite de notre condition humaine et environnementale sur la terre est abyssal. La où l’union de tous les Hommes de « bonne volonté » (l’OTAN ? L’Europe ?) serait indispensable pour un avenir désirable et durable, on se retrouve enlisés dans les tranchées d’un Verdun du XX° siècle, avec l’arme nucléaire en point de mire. Une dissuasion en berne et un progrès quelque peu régressif ! Nous allons droit dans le mur. conquérant volontairement du néant. Et si l’aventure humaine devait échouer? .. s’interrogeait Théodore Monot. Dans quel monde voulons nous survivre ? Je ne sais pas s’il existe finalement une solution à notre incapacité à vivre harmonieusement avec toutes les entités terrestres.
J’essaye de penser aux homards du Titanic ….j’ai du mal. Mireille MOUTTE

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BALLAST - Gérald le Corre, inspecteur du travail : « On laisse des travailleurs crever au boulot ! »
Avec les taux de chômage qu’on connaît, la précarité, le chantage à l’emploi n’est pas anecdotique. Dans les combats pour la santé au travail, le nœud le plus difficile à dénouer semble être celui entre le travail et les circonstances dans lequel il s’exerce. N’est-ce pas finalement la question de ce qu’on veut produire et dans quelles conditions, qu’il faudrait poser de manière plus profonde ?