#lutte-des-classes

petitpain@diaspora.psyco.fr

Le couple Pinçon et le réalisateur Basile
Les promenades sociologiques, un truc que nous avons inventé Michel et moi, c’est génial à vivre et à faire vivre ! Si on se retrouve seul confronté à la violence symbolique, sans accompagnement, c’est négatif. Tandis que là c’est une colère qui est partagée, et qui du coup devient extrêmement positive. Après, on ne connait pas toujours la suite de l’histoire…
A demain mon amour, extrait, une promenade sociologique dans le Triangle d’Or à Paris avec des lycéens... 4'40"
https://vimeo.com/687989459

ITV (d'où est pris l'extrait) : Lutter dans la joie et l’amour, par Monique Pinçon-Charlot, Michel Pinçon et Basile Carré-Agostini

Ce jour-là, les Gilets Jaunes n’ont pas fui le trottoir du restaurant l’Avenue. Ils les regardent dans les yeux, les regardent manger, leur souhaitent « bon appétit » en rigolant, tout en réclamant le rétablissement de l’ISF.
Sans violence physique, ils leur ont fait fermer les rideaux du restaurant et un Gilet Jaune leur dit à travers la vitre : « Et oui, c’est ça, il ne faut pas voir la misère ». Lui aussi venait d’être stupéfié par le prix d’une bouteille de champagne à 1500 euros, 400 euros de plus que son salaire. Comme les lycéens du début du film.

#film #itv #extrait #societe #sociologie #grande-bourgeoisie #lutte-des-classes #Monique-Pinçon-Charlot #Michel-Pinçon #Basile-Carré-Agostini #manif #Lyceen #GJ

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #humeur #humeur #prolétaires #capitalistes #communismes #riches #pauvres #libéraux #sicialisres #effondrement #explications #lutte-des-classes #immigrations #grand-remplacement

Mes explications n’ont pas l’air de vous convaincre tant que ça. Alors j’en remet une couche en changeant le titre quelque fois ça suffit……hi…hi…hi…hi

LE GRAND REMPLACEMENT..

Je crois que j’ai enfin une piste sur l’explication de l’effondrement du parti socialiste et communiste. Je la soumets à votre sagacité :

Le parti socialiste et surtout le parti communiste en défendant la classe ouvrière et la lutte des classes nous assignent à notre condition de prolétaire, qu’il faut en quelque sorte défendre. Les « libéraux » eux nous promettent ( en traversant simplement la rue) un enrichissement rapide et personnel suivant « nos mérites ». On voit tout de suite le blème…non ? Qui ne s’estime pas méritant ? Qui a envie de rester pauvre ? Qui veut revendiquer sa seule force de travail comme produit à vendre…?
Après bien sûr, au bout d’un long moment on comprend le subterfuge. À savoir que pour qu’il y ait quelques riches, il faut beaucoup de pauvres… Là où le bât blesse encore, c’est qu’il n’y a pas grand monde désireux de prendre la place des pauvres pour qu’ils deviennent riches, (vous me suivez) …Sinon les immigrés et là… incompréhension suprême, on se retourne contre eux en leur reprochant de vouloir « prendre notre place » C’est un mystère que je me propose d’étudier incessamment sous peu pour vous livrer mes cogitations distinguées dans une prochaine session de rattrapage.