#humeur

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #nouvelle #écriture #Bretagne #météo #plage #fest Noz #balade #vin #chanson #mytext #mywork #humeur #rigolade #passe-temps #tempête
Des vacances idéales,
Ni prise d’otages, ni conflits armés, ni mafiosos, ni parabellums, ni éco-terroristes à l’horizon……, juste des nouvelles pas très nouvelles, juste un temps d’automne en plein été, juste un spleen de vacancier en chaussettes de ski, juste une introspection sur les vacances qui étaient mieux avant. Donc, après un copieux petit déjeuner (c’est toujours ça de pris), une bonne douche chaude (avant l’autre froide). Vient la question existentielle : Qu’est-ce qu’on fait ? Le ciel interrogé sous tous ses angles, un briefing s’impose….La plage il ne faut pas y compter, un ciel bas, un vent violent et une bruine insidieuse n’incitent pas trop au strip-tease. Il y a toujours bien sûr en pays breton des enclos paroissiaux, des chapelles à visiter et des crêpes à déguster. La première proposition n’emporte pas la majorité, même relative et pour les crêpes il y a over-dose…..alors …alors…Un petit cocooning près des braises avec un bon thriller remporte un franc succès, un cinoche aussi, mais celui du coin à été transformé en chantier, parking, supermarché. Certains déjà prévoyant la Bérézina se sont réservés un coin de canapé. La télé ? Avec un choix dithyrambique comme le gendarme de St Tropez, Columbo ou Camping Paradis….Nous touchons le fond. Des jeux de société peut-être ? Un Monopoly ? Un mille bornes ? Un jeu de l’oie, même la sempiternelle belote est boudée. Alors, alors…Il ne reste plus qu’à enfiler ses bottes de sept lieues à la recherche d’escargots. Et puis soudain une idée géniale fuse enfin de nos cerveaux « surchauffés » : tricoter la plus longue écharpe du monde pour devancer voire même dépasser les exploits des futurs jeux olympiques. Les galéjades fusent, la rigolade s’installe, la bonne humeur bat son plein. A l’unanimité nous nous retrouvons au Bartabas du coin pour déguster un bon petit sauvignon sorti de derrière les fagots, chanter, partager, s’aimer et oublier un moment tout le reste.
Mireille MOUTTE

anar65@diaspora-fr.org

Sons de la nature : quand la planète nous parle

Écouter le son d'un ruisseau qui coule paisiblement, le chant des oiseaux ou le bruit du vent... Ces sons de la nature nous fascinent et battent des records d'écoute sur les plateformes musicales. Ils nous apprennent surtout beaucoup de nous et du dérèglement climatique.

Le bruit d’un ruisseau qui coule paisiblement au milieu d’une forêt, le chant des oiseaux au petit matin, le son du vent qui balaie les feuilles d’un arbre ou les dunes de sable d’un désert. Sur les plateformes musicales, les sons de la nature cumulent des millions d’écoutes, séduisant chaque jour de nouveaux auditeurs. Ils auraient même, selon les scientifiques, des vertus bénéfiques sur notre santé, offrant notamment à notre cerveau un véritable “repos psychique”, explique la très sérieuse étude d’une chercheuse canadienne.

“C’est une biologiste qui s’appelle Rachel Buxton et elle montre, dans son étude, que le fait d’écouter des sons naturels diminue le stress, diminue la sensibilité à la douleur et puis qu’elle améliore votre humeur. Et puis après, qu’elle améliore également vos performances intellectuelles“, précise le neurologue Pierre Lemarquis.

Mais pour écouter ces sons, encore faut-il les entendre. Car s'ils nous parlent, c’est qu’ils nous racontent aussi l’histoire de notre planète et du dérèglement climatique qui la frappe. “De tous ces enregistrements, de tous ces sons, on essaye d’avoir des informations écologiques, notamment le niveau de biodiversité dans une forêt, dans une mare ou dans un océan. On essaye de qualifier un endroit, un milieu naturel, juste en l’écoutant”, explique Jérôme Sueur, éco-acousticien au Muséum d'histoire naturelle à Paris et auteur du livre "Le son de la Terre".

Mais il est difficile désormais d’échapper à l’empreinte humaine dont les sons envahissent les endroits les plus silencieux. Des sommets de nos montagnes aux profondeurs de nos océans, des audio-naturalistes et des bio-acousticiens promènent pourtant leurs micros pour enregistrer l’écho d’un monde animal en déclin.

#Reportage #Radio #France-Inter #émission #Interception du 5 Février 2023
Podcast : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/interception/interception-du-dimanche-05-fevrier-2023-5845593
- Reportage : Olivier Emond
- Prise de sons : Laurent Macchietti et Julien Girard
- Réalisation : Jérôme Chélius, assisté de Martine Meyssonnier
- Mixage : Marie Lepeintre

Pour aller plus loin
- Le site de la Société internationale de bioacoustique (IBAC)
- Les effets incroyables des sons de la nature sur la santé - NEON, 24/03/2021
- La sonothèque du Muséum d'histoire naturelle

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nadloriot@diaspora.psyco.fr

Sunday morning brings the dawn in
It's just a restless feeling by my side
Early dawning, Sunday morning
It's just the wasted years so close behind
Watch out, the world's behind you
There's always someone around you who will call
It's nothing at all

#sundaygimp #myphoto #maphoto #mywork #sundaymorning #sunday #thevelvetunderground #remix #mood #humeur #moodoftheday
#breakfast #déjeuner #desayuno #été #summer

https://soundcloud.com/vibes4yoursoul/the-velvet-underground-sunday-morning-v4ys-watch-out-edit

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #énergie #économie #question #fondamentale #armement #bombardier #industrie #bobinettes #bombes #capitaux #humour-noir #humeur #pecnots #mywork #mytext #myquestion

Dés potron minet une question fondamentale m’assaille de nouveau je la soumet donc à votre sagacité :
Pourquoi faut-il ici et maintenant se geler les miches et ne plus prendre sa chère bagnole pour économiser l’énergie SI on développe par ailleurs, parallèlement, vaillamment et industriellement de jolis bombardiers style Mirage IV, Northrop ou autres Tupolev qui balanceront immanquablement ou malencontreusement leurs bombinettes sur nos bobinettes ?

Certes construire des autos, des frigos, des entrepôts ou des zoziaux c’est toujours des capitaux pour gonfler vos biscotos mais réfléchissons quelques instants ! Il faudra bien qu’il reste quelques pecnots pour les construire et les acheter tous vos beaux matos ! NO ?

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #humeur #EHPAD #vieillesse #exploitation #rentabilité #capitalisme #économie #exploitation #riches #pauvres #concentration #mywork #mytext

RUÉE SUR L.OR BLANC
Orpéa, les dérives d’un système ? Vraiment ! La seule dérive surprenante que je vois ici, c’est que se sont les ultras-riches (6000 à 10000 € de loyers en EHPAD) qui se sont faits « escroquer » par d’autres riches et ultras-riches, les dirigeants d’un groupe mondial leader des maisons de retraite et leurs actionnaires par ruissellement. C’est nouveau, d’habitude ce sont les salariés, smicards, chômeurs et autres traînes-savates qui sont les dindons de la farce. Quoique ceci n’empêche pas cela. Mais pas de fausse hypocrisie : L’Etat seul ne pourra pas prendre en charge les «retraités premiers de cordée », habitués au luxe et à la dépense. Les EHPAD publics qui tournent autour de 2000 à 3000€ ne pourront satisfaire les exigences de l’élite, qui ne peut en plus se mélanger à la plèbe. L’Etat seul ne pourra pas, « éthique » oblige, proposer aux retraités deux options : d’un côté les riches, de l’autre les pauvres, le tout financé par l’Etat. Il faut être raisonnable. Les riches iront donc dans le privé qui économisera, rentabilisera, optimisera, spéculera, les « pauvres » iront au public, où ils continueront de coûter un pognon de ouf à l’Etat. On peut exploiter son petit monde jusqu’à la vieillesse et même au-delà, système capitaliste oblige, mais de manière discrète, loin des yeux candides d’un public facilement effarouché.

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #humeur #humeur #prolétaires #capitalistes #communismes #riches #pauvres #libéraux #sicialisres #effondrement #explications #lutte-des-classes #immigrations #grand-remplacement

Mes explications n’ont pas l’air de vous convaincre tant que ça. Alors j’en remet une couche en changeant le titre quelque fois ça suffit……hi…hi…hi…hi

LE GRAND REMPLACEMENT..

Je crois que j’ai enfin une piste sur l’explication de l’effondrement du parti socialiste et communiste. Je la soumets à votre sagacité :

Le parti socialiste et surtout le parti communiste en défendant la classe ouvrière et la lutte des classes nous assignent à notre condition de prolétaire, qu’il faut en quelque sorte défendre. Les « libéraux » eux nous promettent ( en traversant simplement la rue) un enrichissement rapide et personnel suivant « nos mérites ». On voit tout de suite le blème…non ? Qui ne s’estime pas méritant ? Qui a envie de rester pauvre ? Qui veut revendiquer sa seule force de travail comme produit à vendre…?
Après bien sûr, au bout d’un long moment on comprend le subterfuge. À savoir que pour qu’il y ait quelques riches, il faut beaucoup de pauvres… Là où le bât blesse encore, c’est qu’il n’y a pas grand monde désireux de prendre la place des pauvres pour qu’ils deviennent riches, (vous me suivez) …Sinon les immigrés et là… incompréhension suprême, on se retourne contre eux en leur reprochant de vouloir « prendre notre place » C’est un mystère que je me propose d’étudier incessamment sous peu pour vous livrer mes cogitations distinguées dans une prochaine session de rattrapage.

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #humeur #humour #communisme #socialiste #capitalisme #libéraux #prolétaires #ruches #pauvres #travail #richesse #immigrés #explication #définitive #mywork #mytext

Prolétariat.
Je crois que j’ai enfin une piste sur l’explication de l’effondrement du parti socialiste et communiste. Je la soumets à votre sagacité :

Le parti socialiste et surtout le parti communiste en défendant la classe ouvrière et la lutte des classes nous assignent à notre condition de prolétaire, qu’il faut en quelque sorte défendre. Les « libéraux » eux nous promettent ( en traversant simplement la rue) un enrichissement rapide et personnel suivant « nos mérites ». On voit tout de suite le blème…non ? Qui ne s’estime pas méritant ? Qui a envie de rester pauvre ? Qui veut revendiquer sa seule force de travail comme produit à vendre…?
Après bien sûr, au bout d’un long moment on comprend le subterfuge. À savoir que pour qu’il y ait quelques riches, il faut beaucoup de pauvres… Là où le bât blesse c’est qu’il n’y a pas grand monde désireux de prendre la place des pauvres pour qu’ils deviennent riches, (vous me suivez) …Sinon les immigrés et là… incompréhension suprême, on se retourne contre eux en leur reprochant de vouloir « prendre notre place » C’est un mystère que je me propose d’étudier incessamment sous peu pour vous livrer mes cogitations distinguées dans une prochaine session de rattrapage. Mireille MOUTTE