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Eugène Le Poittevin (1806-1870) | La Baignade à Étretat | c. 1860 | Huile sur toile, 21 x 48,5 cm | Association Peindre en Normandie Caen

On voit des hommes et des femmes qui se baignent très habillés sur la plage, on reconnaît Charles Landelle coiffé d’un calot, Guy de Maupassant qui se prépare à plonger et Eugénie Doche en crinoline, qui fut la créatrice de La Dame aux camélias.

#Peinture #Réalisme #Eugène_Le_Poittevin #Étretat #Normandie #France

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Un héros,
Je viens de voir le film d’Asghar Farhadi « Un Héros » un film magnifique. Un homme prisonnier en permission piégé dans un infernal entrelacs de situations kafkaïennes, qui de mensonges en demi-vérité l’enlisent peu à peu, l’humilie, le malmène sous les yeux de son fils. Un film sur la condition humaine qui m’a fait penser au réalisme social d’un Vittorio de Sica et son chefs d’œuvre du réalisme italien : le voleur de bicyclette. La nuisance des réseaux sociaux en moins. Il y a également un lien évident avec notre situation actuelle opposant les bons/les méchants, le bien/le mal, la charité, la bonne action/l’égoïsme. Et ce besoin de héros pour magnifier des conditions de vie intolérables. Infantilisation d’une société sous contrôle. Un seul bémol, j’ai trouvé le héros un peu trop «innocent » devant tant de complexité. Mais du coup on doute, nous aussi, tout le long du film de sa complète bonne foi, et d’ailleurs……
Je vous le recommande chaudement et par ces frimas hivernaux c’est toujours bon à prendre ! Mireille MOUTTE

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#news #cinéma #réalisme #iranien #héros #kafkaïen #condition-humaine #société #contrôle #critique
Un héros,
Je viens de voir le film d’Asghar Farhadi « Un Héros » un film magnifique. Un prisonnier en permission piégé dans un infernal entrelacs de situations kafkaïennes, qui de mensonges en demi-vérité s’enlise peu à peu. Un film sur la condition humaine qui m’a fait penser au réalisme social d’un Vettorio de Sica et son chefs d’œuvre du réalisme italien le voleur de bicyclette (1948). La nuisance des réseaux sociaux en moins. Il y a également un lien évident avec notre propre situation opposant les bons/les méchants, le bien/le mal, la charité, la bonne action/l’égoïsme. Infantilisation d’une société sous contrôle. Un seul bémol, j’ai trouvé le héros un peu trop «innocent » devant tant de complexités. Mais du coup on doute, nous aussi, tout le long du film de sa complète bonne foi.