Faut-il vraiment choisir entre les différents variants de la peste ?
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Quel que soit le résultat de ces élections, pour tout #travailleur, #humaniste et #responsable, le seul choix possible sera la lutte par tous les moyens possibles pour empêcher la mise en application du programme #destructeur de la société et des valeurs qui nous tiennent à cœur…
Alors pourquoi se salir l’âme en choisissant un fasciste plutôt qu’une autre ?
quel qu’il soit nous ne nous reconnaîtrons pas dans leur politique. Alors pourquoi leur donner une légitimité ?
Sans parler, dans le cas de macron, des risques de 3eme guerre mondiale qu’il nous fait courir.
Rappelons que Macron, ce n’est pas le choix de l’ultra-libéralisme, comme nous le font croire certains. C’est le choix du contrôle social, de la police privée omniprésente, de la suppression de la sécurité sociale et de toutes les aides sociales (un pognon de dingue parait-il), le transfert de tous les revenus de l’État au privé et la suppression des capacités agissantes du même État.
(même le corps diplomatique à été supprimé dimanche dernier dans la plus grande discrétion, un corps qui n’était plus écouté depuis des années mais qui était pourtant, depuis des siècles, l’une des raisons du prestige international de la France).
Comparer les programmes des candidats est un non-sens (ce serait comme comparer les programmes de #Mussolini et de #Franco pour choisir celui qui nous serait le moins fâcheux)
Nous n’avons pas a les étudier, mais à nous y opposer dans tous leurs éléments négatifs.
On voit déjà apparaître des milices citoyennes pour “sécuriser” les quartiers (sur #Paris et #Lyon par exemple). L’histoire a repris des sentiers nauséabonds et il ne faudrait pas qu’elle les suive jusqu’au bout encore une fois…
Cette lutte, il nous faudra la mener autant dans les entreprises que dans la société civile (et elle ne sera pas simple, car l’une des caractéristiques des fascismes c’est d’entraîner avec elle l’adhésion d’une partie (qui peut être importante) de la population).
Le Fascisme avance toujours masqué, mais la mémoire de l’histoire devra nous guider pour le débusquer et le montrer au grand jour à chaque fois qu’il fera un pas…
“Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit :
C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer !
Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser.”
Françoise Giroud
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