#bigorgne

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J. #Branco

Christian SAINTE, promu à la tête de la toute puissante police judiciaire, est embourbé dans une affaire de violences familiales qui le rend susceptible au chantage et le soumet aux désidératas du pouvoir.

Visés en janvier 2021 par une plainte de son chauffeur pour harcèlement moral, qui dénonçait (photographies à l’appui) la présence de casquettes nazies et de trafics en tous genre au sein du service, Christian #SAINTE fait tout pour étouffer l’affaire avec sa numéro 2, Marie-Elisabeth CIATTONI, en s’attaquant notamment à l’avocat du plaignant.

Cet avocat, c’est moi, et la méthode utilisée a été très simple: Marie Elisabeth CIATTONI, directrice de la 1ère DPJ, s’est vue confier, en plein conflit d’intérêts, l’enquête sur mon vrai-faux kompromat, qu’elle a immédiatement publicisée pour faire pression sur la partie civile qui, rappelons-le, a affirmé à la procédure « ne jamais avoir porté plainte » et se sentir sous pression de la police.

Alors qu’elle se savait visée par une procédure pénale initiée par mes soins et qui l’amènerait à être longuement entendue par l’IGPN, Mme. CIATTONI décide de se maintenir à la tête de la direction de l’enquête, ce qui l’amènerait à falsifier des PV, faire disparaître des pièces et faire pression sur des témoins, parties et des experts pendant près des trois ans pour tenter de sauver une procédure aberrante.

Les informations recueillies par la 1ère DPJ remontaient à l’Elysée, plus précisément auprès d’Hélène Davo, conseillère justice de l’Elysée, et étaient ensuite disséminées de façon tronquée dans la presse pour tenter de me nuire et de faire pression sur la magistrature, mais également mon client.

Rappelons que ces individus ont joué un rôle clef pour étouffer les scandales de la #macronie, notamment l’affaire Laurent #Bigorgne (co-fondateur d’En Marche ayant tenté de droguer sa belle-soeur et employée, qu’ils feront échapper aux assises) mais également l’affaire #Benalla, sauvant notamment le directeur de cabinet de l'Elysée.

Dans la foulée, Mme. #CIATTONI a été promue auprès de M. SAINTE comme toute-puissante cheffe d’état-major de la #PJ, à l’échelle nationale.
Voilà ce à quoi vous expose ce pays le fait de dire la vérité et de, sans crainte, défendre l’intégrité de personnes honnêtes.

En l’espèce, un policier de la brigade fluviale à la carrière exemplaire qui, après avoir servi au sein de nos armés, serait traumatisé d’avoir eu à repêcher le corps décomposé d’une collègue, Amandine, morte noyée dans la Seine du fait de défaillances incontestables de son service. Un homme qui, reclassé auprès du directeur de la PJ pour le tenir en silence, y découvrant la pourriture du pouvoir, aurait pour seul tort que de le dénoncer, se faisant littéralement jeter à la rue par l’IGPN après avoir tenté de porter plainte seul, avant de faire appel à moi pour l’aider.
Une procédure pour prise illégale d’intérêts a été enclenchée à l’encontre de Mme. CIATTONI. Trois autres instructions sont en cours pour faire la vérité.

Elle est aujourd’hui protégée par le parquet de Paris, qui fait tout pour entraver les procédures visant à faire la vérité.
Elle sera demain, si la France redevient un Etat de droit, poursuivie et condamnée, pour avoir monté une des affaires les plus scandaleuses du siècle, dont je peux vous assurer qu’elle ne fait que commencer.

#JuanBranco #france #mafia #pipolitique #politique #macron #justice #corruption

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#Nantes-Révoltée

UN LOBBYISTE ULTRA-LIBÉRAL TRÈS PROCHE DE MACRON A DROGUÉ SA COLLÈGUE

Laurent #Bigorgne a inspiré toute la #politique économique de #Macron et a même failli être ministre

Vous avez peut-être entendu parler de «l’institut Montaigne». Il s’agit d’un lobby #ultra-libéral, régulièrement invité sur les plateaux de télévision. On entend ses représentants réclamer la suppression de certains congés payés, la privatisation des retraites ou de l’éducation. À la tête de cette entreprise de démolition sociale, Laurent Bigorgne. L’institut fondé par l’ancien PDG d’AXA est financé par des entreprises du CAC 40. Et son directeur est «spécialiste» de l’ #éducation, mais aussi très proche de Macron. Pour lui, les enseignants ne sont pas «mal payés», et d’ailleurs, ils sont déjà trop nombreux.

Dès 2016, quand une petite équipe se monte autour de Macron, qui est ministre de l’économie, Laurent Bigorgne participe aux réunions pour soutenir son ami. Ils se connaissent depuis 2012. Le lobbyiste est issu des rangs de l’ #UNEF-ID, syndicat étudiant lié au Parti Socialiste. Pendant la campagne de 2017, c’est lui qui va mettre en forme une partie du programme de Macron, tout en occupant son poste à l’Institut Montaigne. Laurent Bigorgne va même héberger le mouvement En Marche, récemment créé, à son domicile personnel. À la fois conseiller secret et #lobbyiste du #patronat, il est de toutes les réunions stratégiques, participe à la levée de fond de En Marche en activant son réseau. Lorsqu’il est élu, Macron propulse au Ministère de l’Éducation Jean-Michel Blanquer, un vieux compagnon de l’Institut Montaigne : il est membre d’un comité satellite de l’Institut, et y a organisé des «expériences pédagogiques» financées par des fortunes privées dont #Axa – 200 000 euros –, #Bettencourt – 180 000 euros – et #Dassault – 100 000 euros.

Durant le quinquennat, Laurent Bigorgne rêve même d’un grand Ministère de l’Éducation Nationale incluant l’enseignement supérieur, pour aller plus loin dans la privatisation de l’éducation. Durant tout le quinquennat, c’est lui qui inspire les mesures gouvernementales en la matière. Évaluer les établissements comme s’il s’agissait d’entreprises ? Donner un pouvoir de manager aux chefs d’établissement ? Grand bond en avant dans la destruction des universités ? Parcoursup ? «Coaching» éducatif privé ? Derrière toutes ces mesures, la marque de l’Institut Montaigne. De même que les formules creuses, du genre «libérer les énergies» régulièrement utilisées par Blanquer : des éléments de langage de l’Institut.

Le 22 février, Laurent Bigorgne #drague lourdement une de ses collaboratrices dans le cadre d’une soirée. Il consomme de la #cocaïne. Alors qu’elle vient de boire une coupe de champagne, elle se sent subitement mal et file à l’hôpital. Les analyses révèlent qu’elle a été #droguée à son insu par une substance, la #MDMA. Laurent Bigorgne reconnaît les faits lors d’une garde à vue. Mais il est relâché et convoqué libre, en procès, le 10 mars pour «administration de substance nuisible». La #justice ne retient pas d’intention à caractère sexuel. Difficile d’imaginer pourtant que le mis en cause en est à sa première fois. Le directeur de l’Institut Montaigne, ami de Macron, membre fondateur de #LREM, et #prédateur à la fois de l’enseignement publique et des #femmes qui l’entourent, vient de démissionner de son poste.

#nantesrevoltee