#branco

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J. #Branco

Christian SAINTE, promu à la tête de la toute puissante police judiciaire, est embourbé dans une affaire de violences familiales qui le rend susceptible au chantage et le soumet aux désidératas du pouvoir.

Visés en janvier 2021 par une plainte de son chauffeur pour harcèlement moral, qui dénonçait (photographies à l’appui) la présence de casquettes nazies et de trafics en tous genre au sein du service, Christian #SAINTE fait tout pour étouffer l’affaire avec sa numéro 2, Marie-Elisabeth CIATTONI, en s’attaquant notamment à l’avocat du plaignant.

Cet avocat, c’est moi, et la méthode utilisée a été très simple: Marie Elisabeth CIATTONI, directrice de la 1ère DPJ, s’est vue confier, en plein conflit d’intérêts, l’enquête sur mon vrai-faux kompromat, qu’elle a immédiatement publicisée pour faire pression sur la partie civile qui, rappelons-le, a affirmé à la procédure « ne jamais avoir porté plainte » et se sentir sous pression de la police.

Alors qu’elle se savait visée par une procédure pénale initiée par mes soins et qui l’amènerait à être longuement entendue par l’IGPN, Mme. CIATTONI décide de se maintenir à la tête de la direction de l’enquête, ce qui l’amènerait à falsifier des PV, faire disparaître des pièces et faire pression sur des témoins, parties et des experts pendant près des trois ans pour tenter de sauver une procédure aberrante.

Les informations recueillies par la 1ère DPJ remontaient à l’Elysée, plus précisément auprès d’Hélène Davo, conseillère justice de l’Elysée, et étaient ensuite disséminées de façon tronquée dans la presse pour tenter de me nuire et de faire pression sur la magistrature, mais également mon client.

Rappelons que ces individus ont joué un rôle clef pour étouffer les scandales de la #macronie, notamment l’affaire Laurent #Bigorgne (co-fondateur d’En Marche ayant tenté de droguer sa belle-soeur et employée, qu’ils feront échapper aux assises) mais également l’affaire #Benalla, sauvant notamment le directeur de cabinet de l'Elysée.

Dans la foulée, Mme. #CIATTONI a été promue auprès de M. SAINTE comme toute-puissante cheffe d’état-major de la #PJ, à l’échelle nationale.
Voilà ce à quoi vous expose ce pays le fait de dire la vérité et de, sans crainte, défendre l’intégrité de personnes honnêtes.

En l’espèce, un policier de la brigade fluviale à la carrière exemplaire qui, après avoir servi au sein de nos armés, serait traumatisé d’avoir eu à repêcher le corps décomposé d’une collègue, Amandine, morte noyée dans la Seine du fait de défaillances incontestables de son service. Un homme qui, reclassé auprès du directeur de la PJ pour le tenir en silence, y découvrant la pourriture du pouvoir, aurait pour seul tort que de le dénoncer, se faisant littéralement jeter à la rue par l’IGPN après avoir tenté de porter plainte seul, avant de faire appel à moi pour l’aider.
Une procédure pour prise illégale d’intérêts a été enclenchée à l’encontre de Mme. CIATTONI. Trois autres instructions sont en cours pour faire la vérité.

Elle est aujourd’hui protégée par le parquet de Paris, qui fait tout pour entraver les procédures visant à faire la vérité.
Elle sera demain, si la France redevient un Etat de droit, poursuivie et condamnée, pour avoir monté une des affaires les plus scandaleuses du siècle, dont je peux vous assurer qu’elle ne fait que commencer.

#JuanBranco #france #mafia #pipolitique #politique #macron #justice #corruption

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Juan #Branco

Ils veulent nous entraîner dans leur mort.
Le ministre de l’intérieur, le président du Tribunal judiciaire de Paris Stéphane Noël, le Procureur Général de la République, enfin le premier président de la cour d’Appel de Paris, ont, d’un seul tenant, demandé mon élimination judiciaire définitive au bâtonnier de Paris.
Lorsque les plus hautes autorités d’un pays, toutes nommées par la même personne, se regroupent pour exiger, en un même mouvement, l’élimination d’un simple avocat, défenseur des principaux opposants politiques du pays, c’est que quelque chose est en train de se jouer au sein de nôtre société.
Jamais une telle agglomération de pouvoirs ne s’était, en France, réunie pour abattre un avocat.
Et jamais ne l’avait-elle fait pour des motifs aussi pitoyables et révélateurs de leur déperdition.
Je vous demande à tous d’être très attentifs à ce qui va suivre. Car nous sommes tous concernés.
J’ai 35 ans. Vous le savez. J’ai été, et demeure, le représentant de personnes qui ont risqué leur vie pour s’opposer au pouvoir en place, et protéger ceux que ce pouvoir ciblait.
Je l’ai fait, le plus souvent, gratuitement. Je n’ai, jamais, au cours de mon parcours, concédé à la moindre faute éthique, juridique ou politique.
Des gilets jaunes au convoi des libertés en passant par les opposants à la Françafrique, d’Ousmane Sonko à Kemi Seba en passant par les Grands frères, Trop Violan’s, Wikileaks et une infinité de citoyens qui se sont vu injustement accusés, poursuivis, par Macron, Darmanin et tant d’autres, j’ai litté à leurs côtés.
Au procès de l’attentat de Nice auprès de victimes et contre l’hypocrisie de ce procès Potemkine au service de l’impunité d’Etat ; aux côtés de Piotr Pavlenski, d’une infinité de victimes de répression politique, toujours aux côtés de ceux qui, exerçant leurs droits, exigeaient des comptes aux politiciens de notre temps.
J’ai fait face à des cabinets d’avocat qui brassaient des millions, à un appareil d’État déchainé, à des confrères corrompus jusqu’à la moelle, à des magistrats qui obéissaient, aveugles, frappant sans vergogne les plus fragiles de la société.
De Bernard Cazeneuve à Didier Lallement en passant par Bernard Arnault, Xavier Niel, Emmanuel et Brigitte Macron, Gabriel Attal, Gérald Darmanin, Benjamin Griveaux, j’ai mené contre les plus puissants de nos terres une infinité de combats judiciaires pour défendre les plus faibles de notre société.
En dehors des tribunaux, cela, je l’ai cher payé.
Il est difficile de concevoir ce que, après s’être attaqué à la CIA et l’empire états-unien aux côtés de Wikileaks et Julian Assange, cela fait que de s’attaquer aux maîtres de son propre pays.
Ce que cela fait, dès l’âge de 26 ans, que d’être fiché et suivi par la DGSI, jusqu’en des déplacements à l’autre bout de la terre, pour défendre des êtres qui n’avaient pour tort que de penser et de militer.
Ce que cela implique que d’aller traquer la corruption jusqu’aux tréfonds du Centrafrique, en des mines abandonnées d’AREVA ayant englouti 4 milliards d’euros ; traverser sur une boutre la mer rouge pour se rendre auprès des Houthis au Yémen ; défendre des victimes palestiniennes à la Cour pénale internationale ; se retrouver détenu auprès de l’aurore du monde à Rebeuss, sur la corniche de Dakar.
Puis de s’attaquer aux intouchables, à cette caste qui nous a fréquenté, invité, dorloté et chouchouté.
Ces oligarques qui, avinés, dévorent tout, avec leur appétit insatiable, leurs lippes baveuses et morbides.
Ce que cela fait que de révéler, méthodiquement, de façon incontestable, comment ces êtres achètent à bout de bras magistrats, policiers, politiciens et médias pour assurer leur impunité.
Ce que, après l’avoir vécue et connue, fréquentée, implique que d’exposer et de dénoncer la déréliction de ces êtres, leur faillite morale, leur absence d’idées et de pensée. Leur saleté.
Arrestations, détentions, interdictions de sortie du territoire, surveillances, contrôles judiciaires, procédures infinies.
Kompromats.
Placement sur les listes de TRACFIN, interdiction bancaires, intimidation, infiltrations…
Réquisition judiciaire de mes relevés de notes au sein des universités !
Et au-delà de la violence institutionnelle, la violence physique. Le passage à tabac, les surveillances, cambriolages, menaces.
L’enlèvement.
L’être qui, glissé dans votre lit, vous susurre qu’elle a été envoyée.
Qu’importe. On ne se place pas aux côtés des peuples sans le payer.
Et on ne l’emporte pas sans se sacrifier.
Par nos luttes, un pan de ce système a été ébranlé.
Avec Crépuscule, j’ai pu contribuer à une prise de conscience particulièrement violente de l’artificialité de ce système, l’illusion démocratique dans laquelle ils nous tenaient.
Nous n’avons, à cette fin, jamais fait usage d’une quelconque méthode qui pourrait nous être reprochée - contrairement à ce que l’on n’a cessé de prétendre.
Toujours, dans l’éthique, ajustant fins et moyens, pour ne pas leur ressembler.
Le coût a été élevé. Même Médiapart, embarassé, a pris sa part et tenté, pitoyablement de se venger.
L’ensemble de la presse, autrefois si langoureuse à mon égard, censément contrepouvoir, a tenté de se défendre, afin de continuer à jouir du banquet organisé par ses puissants, ne supportant pas de se voir exposée en ses compromissions.
Et, avec l’aide d’un certain nombre de politiciens, agences, officines, barbouzes, elle a commencé à disséminer une nombre d’infamies telle que ma page Wikipedia fait désormais penser à celle de Gilles de Rais.
On aurait pu en rire. Mais à moins de trente, ans, il y a de quoi se voir affecté.
Les années ont passé. Nous avons grandi. Et dans ces inframondes, un peuple a commencé à se lever.
Alors les choses sérieuses ont commencé.
Au point de me forcer à temporairement quitter ce pays qui m’avait adopté et pour lequel j’avais tout donné.
Ils me veulent désormais mort. Et pour ce faire, ils doivent me retirer cette robe qui, loin de me protéger, me sert à accompagner tous ceux qui eux, sont déterminés à les faire tomber.
Et s’ils n’y arrivent pas, ils feront ce que l’on sait.
Aujourd'hui, pour la première fois de l'histoire du Barreau, l'ensemble de l'establishment judiciaire se lève contre un avocat, pour le déchoir.
170 pages de saisine disciplinaires pitoyables, après une première procédure avortée.
Avec pas moins de dix motifs. Tous plus futiles les uns que les autres.
Tous plus dérisoires.
Tous plus inquiétants.
Comme si, après avoir tenté de rendre monstrueux, il s’agissait désormais, plus simplement, d’éliminer.
Sans scrupules, ni limites.
Voilà un être menacé d’être écrasé parce qu’il aurait utilisé une enveloppe noire pour écrire à un procureur, ce qui, selon mes inquisiteurs, « suggérerait une démarche menaçante et intimidante ».
Enveloppe dont ils oublient de dire qu’elle était noire et dorée.
Voilà un être que l’on veut éliminé parce qu’il aurait manqué d'utiliser une formule de courtoisie.
Qu’il aurait commis des écritures qui ont eu l’heur de déplaire au tout puissant ministère de l’intérieur.
Parce qu’il aurait, enfin, en des tweets, révélé que le Président du Tribunal Judiciaire avait exigé sa tête, menaçant autrement de rompre les relations institutionnelles entre le Tribunal judiciaire et le barreau de Paris.
Rien que cela.
Ces prétextes recouvrent une réalité bien plus sinistre.
La réalité, c’est que notre lutte, protéiforme et quotidienne, nous a amené à établir l’usage de faux et de traîner devant les tribunaux une procureur qui s’en était rendue coupable.
Que nous avons découvert et exposé qu’un Président de Tribunal judiciaire avait fait chanter un bâtonnier en violation du secret de l’instruction pour nous éliminer.
Que nous avons réussi à éventrer un kompromat censé nous achever.
Et qu’enfin, en faisant tomber des procédures entières initiées par le tout puissant Président de la République, ses ministres et affidés, nous avons protégé des êtres qu’ils voulaient éliminés.
En l’une des professions et l’un des barreaux les plus corrompus du monde, où l’argent liquide de la drogue et de la corruption alimentent l’activité de milliers de confrères et consoeurs en toute impunité, voilà les motifs pour lesquels on veut m’éliminer.
En ce barreau délétère, compromis jusqu’à la moelle par la corruption de cabinets d’affaire qui, encore il y a quelques semaines, tentaient d’imposer leur loi à l’ensemble de nos confrères de France pour protéger leurs manoeuvres et leurs secrets, c’est un avocat qui défend au prix de sa vie des opposants, des citoyens vulnérables, qui se retrouve visé.
Non ceux qui peuvent des millions et protègent des milliards.
Avoir fait tomber le régime de Macky Sall, protégé le panafricaniste Kemi Seba, défendu depuis cinq ans tout ce que de citoyens et d’opposants se trouvaient en France et en ses colonies, si souvent gratuitement, ne saurait être pardonné.
L’avoir fait en restant intègre, et en montrant en miroir leur saleté, doit être sanctionné.
Se placer du côté des plus faibles, ne peut être accepté.
Mes confrères sauront retenir la leçon, et ce qu’il les attend.
Pour la première fois de l’histoire, un des leurs sera poursuivi disciplinairement pour le contenu d’écritures commises auprès d’une juridiction, parce qu’il a eu le tort de rappeler que le retrait de nationalité d’un intellectuel, sur le seul fondement de ses discours, a été prise en application d’une disposition fécondée par l’auteur des accords Munich, inspirée par les dispositions sur l’indigénat issues de la colonisation, et qui ont ouvert la porte à la déchéance de milliers de citoyens juifs sous Vichy.
Pour des écritures pour lesquelles nous bénéficions d’une immunité pénale, le Barreau me veut tombé.
J’appelle mes confrères à être attentifs à ce que, pour des motifs et des prétextes toujours plus abscons, en cette dérive, tous les principes qui permettent de défendre notre profession soient en passe d’être violés.
Et qu’ils se voient demain par ces motifs visés.
Ce qui m’arrive, en un pays qui se veut démocratique, n’est pas anodin.
Surtout lorsqu’il est contextualisé.
J’ai, depuis six ans, fait l’objet d’instructions successives ayant amené à perquisitions, interrogatoires sur mon intimité de l’ensemble de mes proches et de ma famille, placements successifs sous surveillance et sur écoute, privations de liberté, interdictions de sortie de territoire, par un appareil judiciaire déchainé.
Que tous s’interrogent sur ce que l’acceptation de cet état de fait générera demain, non plus pour moi, mais pour tous ceux qui demain suivront.
Que tous s’interrogent sur ce que cela peut produire que de subir trois expertises psychiatriques successives commandées par l’institution judiciaire, toutes non-concluantes pour ceux qui les commandaient.
De voir des juges d’instruction se voir désignés sur des motifs tous plus futiles les uns que les autres, ordonner de fouiller tous les domaines d’un être au nom du droit et de l’équité.
Ce que cela peut faire, pour un être qui n’avait, avant 2017, jamais de rien été accusé, se voir systématiquement convoqué, perquisitionné, surveillé, mais également diffamé, massacré par une presse aux ordres prête à tout pour se faire payer.
Ce que cela peut faire, parce que l’on est avocat et écrivain, de voir un appareil d’Etat se jeter sur soi comme l’ombre sur la proie.
En France, en 2024.
Le 10 septembre 2024, je devais être radié. Pour avoir dit la vérité. Pour m'être défendu.
Le 9 septembre 2024, le bâtonnier, informé de ce que je ne le serais pas, décidait de me faire poursuivre, sans procédure ni enquête préalable, demandant ma mise en jugement aux fins de radiation.
A travers moi, ce sont des opposants, des victimes de crimes politiques français, palestiniens, guyanais, martiniquais, guadeloupéens, sénégalais, béninois, qui sont visés.
Français.
A travers moi, c’est une idée de la France qui tente de vaincre contre une autre.
Une France où la vérité et l’intégrité n’apparaissent que comme des obstacles à l’avarice et l’avidité. A la laideur, le mensonge et la saleté.
Je vous demande d’être attentifs. Car ce qui se joue à travers moi demain s’étendra.
Ils n'arrêteront pas.
Nous ne sommes rien sur cette terre, sinon les serviteurs de nos frères en humanité.
Craignez de ce qui se prépare, et de ce qu’à travers moi, on s’apprête à mobiliser pour vous dévaster.

#JuanBranco #justice #macronie #crépuscule

bliter@diaspora-fr.org

JUAN #BRANCO : VERS LA #RÉVOLUTION ? (Pas Content avec #Tabibian ! #S03E01)

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▇ SOMMAIRE :
00:00:00 - Dans cet épisode
00:01:09 - C'était bien les vacances ?
00:04:14 - #Avocats et diners en ville
00:06:00 - Branco au #Gouvernement ?
00:08:49 - Quand le Gouvernement a peur d'un Fenwick (et d'un homard)
00:18:16 - #Journalisme #spectacle et pensée complotiste
00:23:13 - #Réseaux #sociaux et #GiletsJaunes
00:29:50 - Il faut laisser le #peuple choisir son mode de gouvernement
00:33:02 - Médiocrité et légitimité #politique contemporaine
00:38:44 - #Macron, un #président #fasciste ?
00:48:58 - Le manque de #légitimité de Macron
00:56:18 - La #généalogie du #pouvoir de Macron, et ce qu'il représente.
01:06:12 - Interlude égyptien / L'Etat de #droit
01:09:39 - La rencontre avec #Assange
01:14:02 - C'est foutu pour Assange ?
01:14:38 - Les accusation de #GabrielAttal
01:16:13 - Réponse à #Anticor
01:22:35 - Survivre aux attaques
01:23:28 - C'est quoi le #système ?
01:24:16 - Ambitions #présidentielles
01:25:54 - Accusation de viol
01:28:56 - Le point commun entre toutes vos #luttes ?
01:30:30 - #Paris est devenu morbide
01:36:35 - #Bourgeoisie et #Hyperclasse
01:45:47 - La #révolution est-elle la seule voie possible ?
01:48:43 - #Mélenchon : défauts et qualités
01:54:38 - #CyrilHanouna
02:00:52 - On sort Coup d'Etat
02:03:26 - #DupontMoretti
02:04:54 - Tous les coups sont permis ?
02:08:04 - Qu'est ce qui a manqué aux Gilets Jaunes ?
02:10:18 - A quel niveau de subversion faut-il être pour être ciblé par le pouvoir ?
02:15:19 - Ont-ils réussi a nous faire peur ? / La vie est un #combat
02:22:46 - Votre plus grosse erreur ?
02:26:42 - Ils aiment qui les prolos ? En route vers le grand déclassement ?
02:40:25 - Le combat dont vous êtes le plus fier ?
02:41:47 - Il ne faut pas débattre avec eux
02:42:45 - Conclusion

https://www.youtube.com/watch?v=7vutTVjbBIY
#interview #pcat #jspc #JuanBranco #GregTabibian

bliter@diaspora-fr.org

L' #arrestation de #JuanBranco est un #crime #moral! | #IdrissAberkane avec #AlexisPoulin

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#Paris et #Washington viennent de s'émouvoir de la #condamnation de #droit commun infligée à leur #agent d' #influence #Navalny - proche de #GarryKasparov et diplômé de Yale - pourtant c'est un silence de mort qui règne lorsqu'on leur parle des persécutions atroces subies par #JulianAssange, des #inculpations #bidons et iniques lancées contre le chef de l'opposition aux #US, à savoir Donald J. #Trump, ou maintenant de l #'arrestation délirante de l' #avocat du chef de l' #opposition #sénégalaise, ancienne avocat de Julian #Assange, #Maître Juan #Branco, par ailleurs défenseur des #GiletsJaunes et figure majeure du #Souverainisme de #Gauche en #France.

Nous faisons le point avec Alexis Poulin, l' #éditorialiste #souverainiste de gauche le plus suivi dans le #Paysage #Internet #Français,

https://www.youtube.com/watch?v=HGUvBDPAgkE
#politique #géopolitique #PIF

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A revolução genética de Mendel e o legado do racismo científico

Aqueles que acreditam que o eugenismo foi uma aberração temporária na ciência e que ele morreu com a Alemanha nazista se chocarão...

24 de agosto de 2022, 18:25 h Atualizado em 24 de agosto de 2022, 18:25

www.brasil247.com - https://www.brasil247.com/ideias/a-revolucao-genetica-de-mendel-e-o-legado-do-racismo-cientifico

Por Prabir Purkayastha / Globetrotter

Em julho, o mundo celebrou os #200 anos do nascimento de #GregorMendel, amplamente considerado como o “pai da #genética moderna” por sua descoberta das leis da #hereditariedade. Seus experimentos com #ervilhas, publicados em #1866 sob o título “Experimentos na hibridização de plantas”, identificaram traços dominantes e recessivos, como estes traços recessivos reaparecem em gerações futuras e em qual proporção. Seu trabalho permaneceria sem reconhecimento e #ignorado até outros três biólogos o replicarem em 1900.

Embora o trabalho de #Mendel seja central para a genética moderna, e seu uso de métodos experimentais e observações seja um modelo para a #ciência, eles também motivaram fenômenos obscuros ao qual a genética esteve estritamente ligada: a #eugenia e o #racismo. Mas a eugenia era muito mais do que uma “ciência” racial. Ele foi usado para arrazoar uma superioridade das #elites e raças dominantes, e em países como a #Índia também foi utilizado como uma justificação “científica” para o sistema de #castas.

Aqueles que acreditam que o eugenismo foi uma aberração temporária na ciência e que ele morreu com a #Alemanha #nazista se chocarão ao saber que até as maiores instituições e publicações que incluiam a palavra “eugenia” em nomes continuaram a operar, simplesmente alterando seus títulos. Os Anais da Eugenia se tornaram os Anais de Genética Humana; a Eugenics Review se tornou o Jornal de Ciência Biosocial; a Eugenics Quarterly mudou seu nome para Biodemografia e Biologia Social; e a Sociedade Eugênica foi renomeada para Instituto Galton. Diversos departamentos de grandes #universidades, que antes se chamavam “departamento de eugenia”, ou se tornaram “departamento de genética humana” ou “departamento de #biologia #social”.

Todos eles aparentemente deixaram de lado seu passado eugênico, mas a recorrência do debate sobre #QI e raça, a #sociobiologia, a teoria da #substituição e o crescimento do #nacionalismo #branco são todos marcadores de que o eugenismo está bastante vivo. Na Índia, a teoria racial toma a forma da crença de que arianos são “superiores”, e a pele clara é vista como um sinal de ancestralidade ariana.

Enquanto as câmaras de gás de #Hitler e o #genocídio de #judeus e #ciganos na Alemanha nazista tornaram difícil falar sobre a superioridade racial de certas raças, o #racismo #científico persiste na ciência. Ele é parte da justificação buscada pela elite para arrazoar sua posição superior com base em seus genes, e não no fato de terem herdado ou roubado sua riqueza. Trata-se de uma forma de retocar a #história de saques, escravidão e genocídio que acompanhou a colonização do mundo por um punhado de países da #Europa #ocidental.

Mas por que, sempre que tratamos de genética e história, a única história repetida é sobre como o biólogo Trofim #Lysenko e o Partido Comunista da #UniãoSoviética colocaram a #ideologia acima da ciência, rejeitando a genética? Por que as menções à genética na literatura popular só dizem respeito à Alemanha nazista e nunca sobre como as leis eugênicas da Alemanha foram #inspiradas diretamente nos #EstadosUnidos? Ou como o eugenismo na Alemanha e nos #EUA estavam profundamente interligados? Ou ainda como o legado de Mendel sobre a genética se tornou uma ferramenta na mão de estados racistas que incluíam os EUA e a #Grã-Bretanha? Por que é que a genética é repetidamente utilizada para apoiar teorias de superioridade da raça branca?

Mendel demonstrou que havia traços que eram herdados e, portanto, que temos genes que carregam certos marcadores que podem ser medidos, como a cor de uma flor ou a altura de uma planta. A #biologia de então não fazia ideia de quantos #genes nós tínhamos, quais traços poderiam ser passados à frente e quão geneticamente misturada é a população humana, etc. O próprio Mendel não tinha ideia alguma sobre os genes como portadores de #herança, e isso foi conhecido muito mais tarde.

Da genética para a #sociedade, a aplicação desses princípios foi um grande salto, que não era apoiado por nenhuma #evidência científica empírica. Todas as tentativas de demonstrar a superioridade de certas raças partiram de uma #presunção a priori de que tais raças eram superiores, e então partiam para tentar encontrar quais evidências poderiam ser selecionadas para sustentar tal tese. Muito do debate sobre QI e sociobiologia veio dessa abordagem na “ciência”. Em sua resenha do livro The Bell Curve, Bob Herbert escreveu que os autores Charles Murray e Richard Herrnstein haviam escrito uma peça de “pornografia racial”: “[…] colocando um manto de respeitabilidade sobre as visões obscenas e há muito desacreditadas dos racistas mais raivosos do mundo”.

Sobre esse tema, um pouco de história é necessário. O eugenismo era bastante popular no começo do século 20, tendo o apoio de grandes partidos e figuras políticas do Reino Unido e EUA. Não surpreendentemente, o ex-primeiro-ministro britânico Winston #Churchill era um notável apoiador do racismo científico, apesar do eugenismo também ter tido o apoio de alguns progressistas.

O fundador do eugenismo na Grã-Bretanha foi Francis #Galton, primo de Charles #Darwin. Galton foi pioneiro no uso de métodos estatísticos como distribuição regressiva e normal, assim como seus colaboradores e sucessores na Sociedade Eugênica, como Karl #Pearson e R.A. #Fisher. Aubrey Clayton escreve, em um ensaio para a revista Nautilus, sobre a conexão entre raça e ciência que “o que nós hoje entendemos como estatística veio em grande parte do trabalho de Galton, Pearson e Fisher, cujos nomes apareceram em termos práticos como ‘coeficiente de correlação de Pearson’ e ‘informações de Fisher’. O conceito de ‘significância estatística’ em particular – por décadas usado como medida sobre o valor de publicação de pesquisas empíricas – é diretamente ligado ao trio”.

Também foi Galton quem, com base em evidências supostamente científicas, defendeu a tese da superioridade dos britânicos em relação a africanos e outros povos nativos, bem como o argumento de que raças superiores deveriam substituir raças inferiores por meio da seleção artificial. Pearson ofereceu sua própria justificativa para o genocídio: “a história me mostra um caminho, e apenas um, pelo qual um alto estado de civilização foi produzido, a saber, a luta de raça com raça e a sobrevivência da raça física e mentalmente mais apta”.

O programa eugenista tinha dois lados: em um deles o estado deveria buscar encorajar a #seleção #artificial para melhorar o “estoque” populacional. No outro, o estado deveria tomar passos ativos para “eliminar” populações indesejáveis. A #esterilização de “indesejáveis” fazia parte das sociedades eugênicas tanto quanto encorajar os povos à seleção artificial.

Nos EUA, o eugenismo esteve centrado no Departamento de Registros Eugênicos de Cold Spring Harbor. Enquanto o Laboratório Cold Spring Harbor e suas publicações de pesquisa ainda ocupam um lugar importante nas ciências contemporâneas, originalmente ele veio do Departamento de Registros Eugênicos, que era operado como o centro intelectual do eugenismo e da “ciência” racial. Esse departamento foi sustentado por meio de doações filantrópicas da família #Rockefeller, o Instituto #Carnegie e muitos outros. Charles Davenport, um biólogo de Harvard, e seu companheiro Harry Laughlin, se tornaram figuras-chave para a aprovação de um conjunto de leis estaduais nos EUA que levaram à #esterilização #forçada de populações “impróprias”. Eles também contribuíram ativamente para a Lei de #Imigração de 1924, que definia #cotas para raças, sendo os #nórdicos priorizados enquanto europeus do leste ( #eslavos ), #asiáticos, #árabes, #africanos e #judeus eram virtualmente #barrados de entrar no país.

As leis de esterilização nos EUA, à época, eram controladas pelos estados. O juiz da Suprema Corte dos EUA, Oliver Wendell Holmes, o decano da jurisprudência liberal nos EUA, deu seu infame julgamento na Virgínia justificando a esterilização compulsória: “três gerações de débeis mentais são suficientes”, ele disse no caso Buck v. Bell. Carrie Buck e sua filha não eram débeis mentais; elas pagaram pelo pecado de serem pobres e consideradas ameaças à sociedade (uma sociedade que falhou com elas). Mais uma vez, o Departamento de Registros Eugênicos e Laughlin tiveram um papel importante ao prover “evidências científicas” para a esterilização dos “inadequados”.

Embora as leis raciais da Alemanha nazista sejam amplamente condenadas como a base para as câmaras de gás de Hitler, o próprio #Hitler #afirmou que sua #inspiração para as leis raciais da Alemanha foram as #leis #estadunidenses sobre esterilização e imigração. As #ligações estreitas entre os eugenistas estadunidenses e a Alemanha nazista são amplamente conhecidas e #documentadas. O livro War Against the Weak: Eugenics and America’s Campaign to Create a Master Race, de Edwin Black, descreve como “o ódio racial de Adolf Hitler se sustentava no trabalho de eugenistas estadunidenses”, de acordo com um artigo publicado no The Guardian em 2004. A Universidade de Heidelberg, enquanto isso, deu a Laughlin um título honorário por seu trabalho na “ciência da limpeza racial”.

Com a queda da Alemanha nazista, a eugenia foi desacreditada. Isso resultou na renomeação de institutos, departamentos e publicações que tinham afiliações com a eugenia, mas eles continuaram a fazer o mesmo trabalho. A #genética #humana e a #biologia #social se tornaram os #novos #nomes para a #eugenia. The Bell Curve foi publicado em 1990 como uma justificação do racismo, e um recente bestseller escrito por Nicholas Wade, ex-correspondente de ciências do jornal The New York Times, também apresenta teorias que há muito foram descartadas cientificamente. Cinquenta anos atrás, Richard Lewontin demonstrou que uma porção de apenas 6% a 7% das variações genéticas humanas existem entre os chamados “grupos raciais”. À época, a genética ainda estava no seu nascedouro. Mais tarde, os dados só fortaleceram a pesquisa de Lewontin.

Por que, enquanto criticamos as pesquisas científicas da União Soviética e os pecados de Lysenko há 80 anos, esquecemos da ciência racial e seu uso da genética?

A resposta é simples: atacar os princípios científicos e as teorias desenvolvidas pela União Soviética como um exemplo de ideologia posta acima da ciência é fácil. Isso torna Lysenko a norma para a ciência soviética; a ideologia superando a ciência pura. Mas por que a eugenia, com seu passado destrutivo e sua presença contínua na Europa e nos EUA, não é reconhecida como uma ideologia – uma que persistiu por mais de 100 anos e que continua a prosperar sob a roupagem moderna de debates sobre QI ou sociobiologia?

A resposta é que ela oferece ao racismo um #lugar dentro da ciência: mudar o nome de eugenia para sociobiologia a faz parecer uma ciência respeitável. O poder da ideologia não está nas ideias, mas na estrutura de nossas sociedades, nas quais os ricos e poderosos precisam de uma justificação para suas posições. É por isso que a “ciência” racial como #ideologia é um corolário natural do #capitalismo e de grupos como o #G7, o clube dos países ricos que busca criar uma “ordem internacional baseada em regras”. A “ciência” racial da sociobiologia é uma justificativa mais gentil do que a eugenia para o domínio do capital em casa e em estados ex-coloniais e sob ocupação no exterior. A luta pela ciência na genética deve ser travada dentro e fora da ciência, pois as duas dimensões estão intimamente conectadas.

Este artigo foi produzido pela Globetrotter e traduzido por Pedro Marin para a Revista Opera.

#PrabirPurkayastha é o editor fundador do Newsclick.in, uma plataforma de #mídia digital. Ele é um ativista da #ciência e do movimento pelo #softwarelivre.

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#JuanBranco

Il y a des victoires amères. Natacha #Polony, qui m’avait proposé de travailler pour #Marianne, était devenue l’une de mes plus acharnées détractrices de #Crépuscule, faisant publier articles, vidéos et textes particulièrement fielleux sur tout ce que je faisais, clamant à tout va que je fantasmais et que j’inventais, que les oligarques ne jouaient aucun rôle dans les rédactions où ils investissaient.
L’opération de destruction a été particulièrement rude et soigneusement menée. Marianne était encore quelques peu considéré. Entre quelques tentatives de réhabilitation de nos milliardaires (voir notamment le portrait ahurissant de complaisance que Marianne publierait sur Xavier Niel), elle faisait ainsi commander des articles à des journalistes toujours différents pour me dévaster, allant jusqu’à fouiller dans mes notes de licence à l’université pour tenter de m’humilier.
Vous vous souvenez peut-être de la recension d’Abattre l’ennemi qui, sans un commentaire sur le fond, se contentait, en un long article particulièrement violent, d’ironiser sur le style et sur l’auteur, incapable de porter un jugement de fond.
Ma faute avait été double: révéler l’ampleur de l’emprise des oligarques sur la #presse française dans un livre, et plus incidemment, refuser - comme je l’avais fait pour #Médiapart - une invitation à un de ces cocktails que Marianne organisait, et dans lequel le tout Paris se pressait, en reprochant à mon interlocutrice de les organiser.
Je croyais alors à la sincérité de mon interlocutrice. Natacha Polony est en effet une femme extrêmement intelligente. Je l’avais rencontrée, dans le cadre d’un entretien où elle s’était montrée extraordinairement louangeuse (youtube.com /watch?v=HJ7l5n68d3Q). Elle se voulait alors férocement indépendante et défendant la souveraineté. Elle connaissait traversée du désert financière qui l’avait sérieusement ébranlée.
Ce que j’avais quelques peu oublié - comme je cela m’arriverait lorsque je rencontrerais Edwy #Plenel ou François #Sureau - c’est que ces gens ne sont sincères que lorsqu’ils sont en difficultés. La réalité, c’est qu’elle s’était vendue à tout ce que le petit Paris produit, et n’aspirait qu’à une chose: recommencer.
Après avoir gagné des fortunes sur le service public, puis, pendant cinq ans, plus de 27.000 euros par mois pour une revue de presse de cinq minutes sur Europe 1, elle attendait désespérée que l’on revint la chercher.
C’est alors qu’un certain Daniel #Kretinsky, l’un des plus puissants oligarques tchèques, qui a progressivement pris le contrôle d’une partie de la presse française (dont une partie du groupe #LeMonde et Elle) pour gagner en influence #politique et prendre des parts sur le marché de l’énergie, l’a contactée, en lui faisant signer un contrat de plus de 200.000 euros de salaire annuel, pour prendre la direction de Marianne, rédaction d’à peine vingt #journalistes qui accumulait les pertes et exploitait les pigistes qui le nourrissaient.
C’est donc en bonne employée et avec l’aide de l’indicible Denis #Olivennes - dont j’ai longuement décortiqué l’avanie, et qui est passé depuis à #Libération, ce qui vous permettra de comprendre l’agressivité récente du journal à mon égard - que Natacha s’est jetée enragée sur tous ceux qui critiquaient celui qui lui donnait à manger.
Aujourd’hui, sa société des rédacteurs publie un communiqué pour dénoncer l’intervention de Daniel #Kretinsky dans la Une qu’ils avaient choisi.
Lorsque vous vous vendez à un oligarque, vous n’êtes plus journaliste mais employé. Avec de la chance, celui-ci laissera du mou sur la laisse, et chargera votre hiérarchie et son DG de vous diriger.
Lorsque la chose devient plus serrée - en cas d’élection, par exemple, qui risque de tout faire basculer - alors il faut s’attendre à être traité pour ce que l’on est: rien de moins, rien de plus, qu’un(e) prostitué.
Bernard #Arnault avait fait de même, il y a cinq ans, en imposant la publication, dans #LeParisien (qu’il détient), un appel à voter pour son plus précieux soutien, Emmanuel #Macron, écrit de ses propres mains.
Pensées à tous ceux qui ont accepté de se laisser ainsi manipuler, et auront tout fait pour détruire ceux qui prenaient le courage de le révéler.

FB #Branco #France #oligarques