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France : La police nationale utilise illégalement un logiciel israélien de reconnaissance faciale

https://disclose.ngo/fr/article/la-police-nationale-utilise-illegalement-un-logiciel-israelien-de-reconnaissance-faciale

En 2015, les forces de l’ordre ont acquis, en secret, un logiciel d’analyse d’images de vidéosurveillance de la société israélienne Briefcam. Depuis huit ans, le ministère de l’intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale.

Dans la foulée, ce sont les services de la police judiciaire, les préfectures de police de #Paris et #Marseille, la sûreté publique et la gendarmerie nationale qui vont être dotés du logiciel de Briefcam sur des ordinateurs dédiés. Une installation massive qui s’est faite en dehors du cadre légal prévu par une directive européenne et la loi française Informatique et Libertés.

En France, « plus d’une centaine de villes » ont équipé leur police municipale avec l’application Briefcam, selon son représentant en Europe, Florian Leibovici. C’est notamment le cas de #Nice, #Roanne, #Aulnay-sous-Bois, #Perpignan ou #Roubaix. Les algorithmes de Briefcam scrutent également les visiteurs du parc d’attraction du Puy du Fou et, bientôt, les élu·es de l’Assemblée nationale. Une implantation qui fait de la société l’un des leaders sur le marché hexagonal.

(Le Canard réfractaire en parle)
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salinger3@diaspora-fr.org

Aucune excuse !

Témoignage video : https://www.youtube.com/watch?v=Vhd7eMx4P7E

La justice reproche aux suspects d’avoir tiré au flash-ball à courte distance sur un jeune homme, Hedi, un employé de restauration de 21 ans. L’impact s’est logé dans la tempe. On leur reproche aussi de l’avoir roué de coups avant de le « laisser pour mort » dans la rue. La scène s’est produite lors des émeutes dans le centre-ville de la cité phocéenne, dans la nuit du 1er au 2 juillet, après la mort du jeune Nahel à Nanterre.

En réponse le gouvernement regarde ailleurs et laisse le #DGPN et le préfet de police de Paris s'exprimer pour soutenir les policiers agresseurs :

Soupçonnés de cette agression, quatre policiers ont été mis en examen et l’un d’eux placé en détention provisoire, suscitant la colère des syndicats. Le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, a déclenché une polémique en estimant, dans un entretien au Parisien que le placement en détention provisoire du policier incarcéré n’était pas nécessaire.

https://www.leparisien.fr/faits-divers/une-partie-de-moi-ny-croit-toujours-pas-frappe-par-des-policiers-a-marseille-hedi-temoigne-27-07-2023-UOBKROT4CFDCPGQFB2YN3OQXCQ.php

https://www.leparisien.fr/faits-divers/detention-provisoire-requise-pour-quatre-policiers-marseillais-soupconnes-de-violences-en-reunion-20-07-2023-3G77MUJ7INCSDPU7WPMQMPPMKA.php

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