Bonjour à tous,
Suite à un non-lieu mal venu concernant l'affaire du vaccin DTPolio (sans aluminium) retiré unilatéralement par Sanofi, l'Association E3M, partie prenante du procès, publie un Dossier de Presse d'intérêt (en PJ).
On y note en particulier:
Comme le précise le Pr Floret, ancien président du Comité Technique des Vaccinations (Haut Conseil de Santé Publique) : “ on ne connaissait pas grand-chose [à l'Aluminium] avant les travaux de Gherardi ».
Le Pr Gherardi précise :
" Nous avons montré en laboratoire que, contrairement à ce que l'on croyait auparavant (Flarend 1997), les particules d'hydroxyde d'aluminium injectées dans le muscle ne sont pas solubilisées dans le liquide interstitiel et l'aluminium dérivé du vaccin n'est pas rapidement éliminé dans l'urine : au lieu de cela, ces composés particulaires presque insolubles sont rapidement capturés par les cellules de la lignée des monocytes/macrophages et peuvent persister dans ces cellules plusieurs mois après l'injection chez l'animal (Authier 2006) jusqu'à plus de 17 ans chez certains êtres humains.
Nous avons également montré que, contrairement à l'hypothèse classique de formation de dépôts (dans laquelle on pensait que le dépôt local des adjuvants jouait un rôle crucial – Marrack, 2009), une partie substantielle de l'adjuvant injecté est transportée au sein des cellules vers des organes distants (Khan 2013 ; Eidi 2015) où ils peuvent persister aussi longtemps que dans le muscle injecté (Crépeaux 2015). Ces organes comprennent les ganglions lymphatiques régionaux, la rate et le foie, et les particules peuvent éventuellement pénétrer dans le cerveau en utilisant un mécanisme de cheval de Troie dépendant de CCL2 (Khan 2013 ; Eidi, 2015 ; Crépeaux 2015).
Nous avons finalement montré que, contrairement à la croyance antérieure selon laquelle l'innocuité des adjuvants à l'aluminium peut être déduite des faibles quantités d'Al3+ injectées dans les vaccins (paradigme « la dose fait le poison »), les effets neurotoxiques des particules d'hydroxyde d'aluminium (Alhydrogel®) répondent à une courbe dose-réponse non linéaire avec une toxicité sélective des doses les plus faibles (Crépeaux 2017). Il semble que la toxicité de cet adjuvant particulaire presque insoluble qui se concentre dans les cellules immunitaires puisse obéir aux règles spécifiques de la toxicologie des petites particules plutôt qu'à une relation dose-réponse simpliste."
(Toxic story : « Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins » Pr Gherardi – Ed. Actes Sud, 2016)
et aussi:
LA PHARMACOVIGILANCE N’EST-ELLE PAS LÀ POUR SURVEILLER LES EFFETS INDÉSIRABLES DES VACCINS ?
C’est effectivement son rôle. Mais elle ne l’assume qu’en partie. Les scandales sanitaires se succèdent, sans que cette question fondamentale soit prise à bras le corps.
De l’avis même des Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV), l’obligation légale faite aux professionnels de santé de déclarer tout effet indésirable (Article L5121-25 du code de santé publique) n’est pas respectée. En 2006, dernière publication officielle sur ce sujet, seuls 1 à 10 % des effets indésirables étaient remontés à la pharmacovigilance (CRPV Tours).
Dès lors, le système de pharmacovigilance détecte parfois des signaux et en ignore beaucoup. En aucun cas elle ne peut indiquer une quelconque prévalence.
L’ANSM, maître d’œuvre de cette pharmacovigilance, doit cesser d’être en situation d’attente passive de ces trop rares déclarations et s’impliquer activement dans la recherche d’informations.
Notons que l'Aluminium est un neurotoxique largement prouvé (par différentes études sur les prématurés, les insuffisants rénaux, diverses populations exposées, ...) que l'on injecte maintenant aux nourrissons de 2 mois pesant 5 kg en grande quantité (820 microgrammes dans l'Infantrix Hexa alors que la limite à ne pas dépasser chez le bébé d'après la FDA est de 5 microgramme par kg et par jour, soit 25 microgrammes pour un nourrisson de 5 kg). L'aluminium vaccinal pourrait être un des responsables de l'énorme augmentation de l'autisme infantile ces dernières années.
Notons aussi que les carences des Centres de Pharmacovigilance ne se limitent pas aux vaccins aluminium mais s'étendent à tous les médicaments (du Médiator au Levothyrox en passant par le Viox et ... les vaccins Covid!)
https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2023/01/Dossier-de-presse-25-janv-23-1.pdf
Cordialement
#Vaxx #dtpolio #aluminium