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Commercieel softwarebedrijf schendt jarenlang de privacy van tienduizenden patiënten en het medisch beroepsgeheim van tientallen huisartsen

Follow the Money

Onder het mom ‘handig voor huisartsen’ bouwde Medworq dashboards op basis van echte patiëntendata. Via de software van dit commerciële bedrijf zetten minstens 35 huisartsen de achterdeur open naar hun patiëntengegevens. Van ten minste 72.000 Nederlanders zwierven zo jarenlang alle medische gegevens rond op de servers van Medworq. De huisartsen waren hiervan niet op de hoogte, en wisten dus niet dat zij jaren op rij hun medisch beroepsgeheim schonden.

Dit stuk in 1 minuut

  • Medworq verzamelde jarenlang volledige medische dossiers bij huisartsen, zonder dat zij of hun patiënten daarvan op de hoogte waren. Medische gegevens genieten de hoogste graad van wettelijke bescherming. Maar dit bedrijf bewaarde patiëntengegevens op onveilige plekken, tegen de afspraken in.
  • Hiermee is de privacy van minimaal 72.000 patiënten en het medisch beroepsgeheim van zeker 35 huisartsen ernstig geschonden.
  • Medworq bouwde de software en medische databases waarvoor de data verzameld werden in opdracht van farmaceutische bedrijven. Hiervan waren artsen niet op de hoogte.

Hoe heeft Follow the Money dit onderzocht?

  • Voor dit onderzoek kreeg Follow the Money beschikking over zeer gevoelige data, waaronder medische gegevens van zeker 72.000 mensen en interne documenten van Medworq.
  • Voordat we hiermee aan de slag gingen, heeft Follow the Money een jurist geconsulteerd en besproken hoe we privacyschending konden minimaliseren. Dat heeft geresulteerd in afspraken over beveiliging en toegang tot de data; in dit kader zetten we ze op een rij.
  • Follow the Money heeft de getroffen huisartsen een factsheet en verdere informatie gegeven waarmee ze melding kunnen doen bij de Autoriteit Persoonsgegevens. Met de huisartsen is afgesproken dat zij zelf hun patiënten informeren.

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magdoz@diaspora.psyco.fr

(Rappel) 2016 - Envoyé spécial. Vaccins pour enfants : les labos font-ils de la vente forcée ?

Vidéo Extrait 5min : https://invidious.snopyta.org/watch?v=7yt_E5B5DdQ ou https://yewtu.be/7yt_E5B5DdQ ou https://youtu.be/7yt_E5B5DdQ

#Diphtérie, #tétanos, #polio. Il est obligatoire de #vacciner ses #enfants contre ces trois #maladies. Mais en #pharmacie, on est forcé d'acheter un #vaccin contre six maladies, dont l' #hépatite B, qui est beaucoup plus cher. Et il n'est pas certain que ce soit pour des raisons de #santé publique... Extrait d’"Envoyé spécial".
Pourquoi faut-il acheter un vaccin qui protège contre six maladies quand l'obligation vaccinale n'en concerne que trois ? Depuis 2015, les parents qui veulent faire vacciner leur enfant contre la diphtérie, le tétanos et la polio, comme la loi le leur ordonne, ne trouvent en pharmacie qu'un vaccin dit "hexavalent", qui inclut l' #hépatiteB, des #méningites et la #coqueluche. Trois #vaccins facultatifs qu'ils sont donc obligés d'acheter et de faire inoculer à leur bébé. Et bien sûr, le prix n'est pas le même. Le " #DTPolio" coûtait 24 euros, le vaccin #hexavalent est facturé 120 euros. Impossible d'y échapper. Est-ce une "vente forcée" ?

Une vidéo compromettante

Pour deux cadres du #laboratoire #GlaxoSmithKline ( #GSK) qui commercialise ce vaccin hexavalent, il s'agit d'abord de considérations de santé publique – lutter contre l'hépatite B –, et en aucun cas de raisons commerciales ou de #rentabilité.

Pourtant, Sophie Bonnet s'est procuré une vidéo datant de juin 2012, où l'on voit Jean Stéphenne, ancien directeur de la branche vaccin de GSK, se vanter de sa réussite. Il explique que GSK détient tous les #brevets sur le vaccin contre l'hépatite B. En le combinant avec des vaccins non protégés par un brevet, le laboratoire étend son monopole sur l'hépatite B aux cinq autres vaccins : "C'est comme ça que la société s'est créée et est devenue successful […] donc la stratégie, c'est pas plus compliqué que ça." Le labo a donc commercialisé ces vaccins multiples parce qu'il les trouvait beaucoup plus rentables.

Extrait d'" #EnvoyéSpécial. Se soigner à quel prix ?" du 11 février 2016.

Ceci pour répondre à une vidéo d'un certain « Tronche de Fake » de 2017 (qui refait surface là), quidam qui a mis une blouse blanche dans sa vidéo, pour faire plus sérieux, pour influencer... Il est dans les clous de l' #influenceur #youtube.. Il réalise un « #debunkage » en analysant le discours d'une maman #AntiVax, qui sur certains points est exagérément débile : c’est facile de #debunker des conneries monumentales....
Mais il est bizarre de ne pas le voir revenir du tout sur ces magouilles liées aux vaccins et aux grands #labos.. Et notamment le fait que l'hépatite B ne se contracte que dans des rapports sexuels ou par le #sang (également le lait maternel, mais voir à ce titre l'article du Vidal).... Pourquoi forcer les bébés à la #vaccination contre l'hépatite B ? Réponse dans cet extrait vidéo d'Envoyé Spécial...

À 20min25 de la vidéo de Tronche de Fake, il aurait eu l'occasion de nuancer son propos, en reconnaissant que le chiffre d'affaires d'un labo n'est pas forcément un bon signe, comme le prouve justement l'enquête d'Envoyé Spécial.... mais nan, il n'a fait que défendre #BigPharma en éludant totalement ce point...

Monsieur " #TroncheDeFake" devrait se renseigner un peu avant de faire le malin dans ses petites vidéos de vulgarisation #scientifique... Ce monsieur semble faire autant de la #politique, voire de la #propagande, que des #sciences... on peut se poser la question, en tout cas...

"Envoyé Spécial" serait ... Antivax ? ^^

Allons... Un peu de sérieux..

Depuis la #crise #covid19, l'aspect antivax est devenu #viral... mais qui est antivax, vraiment ? Voici une petite phrase, vue sur #Mastodon, qui en dit long :

Appeler “antivax” quelqu’un qui s’oppose au vaccin #anticovid tout en étant à jour des autres vaccins, c’est comme qualifier de “vegan” un viandard qui refuserait de manger de la viande de rat.

La #France, un #peuple profondément divisé sur ces sujets, notamment sur celui du #pass... Cela aussi, doit préparer les #élections à venir, je suppose...