#avant

mikhailmuzakmen@pod.geraspora.de

“They say these days that History is Fucked. Nothing ever dies but continues to rule the earth as an undead tyrant that cannot accept it’s own decomposition, look earwardly upon the dance of the proudly dead and decrepit!”

#music #experimental #punk #rock #avant #improv #London

The Mule Peasants' Revolt of 12​,​067 von Historically Fucked

  • ‘The Mule Peasants’ Revolt of 12,067’ is not mere Sedentary Rock but Blasted Basalt, Frog worshipping cave-funk, harmolodic hullabaloo-wop, a musical game of “badger in the bag”. It is the sound of sacks crammed full of aggregate, a chimerical mind-meld, a seductive din that is to a hound dog in blue suede shoes what a raking of the dorsal fin with a fat marrow pinecone is to a pelican in the midst of being fired from the academy.
mimoutte@framasphere.org

#news #nouvelle #humeur #humour #Macron #chemin #avant #après #élection #démocratie #mywork #mytext
-VERY GOOD TRIP*

Bon, et maintenant qu’est-ce qu’on fait ? C’est l’entre-deux presque l’après de l’avant et nous en sommes toujours au même point. J’y perds mon latin et tout le reste. C’est sûrement la faute à Macron. Les élections qui n’en sont plus, vu la participation. Des élus contents d’eux, prêts à enfourcher les mêmes vieux canassons sans aucun scrupule. C’est sûrement la faute à Macron, nous sommes donc déchargés de toute responsabilité, obligés d’obéir et cela finalement nous arrange pas mal.
BOF ! Si on m’en laisse encore le loisir, je vais reprendre mon bout de chemin malaisé, escarpé, bordé de précipices, avec malgré tout, ça et là quelques bouffées de verdure, des fontaines et des refuges. C’est mon chemin... et après moult trébuchements, déviations, questionnements, aller-retours, je m’y suis faite. Je vais d’abord aller admirer les libellules, tant qu’il en reste, cultiver mon jardin, sentir les fleurs, la verdure, ramasser quelques cailloux… indispensables à mon oxygène et à l’ équilibre de mes neurones. Un crépuscule figé dans l’infini, un verre de rouge, du pain, du roquefort, une cébette et quelques amandes. Le temps peut passer, je l’attends de pied ferme, pour lui faire son affaire. J’en suis déjà saoule. En overdose d’émotions en miettes. Je vais me laisser bercer par la nonchalance du soir et laisser tout le reste au vestiaire. Le ciel technicolor, l’apesanteur du vol compact des passereaux, l’odeur de la terre, de l’herbe, de la nature à profusion, et moi, et moi... en contemplation, en extase, transparente, presque effacée, à peine une tâche, un battement dans le cosmos. Et puis, tient, puisque c’est comme ça, je ne vais plus réfléchir à rien et me laisser emporter par le grand tourbillon....... C’est sûrement encore la faute à Macron. Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #nouvelles #élection #Macron #tourbillon #avant #après #maintenant #responsabilité #mywork #mytext

Bon, et maintenant qu’est-ce qu’on fait ? C’est l’entre-deux presque l’après de l’avant et nous en sommes toujours au même point. J’y perds mon latin et tout le reste. C’est sûrement la faute à Macron » Les élections qui n’en sont plus, vu la participation. Des élus contents d’eux, prêts à enfourcher les mêmes vieux canassons sans aucun scrupule. C’est sûrement la faute à Macron, nous sommes donc déchargés de toute responsabilité, obligés d’obéir et cela finalement nous arrange pas mal.
BOF ! Si on m’en laisse encore le loisir, je vais reprendre mon bout de chemin malaisé, escarpé, bordé de précipices, avec malgré tout, ça et là quelques bouffées de verdure, des fontaines et des refuges. C’est mon chemin... et après moult trébuchements, déviations, questionnements, aller-retours, je m’y suis faite. Je vais d’abord aller admirer les libellules, tant qu’il en reste, cultiver mon jardin, sentir les fleurs, la verdure, ramasser quelques cailloux… indispensables à mon oxygène et à l’ équilibre de mes neurones. Un crépuscule figé dans l’infini, un verre de rouge, du pain, du roquefort, une cébette et quelques amandes. Le temps peut passer, je l’attends de pied ferme, pour lui faire son affaire. J’en suis déjà saoule. En overdose d’émotions en miettes. Je vais me laisser bercer par la nonchalance du soir et laisser tout le reste au vestiaire. Le ciel technicolor, l’apesanteur du vol compact des passereaux, l’odeur de la terre, de l’herbe, de la nature à profusion, et moi, et moi... en contemplation, en extase, transparente, presque effacée, à peine une tâche, un battement dans le cosmos. Et puis, tient, puisque c’est comme ça, je ne vais plus réfléchir à rien et me laisser emporter par le grand tourbillon....... C’est sûrement encore la faute à Macron. Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #nouvelle #avant #après #pendant #élection #Macron #hirondelle #chemin #émotions #bof

Bon, et maintenant qu’est-ce qu’on fait ? C’est l’entre-deux presque l’après de l’avant et nous en sommes toujours au même point. J’y perds mon latin et tout le reste. C’est sûrement la faute à Macron » Les élections qui n’en sont plus, vu la participation. Des élus contents d’eux, prêts à enfourcher les mêmes vieux canassons sans aucun scrupule. C’est sûrement la faute à Macron, nous sommes donc déchargés de toute responsabilité, obligés d’obéir et cela finalement nous arrange pas mal.
BOF ! Si on m’en laisse encore le loisir, je vais reprendre mon bout de chemin malaisé, escarpé, bordé de précipices, avec malgré tout, ça et là quelques bouffées de verdure, des fontaines et des refuges. C’est mon chemin... et après moult trébuchements, déviations, questionnements, aller-retours, je m’y suis faite. Je vais d’abord aller admirer les libellules, tant qu’il en reste, cultiver mon jardin, sentir les fleurs, la verdure, ramasser quelques cailloux… indispensables à mon oxygène et à l’ équilibre de mes neurones. Un crépuscule figé dans l’infini, un verre de rouge, du pain, du roquefort, une cébette et quelques amandes. Le temps peut passer, je l’attends de pied ferme, pour lui faire son affaire. J’en suis déjà saoule. En overdose d’émotions en miettes. Je vais me laisser bercer par la nonchalance du soir et laisser tout le reste au vestiaire. Le ciel technicolor, l’apesanteur du vol compact des passereaux, l’odeur de la terre, de l’herbe, de la nature à profusion, et moi, et moi... en contemplation, en extase, transparente, presque effacée, à peine une tâche, un battement dans le cosmos. Et puis, tient, puisque c’est comme ça, je ne vais plus réfléchir à rien et me laisser emporter par le grand tourbillon....... C’est sûrement la faute à Macron.

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