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#exhibition

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yesbutno@pod.geraspora.de
katinka

#Bewilderness

Paloma Aguirre · Katrin Bäcker · Caty Forden · Álvaro Sendra González

#Vernissage: 28.Mai 2024, 18 - 21 Uhr
Zu sehen vom 29. Mai bis 8. Juni 2024, Di - Sa 14.00 - 18.00 Uhr

Ort: Kunstraum Somos, Kottbusser Damm 95, 10967 Berlin
somos-arts.org

Erfahre mehr/Read more (english) ...

Entdecke am 28. Mai 2024 von 18 bis 21 Uhr im SomoS die Gruppenausstellung Bewilderness, in der das Vertraute sonderbar und das Bizarre zu einem Tor zum Verständnis wird. Bewilderness vereint vier in Berlin lebende KünstlerInnen mit unterschiedlichem Hintergrund in einem fesselnden künstlerischen Dialog. Die Arbeiten von Paloma Aguirre, Katrin Bäcker, Caty Forden und Álvaro Sendra González verbindet eine surreale und figurative Bildsprache, die eigentümliche, manchmal absurde Erzählungen und Szenarien hervorbringt.

Bewilderness - ein Begriff, der in vielfältiger Weise mit den Bildwelten der vier KünstlerInnen verknüpft ist - steht eigentlich für einen mentalen Zustand, eine Stimmung, ein Gefühl - von Verwirrung oder Fassungslosigkeit, Verblüffung, Erstaunen, Ratlosigkeit, Verzweiflung, Verwunderung.

Darüber hinaus verstehen die Künstlerinnen und Künstler „Bewilderness“ aber auch als einen Ort, einen inneren Ort, dem sie in ihren Arbeiten Gestalt geben - in Landschaften, Wohnorten und urbanen oder metaphorischen Räumen. So bringt das Kunstwort „Bewilderness“, das sich aus „bewilderment“ und „wilderness“ zusammensetzt, diese Verschmelzung von Stimmung und Ort perfekt auf den Punkt. Im Deutschen ist das Wortspiel mit „Wirrwarr“, aber auch mit „Verwirrspiel“ verknüpft - etwas, das in den Bildwelten der KünstlerInnen oft stattzufinden scheint ... Erfahre mehr auf der Somos-Homepage

#kunst #art #drawing #zeichnung #ausstellung #exhibition #berlin #surreal

SomoS Arts, Berlin

SomoS Arts, Berlin presents curated exhibitions, organizes an Artist-in-Residency program, and hosts workshops, conferences and meet-ups.

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kurt@pod.thing.org
Kurt Lupin

#Exhibition

BODIES#2 Group Exhibition

Into Gallery’s next exhibition will take place in Ku’damm, continuing our series of “moving exhibitions” launched in December. We will introduce the works of 23 #artists who have the #body as an instrument to discuss urgent contemporary questions, which is also Into Gallery´s curatorial focus.

#Artworks carry a diversity of issues using different artistic mediums, encompassing painting, sculpture, photography and mixed media. Our artists offer a distinctive lens through which to unravel the intricacies of the main theme – spanning from overexposure to the absence of the human body. The artworks present complexity in their content and greater aesthetic refinement to excite the viewers.

The “moving exhibitions” occupy different spaces in the city highlighting talented Berlin and international artists and it will take place in Ku’damm on March 28th.

https://into.gallery/bodies-2-group-exhibition-into-gallery/

#art #bodies

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ls@diaspora.psyco.fr
RoseMara

Lice jezika / The Face of Language, 1998

Sanja Iveković is placing photos of battered women in the Ribnjak city park, to which she adds offensive expressions for women in the Croatian language: koza - goat; kuja - bitch; guja - adder; mula - mule; kokoš - hen; krava - cow; tuka - turkey; guska - goose.

#photo #photography #myphoto #mywork #exhibition #art #SanjaIveković #women #offensive #women #expressions #internationalwomensday #womensday

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nadloriot@diaspora.psyco.fr
nadloriot

L’Amérique reprend des couleurs avec Omar Victor Diop et The Anonymous Project

Les photos de l’Amérique des années 1950 exposées par The Anonymous Project montrent surtout des Blancs. L’artiste sénégalais Omar Victor Diop s’est malicieusement glissé dans les images. À voir dans un livre et bientôt à Paris Photo.

Les photos ont beau être en couleurs, c’est le blanc qui domine. Fêtes de famille, vacances à la mer, cérémonies de remise des diplômes… Un monde en Kodachrome, mais où les peaux sont uniformément pâles. À force de regarder à la loupe ces clichés de l’american way of life qu’il collectionne depuis des années, Lee Shulman ne pouvait qu’être saisi par la dérangeante réalité : l’absence criante de diversité dans ces chromos d’un bonheur domestique où seul le wasp (white anglo-saxon protestant) prend la lumière.

L’inventif « faiseur d’images » franco-britannique a donc entrepris de réécrire l’histoire à sa manière : en y injectant le noir qui lui manquait cruellement. Et de le faire avec le sens de l’humour et l’art du détournement déjà au cœur de The Anonymous Project, ces expos où il met en scène ses diapos vintage dans des scénographies ludiques et astucieuses. Cette fois, le projet est né d’une chaise vide. « Sur ces photos d’anonymes figés à table ou au salon, un fauteuil est souvent vacant, et j’ai réalisé que c’était celui du photographe qui s’est levé pour prendre le cliché », explique-t-il. Cette place sur le canapé, cette serviette de plage inoccupée : autant d’interstices où glisser un élément subversif pour « pirater » l’image. Et jouer ainsi d’une absence, pour en raconter une autre : celle des Afro-Américains dans ces tableaux d’un pays alors insoucieusement monocolore – et ségrégationniste

Pour mener à bien cette aventure subversive, il lui fallait un complice. Il était tout trouvé : l’artiste sénégalais Omar Victor Diop, avec lequel il partage une solide amitié autant qu’une aptitude à la légèreté pour s’emparer de sujets lourds. « Je me suis dit que ce serait génial de réussir à l’intégrer dans ces images », raconte Lee Shulman. Une proposition que le photographe africain, adepte de l’autoportrait joyeux, coloré mais à forte portée politique, ne pouvait qu’accepter : « Insérer un corps noir dans ces clichés était un joli paradoxe pour faire le portrait d’une absence », observe l’artiste, qui a lui-même travaillé sur l’odyssée des diasporas africaines, mais aussi sur les mouvements de contestation en Afrique et en Amérique.

Un résultat hyperréaliste

S’incruster, au propre comme figuré, dans ces saynètes d’une autre époque fut une longue épopée. Près de huit mois de travail, de la sélection des quatre-vingt-dix images détournées aux ultimes retouches numériques. Aidé par sa formation de réalisateur, Lee Shulman a conçu des story-boards pour chaque prise de vue : « À chaque fois, il fallait essayer d’imaginer l’histoire de la photo dans laquelle on intervenait. Un vrai travail de cinéma, avec stylisme, éclairage, direction d’acteur. »

L'hyperréalisme du résultat, saisissant à se pincer, tient beaucoup au travail de stylisme mené pour retrouver vêtements et accessoires d’époque : « Pas évident de mettre la main sur des bouteilles de bière qui ont plus de soixante ans », sourit Omar Victor Diop. Les authentiques costumes des années 50 ont aidé l’artiste à épouser ses rôles de composition : « Il y a une certaine rigidité dans les tissus et les coupes qui fait qu’on se sent vraiment entrer dans une autre peau. » Et une minutieuse postproduction, avec retouche numérique du grain et des contrastes, a permis de fondre littéralement « l’intrus » dans le paysage en recréant une patine d’époque.

« D’ordinaire, on essaie de chercher la perfection de l’image. Là, on était constamment en train de se dire que c’était trop net, trop propre. On cherchait la perfection de l’imperfection », s’amuse Lee Shulman. « Il fallait également prendre en compte le fait que j’ai une peau sombre qui réfléchit le flash différemment de celle des sujets blancs qui m’entourent », relève Omar Victor Diop. On apprendra ainsi que, jusqu’aux années 80, le standard Kodachrome pour le tirage des clichés était étalonné selon une norme baptisée « Shirley card » – du nom d’une employée de Kodak dans les années 50. Cette « carte », créée et utilisée par les laboratoires Kodak pour calibrer tons, ombres et lumières, s’appuyait ainsi sur un modèle blanc.

En feuilletant les images finales, rassemblées dans un très beau livre et exposées à Paris Photo, on oscille entre le sourire amusé, le sifflet d’admiration pour la prouesse technique et la prise de conscience produite par l’effet de répétition. Dérangeant comme un grain de poivre dans un verre de lait. « Il y a évidemment dans ce projet une part de sarcasme, mais c’est surtout une invitation à une conversation politique. Comme souvent dans mon travail, où j’ai traité de sujets graves, l’esclavage, la colonisation, les droits civiques, mais en refusant toujours de m’imposer trop de sérieux », souligne Omar Victor Diop. « L’équilibre entre le politique et l’humour est très important », ajoute Lee Shulman. Gageons que cette « réalité augmentée » qu’ils ont imaginée dans un grand éclat de rire produira, tout en légèreté, son subtil effet révélateur.

#art #photo #photographie #photography #détournement #diop #shulman #theanonymousproject #expo #exposition #exhibition

https://www.telerama.fr/arts-expositions/l-amerique-reprend-des-couleurs-avec-omar-victor-diop-et-the-anonymous-project-7017836.php

https://www.anonymous-project.com

Being There, Omar Victor Diop et The Anonymous Project, éd. Textuel, 104 p., 49 €.
https://www.librest.com/livres/being-there-omar-victor-diop_0-10274874_9782845979444.html

« Being There », présenté par les galeries Binome et Magnin-A, dans le cadre de Paris Photo, du 9 au 12 novembre 2023, au Grand Palais éphémère.
https://www.magnin-a.com/art-fairs/261-paris-photo-being-there-omar-victor-diop-the-anonymous/

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libramoon@diaspora.glasswings.com
libramoon

https://www.visionaryartcollective.com/exhibitions/what-remains

..."What Remains is a #virtual group #exhibition providing an in-depth look at our personal and creative growth since the onset of the pandemic.

In the face of unprecedented challenges brought by the global pandemic, #artists have emerged as resilient and resourceful champions of creativity. Confronted with isolation and uncertainty, they turned their homes into studios, their struggles into inspiration, and their solitude into powerful narratives, creating pieces that resonated deeply with global audiences.

This period tested artists’ adaptability, sparking a wave of innovative techniques and forms of expression. With the help of technology, art has become more accessible than ever before and artists have become beacons of hope, using their craft to shed light on social issues, amplify underrepresented voices, and offer solace to those grappling with the emotional toll of the pandemic.

Artists’ unwavering dedication to their practice demonstrated that even in the darkest of times, art remains an essential source of healing, inspiration, and connection for all. In the "What Remains" group exhibition, artists showcase their adaptability, and a continued commitment to using their creativity as a means of expression, connection, and positive change in the world.

—Elizaveta Zhurkovskaya AKA Curator on the Go"

What Remains, September 2023 — VISIONARY ART COLLECTIVE

Curated by Elizaveta Zhurkovskaya

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