#extraterrestre

dudababel@diaspora-fr.org

attention, ce message est très sérieux.

ILS SONT DES EXTRATERRESTRES RÉINCARNÉS ! les STARSEEDS

Vous vous sentez différents de vos congénères ? Vous êtes peut-être un starseed, un être aux vibrations subtiles, sages et supérieures.

L'expression starseed (littéralement « graines d'étoile » en français) provient de l'univers psychédélique et de la science-fiction. Aujourd'hui, l'expression starseeds désigne des êtres auto-proclamés hybrides, mi-humains mi-extraterrestres. Leur présence est le fruit d'une inflexion de l'univers qui entend, grâce à eux, parfaire la race humaine en l'élevant spirituellement.

L’ancien directeur du programme spatial israélien [Haim Eshed] a fait des révélations fracassantes sur une prétendue «fédération galactique» impliquant les Etats-Unis et des visiteurs extraterrestres..

selon lui, non seulement des civilisations extraterrestres nous visitent depuis des lustres mais elles ont conclu avec les Etats-Unis une alliance au sein de ce que Haim Eshed appelle une «fédération galactique» [...] «Cette coopération se traduit par l’existence d’une base secrète sur Mars où des Américains et des représentants extraterrestres travaillent de concert.» [...] Certaines personnalités d’envergure avaient déjà tenu des propos similaires. C’est le cas de Paul Hellyer, ancien ministre canadien de la Défense entre 1963 et 1967, qui à plusieurs reprises a exhorté les gouvernements à révéler leurs liens avec des civilisations extraterrestres. Citons aussi le fameux Bob Lazar , un ingénieur qui assure avoir travaillé, dans la zone 51, sur des engins extraterrestres afin de reproduire leur technologie.

Babor l'elephant nous propose un reportage d'une grande qualité sur ces êtres exceptionnels. Les anti-complotistes naïfs pourront trouver de nombreux témoignages complémentaires dans les commentaires de la vidéo. Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas.

#humour #complotisme #extraterrestre #starseed #éveil #extralucide

nunuchefollette@diasp.org

Dites j’aurais besoin de votre aide
Voilà je cherche le titre d’une série française qui a été diffusé sur antenne 2 dans les années 80
Début 80 je dirais
Une histoire d’invasion extra-terrestres
Alors pas de trucages de ouf hein
Les extra-terrestres se font la guerre sur terre pour la conquérir
Les héros sont deux
Une journaliste et un professeur je crois
Je me souviens surtout que pour tuer les extra-terrestres il fallait l’eus faire respirer une graines qui poussaient dans leurs ventres
Et je me souviens bien de la dernière scène
Les héros sont dans le métro avec un genre de cristal qui s’allume en présence des visiteurs
Ils sont assis dans les escaliers et le cristal n’arrête pas de clignoter à chaque fois que quelqu’un passe
Et y a du monde

Si quelqu’un connaît c’était quoi le titre ?

#antenne2 #serie #extraterrestre #fiction

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

De Mars aux déserts africains, à la recherche de la vie perdue

#ANTONIOFISCHETTI 19 FÉVRIER 2021

Alors que la mission Perseverance vient d'arriver sur Mars pour chercher des traces de vie fossiles sur la planète, d'autres chercheurs, comme Abderrazak El Albani, professeur à l'université de Poitiers, les trouvent sur notre bonne vieille Terre. Ceci à quatre pattes dans le désert et avec des moyens bien inférieurs à ceux de la Nasa.

Le rover Perseverance s’est posé sur la planète Mars le jeudi 18 février après sept mois de voyage. Sa mission : chercher des traces de vie microbiennes sur la Planète rouge. Pour cela, il disposera de moyens bien plus perfectionnés que les précédentes missions martiennes. Perseverance collectera des fragments de roches, qui seront d’abord analysés sur place, avant d’être ramenés sur la Terre en 2026. Quand on dit qu’on cherche de la vie sur Mars, l’idée n’est pas de ­courir après des petits hommes verts, ni même après des ­petites bêtes ou des microbes vivants, mais d’espérer dénicher des traces de micro-organismes fossiles. Rien que ça, ce serait révolutionnaire.
)

L’aventure est belle, mais en attendant de trouver de la vie fossile sur Mars, il ne faudrait pas oublier qu’il en reste encore beaucoup à dénicher sur le plancher des vaches. C’est justement l’objectif d’Abderrazak El Albani, chercheur en géologie à l’ #université de #Poitiers. Il a récemment découvert au #Maroc, dans la région d’ #Ouarzazate, des bactéries fossiles datant de 571 millions d’années. « C’est un site exceptionnel, on en trouve sur 10 m d’épaisseur et plusieurs kilomètres carrés », précise l’universitaire. Mais surtout, ces bactéries vivaient dans un ­milieu a priori très hostile à la vie, à savoir « un ancien cratère de volcan, où il y avait une très forte salinité, un milieu très pauvre en oxygène et des températures supérieures à 120 °C ». On avait déjà trouvé ce genre de #bactéries, dites « ­extrêmophiles », car capables de se développer dans les milieux les plus inhospitaliers. Mais celles découvertes par Abderrazak #ElAlbani sont les plus anciens #fossiles de ce type connus, en excellent état de conservation, et surtout en aussi grande quantité. Vous pourriez penser : quel rapport avec #Mars ?

Eh bien, cette planète ressemblait beaucoup à la #Terre, il y a quelques ­petits paquets de millions d’années. Les bactéries fossiles qu’on trouve chez nous permettent donc d’entrevoir les éventuels ­microbes qui pourraient exister dans des conditions similaires… mais ailleurs dans l’Univers. Ce n’est pas pour rien que la #Nasa est venue travailler sur le même site qu’Abderrazak El Albani… Lequel ne cache pas son légitime contentement : « Nous avons publié nos résultats avant la Nasa, et les bactéries que nous avons découvertes au Maroc représentent l’un des meilleurs modèles pour envisager ce qui peut exister ailleurs que sur Terre. Cela veut dire qu’on peut espérer dénicher la vie bactérienne dans des conditions qu’on a longtemps considérées comme incompatibles avec le développement de toute forme de vie. »

Si #AbderrazakElAlbani en est arrivé là, c’est grâce à un trait de caractère très utile en sciences : il aime bien donner des coups de pied dans le socle de connaissances que ses collègues s’étaient accoutumés à juger inébranlable. « Mon principe, c’est de sortir des sentiers battus. » C’est ce même principe qui lui a valu une autre découverte majeure, en 2008, et cette fois non pas au #Maroc, mais au #Gabon. Abderrazak El Albani y a trouvé des formes de #vie fossiles multicellulaires (mais pas #extrêmophiles, celles-là) datant de 2,1 milliards d’années. Au début, aucun scientifique n’y croyait, et pourtant, cela a permis de repousser la date de l’émergence de la vie multicellulaire de 1,5 milliard d’années, ce qui n’est pas une pichenette.

À travers ces chiffres qui, il faut bien l’avouer, nous étourdissent, se cache un enjeu fondamental, qui rejoint la quête de la vie #extraterrestre, selon le géologue : « L’un de nos objectifs est de comprendre comment le vivant peut s’adapter aux conditions de vie. Plus jeune que 520 millions d’années, c’est très étudié, mais sous nos pieds, il y a 4 milliards d’années qu’on connaît très mal. »

Cette démarche scientifique n’est pas du goût de tout le monde
Juste pour rigoler, et avec l’esprit taquin qui nous caractérise, on ne va pas se priver de rappeler que cette démarche #scientifique, donc matérialiste, n’est pas du goût de tout le monde. Du moins, pas de ceux pour qui la vie ne peut être que le fruit d’un magique éclair divin. Il faut savoir que Jean-Paul II affirmait que les théories qui « considèrent l’esprit comme émergeant des forces de la matière vivante ou comme un simple épiphénomène de cette matière sont incompatibles avec la vérité de l’homme ». Dans la même ligne, Benoît XVI a rappelé que « chacun de nous est le fruit d’une pensée de Dieu » et rejetait fermement l’idée selon laquelle tout ce qui fonctionne sur la Terre et dans nos vies serait seulement occasionnel et un produit de l’irrationnel. Quant au pape François, il semble se faire plus discret sur ces questions, mais attendons de voir.

En tout cas, aujourd’hui, ce qui limite le plus la quête des origines, ce n’est pas le Vatican, mais les moyens octroyés à la recherche fondamentale. Après sa découverte gabonaise, Albani a eu de nombreuses offres, notamment des États-Unis et du Japon, où on lui a proposé de poursuivre ses recherches avec des moyens colossaux et un bien meilleur salaire que celui en vigueur dans les universités françaises. Il a pourtant refusé, et n’en démord pas : « Poitiers est aussi respectable que n’importe quelle université au monde, et mes travaux sont financés par la Région #Nouvelle-Aquitaine et par l’Académie Hassan II des sciences et techniques du Maroc, en partenariat avec l’université de Marrakech. » Le grand public ne le sait pas, mais l’université de #Poitiers est un centre de tout premier plan pour la recherche fondamentale en géobiologie.

Alors, c’est très bien d’explorer #Mars avec des missions à plus de 2 milliards de dollars. Mais il faut aussi rendre honneur à ces universitaires qui n’ont pas les moyens de la Nasa, et qui, à quatre pattes dans nos bons vieux déserts, font des découvertes tout aussi importantes pour comprendre l’émergence de la vie, sur Terre… sur la terre comme au ciel, pourquoi pas.

Pour en savoir plus, voir le blog d’Abderrazak El Albani, ainsi que son livre "Comment tout a commencé sur la Terre", écrit avec Roberto Macchiarelli et Alain Meunier, dessins d’Adelinaa (éd. HumenSciences, 2020).

#charlie #charliehebdo