#fleuves
Peut-on #nettoyer la #Seine? | #IdrissAberkane
C'est très sérieux, pour les #Jeux #Olympiques d'été 2024 il a été planifié de sélectionner les #athlètes par des #épreuves dans la Seine... Cela fait bien trente ans qu'on nous parle de se #baigner à #nouveau dans ce #fleuve autrefois sacré. Oui, les #sources de la Seine, qui est d'ailleurs en réalité, si l'ont veut être pédant ou #hydrographe au choix, l' #Yonne, furent vénérées par les #Gallo-romains qui y érigèrent un #temple. A l'heure où certains #fleuves se voient accorder un #statut #juridique proche de celui d'une #personne #physique; avec la capacité de se #défendre contre les #sévices, on peut dire que la Seine est bien un cours d' #eau #torturé...
...Mais on pourrait la #soigner, et c'est le #sujet de cette #vidéo!
https://www.youtube.com/watch?v=t_B6VfL-SPE
#politique #jeuxolympiques #paris #idrissaberkane
Yvette Tetteh descend 450 kilomètres du fleuve Volta à la nage.
Pour documenter la pollution aux microplastiques.
Elle aura crawlé sur 450 kilomètres pendant 40 jours, à raison de six jours par semaine, ponctués de pause de 20 minutes régulières pour prélever des échantillons d’eau. Objectif : mesurer la pollution que constituent les microfibres plastiques issues des vêtements qui s’entassent dans les décharges ghanéennes.
Le Ghana importe quelque 15 millions de vêtements chaque semaine, et les invendus finissent dans d’immenses décharges, aujourd’hui saturées au point de se déverser dans le fleuve. 15 millions de vêtements par semaine, et autant de déchets en puissance.
Elle plaide donc pour revenir à ce stade, protéger, restaurer. Un défi qui commence par tarir la source de pollution, à des milliers de kilomètres d’Accra, dans les usines qui sortent des centaines de collections par jour. Mais aussi ici, dans nos choix, nos pulsions d’achats, nos envies.
#environnement #pollution #microplastiques #eau #fleuves #activisme #conscience
Ça s'appelle s'impliquer concrètement, bref, tout ce que beaucoup de gouvernements promettent de faire et ne font pas.
Non, nous ne manquons pas d' #eau #potable ! | #IdrissAberkane
Le #monde #consomme un peu moins de 60% du volume de l' #Amazone en eau #douce, chaque année. A l'heure où le #malthusianisme forcené, veut confisquer toutes nos #libertés, limiter drastiquement les #naissances, nous #confiner dans ces atroces " #villes de 15 minutes", il était devenu absolument vital de #contredire ce #discours #apocalyptique par un peu de #science exacte. Non, nous ne manquons pas d' #eau-potable. Certes, sa #répartition dans le monde n'est pas bonne, mais une chose qui peut se répartir facilement de l'Alaska à l'Afrique et du Lac Baïkal à la Terre de Feu, c'est l' #intelligence et la #connaissance.
Si la Macronie a vanté le #projet #apocalyptique d'un nouveau #rationnement de l'eau douce (dans une #France qui n'a jamais manqué d'eau, ni pour sa #population ni pour son #agriculture ni pour son #industrie) nous devons rappeler que des #projets existent qui pourraient générer le débit de plusieurs grands #fleuves par an, et que non, définitivement, nous ne manquons pas d'eau douce, nous ne manquons que de #bon-sens.
https://www.youtube.com/watch?v=gJHlnAnyylo
#eau #géopolitique #politique
Le dernier fleuve sauvage d’Europe devient intouchable.
C'est un événement historique : après plus de dix ans de mobilisation écologiste, l’Albanie vient de déclarer l’ensemble du fleuve Vjosa « parc national ».
Un concept inédit qui pourrait influencer les façons de protéger les rivières.Un parc national sans équivalent en Europe : c’est l’ensemble du lit du fleuve sur son cours albanais et même certains de ses affluents, soit près de 13 000 hectares, qui sont désormais protégés au titre de la catégorie II de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), l’un des plus hauts degrés de protection possibles.
C’est un tout nouveau concept qui DEVRAIT devenir un modèle pour l’Europe.
#environnement #écologie #écosystèmes #fleuves #rivières #bassins-versants #protection-de-la-nature
