#bonnejournée

guillaumechocteau@diaspora-fr.org

Un homme fait un trou dans la glace et commence à pêcher quand une voix venue du ciel lui dit :
— Il n’y a pas de poissons ici !
L’homme s’éloigne, fait un nouveau trou et la même voix :
— Il n’y a pas de poissons ici !
Après plusieurs trous, l’homme demande :
— Mais qui êtes-vous, qui me parle ?
Et la voix répond :
— Je suis le directeur de la patinoire....

#bonnejournée

fl@diaspora.psyco.fr

#bonnejournée - j'aimerai bien avoir un #animal chez moi... j'aimerai bien avoir un teckel -

Mon teckel je l'appellerai : je sais pas comment...
il aurait son caractère, un peu chiant, un peu têtu et puis tout subtilement très très sympa
Mon teckel je le prendrai avec moi pour mes ballades
Je lui apprendrais à rester toujours à mes pieds
Il faudra bien - car dans la forêt - un chien comme ça,
Il partirait à la conquête d'un animal quelconque...

Tiens, vous savez, hier j'ai vu 6 jeunes chevreuils...
Ben le chien avec un troupeau comme ça, je ne le reverrai plus...

brocard

Pis en final je le connaîtrais très bien et je saurais quand
il faut le tenir en laisse ou quand je pourrais le laisser libre...

teckel

fl@diaspora.psyco.fr

#pensée #bonnejournée #spiritualité #vivre #ensemble #société #fl-mars22 #fl-femmes #monde #terre #compassion #ego #capitalisme

Je fais un test ... je vous livre une pensée que j'arrive enfin à écrire et concernant les massacres qui se déroulent en Ukraine.
Peut-être, vais-je effacer ce message, je ne sais pas... C'est une sorte de bilan car vous savez je vais bientôt avoir 50 ans.
En tous cas merci si vous prenez le temps de lire et si vous me donnez un message qui pourrait m'aider à développer ma pensée.


Pensées en ces temps où l’on massacre – comme dans les livres d’Histoires mais en vrai

Je suis stupéfaite par l’immensité élan de générosité déployée par l’ #Europe et ses habitants en faveur des Ukrainien-nes. On m’a même raconté l’histoire d’une femme avec ses deux enfants dans sa voiture, qui a traversé tous les pays avant d’arriver en #Suisse. A l’arrêt sa voiture était criblée de balles…

Il y avait eu le même élan de générosité durant la pandémie. Mais là, pas d’impact de balles, juste la nécessité absolue de préserver la santé des gens, éviter à tout prix la propagation de ce «machin» qui a foutu en l’air des milliers de familles, dans des drames que l’on croyait d’un autre temps.

Aujourd’hui, c’est un devoir #moral disait un politicien que d’accueillir les survivant-es de ce qui se passe entre Russes et Ukrainiens. On va les loger, leur permettre de travailler, les soigner – on va leur donner de la paix, de la tranquillité pour qu’ils/elles puissent soigner leur traumatisme. C’est le minimum. Si j’avais vécu la guerre, j’aurais apprécié une une main qui se tend.

Alors, au fond de moi, maintenant, en ce mois de mars 2022, j’apprends à accepter. Accepter que mes rêves ne seront pas réalisés (par manque de moyens financiers) : adopter un chien, habiter dans un logement un peu plus insonorisé pour bien dormir, regarder la tv, écouter de la musique, avoir une bonne eau pour ne plus acheter mon eau en bouteille pet et cesser de participer à la pollution ; partir en vacances en Europe, voyager un petit peu en train.
Accepter à l’aube de mes 50 ans, de rester invisible comme depuis toujours, continuer de faire attention pour tout payer : les impôts, les assurances, les frais divers. Rien de plus, rien de moins. Accepter de ne plus rien pouvoir faire de plus pour améliorer mon sort.

On dit qu’il faut donner pour recevoir… est-ce que je n’ai pas assez donné ? Que puis-je donner de plus, comment ?

Ai-je un comportement victimaire ? Après tout, je suis née en Suisse, j’avais donc toutes les chances de mon côtés pour «réussir ma vie» et avoir tout ce qui me manque aujourd’hui.

Je pense à tous ces gens qui ont investis toutes leurs économies, parfois leur retraite pour se créer une petite affaire pour survivre. Ces gens qui ont travaillé comme des fous, se privant, eux-aussi de tout, et qui durant la pandémie ont tout perdu.

Eux, moi, nous qui n’avons rien fait d’autre que respecter des lois pour survivre dans un pays ultra-libéral (biberonné aux énergies fossiles à bon compte et autres alliances économiques avec qui vous savez). Comment, allons-nous survivre le temps qu’il nous reste à vivre ? Comme des invisibles, tout simplement. Un grand silence imposé par des critères économiques imposés par la nécessité d’un PIB record.

A la fin, j’ai pensé que peut-être il s’agit là d’une sorte de karma - j’ose le terme – nous qui n’avons à faire «taire» notre égo démesuré, toujours affamé de quelques choses, quand ce n’est pas un peu de reconnaissance, malgré tout. Apprendre à donner sans rien attendre en retour, apprécier la moindre petite chose qui meuble notre quotidien paisible et célébrer cette paix qui permet d’ouvrir son esprit à plus grand que soi, au monde, à la vie, aux autres, à tous les autres. Et admirer l’immense élan de générosité qui subsiste, malgré tout, dans ce monde d’une cruauté absolue.

Parce que la cruauté qui a jalonné ma petite existence tranquille et paisible n’a pourtant jamais cessé : la guerre en ex-Yougoslavie, les massacres au Rwanda, j’avais 20 ans. Les guerres du Golf, j’avais 30 ans. Puis l’Afghanistan, la Syrie, etc. j’avais 40 ans. Un flot de cruautés absolues – reléguant mon seul souci à survivre dans les crises économiques générées par ces «crises» qui durcissait à chaque fois un peu plus, la perspective de «trouver une place» dans ce pays.

J’ai appris très jeune la chance que de vivre dans un pays qui ne connaît pas la guerre. Grâce à ma grand-mère et son histoire de la 2e guerre et grâce à Samuel, mon pote qui avait été ramassé sur une frontière quelconque, par la #Croix-Rouge, durant la guerre en Erythrée.

A ce titre, au nom de tous ces gens, ceux du passé, ceux de maintenant, je vous demande pardon – moi je n’ai jamais connu la guerre, c’est ma chance et je n’ai rien à reconstruire, ni en moi, ni autour de moi. A l’aube de mes 50 ans, je ne peux pas participer à l’élan de générosité. Peut-être bien qu'à 50 ans on apprend à vivre avec ce que l'on est et ce que l'on est. Mais je continue d’abandonner un peu mon égo, m’effacer pour vous qui êtes l’avenir de ce monde.

Merci d’être là, bien vivants avec nous., faites au mieux et je vous livre un secret qui m’a aidée toute ma vie quand tout devenait difficile : «La vie c’est se donner un peu de temps pour apprendre à aimer». L’Abbé Pierre.

@fl-fleur

fl@diaspora.psyco.fr

#bonnejournée #photo #histoire #christianisme - Jour de Saint-Valentin

Saint Valentin ou Valentin de Terni aurait vécu au IIIème siècle sous le règne de l'Empereur Claude II le Gothique qui mourut en Serbie lors de campagnes après avoir contracté la peste. Saint Valentin a été canonisé par le Pape Alexandre IV et nommé patron des amoureux au XIIIème siècle.

Saint Valentin aurait donc vécu au IIIème siècle dans la Rome antique qui n'était pas encore christianisée. A cette époque les chrétiens étaient considérés comme appartenant à une secte dangereuse.

Il est dit qu'il officiait secrètement des mariages chrétiens et c'est ainsi qu'il s'attira les foudres de Claude II. En effet, il souhaitait que les hommes restent célibataires pour aller faire la guerre.

Mis en prison, il était visité par Julia, la fille de son geôlier qui était aveugle. Développant une forte amitié avec elle, elle lui portait à manger chaque soir tandis qu'il lui racontait comment était le monde.

Un jour, il guérit sa cécité ce qui entraîna la conversion de Julia et de toute sa famille qui devinrent chrétiens. Claude II en fut informé et ordonna que Saint Valentin soit décapité sur la via Flaminia où une église lui est toujours dédiée.

Cette histoire est également rapportée dans l'ouvrage de Jacques de Voragine La légende dorée écrit au XIIIème siècle. Cette ouvrage avait pour but de répertorier les Saints et martyres ainsi que leurs vies. Philippe Walter, éminent médiéviste décrit ce livre comme un moyen pour l'église de remplacer les croyances païennes, notamment celtes, par des croyances chrétiennes, ce qu'on appelle la mythologie chrétienne.
valentin

schreibhexemonalisa@pod.geraspora.de

Einen erfrischenden Sonntagmorgen in die Runde. Obwohl, bei uns regnete es gestern nicht. Es grummelte ein paar Mal kräftig und das war's. Nur im Umkreis konnte ich anhand der Wolken erkennen, daß wenigstens die etwas abbekamen. Hoffentlich nicht als Flut....

Moooiiin!

#SchlitzRimbach #Gewitter #Regen #GutenMorgen #GoodMorning #Bonjour #haveaniceday #BonneJournée #Fotografie #photographie #photograph #Radfahren #bicyclette #cycling #Smartphone #Mywork #Germany #Allemagne #Vogelsberg #Weide #pature #meadow #nature #Natur