"Avec le HRI-1, on tombe sur une réduction de près de 33% des pesticides, tandis qu'avec le Nodu on est sur une hausse de 3%, ce n'est pas du tout la même chose !", explique M. Uthayakumar, directeur du plaidoyer de la Fondation pour la Nature et l'Homme.
"Le Nodu était le seul outil efficace de long terme permettant de mesurer notre progression en matière de réduction des pesticides", souligne pour sa part Cédric Marteau, directeur général de la LPO. Y renoncer c'est une tentative de masquer la réalité et un réel recul".
"Souveraineté alimentaire" ? Où ça ? Quelle, souveraineté ?...