Ces informations sur le #Sars-Cov2 et la #vaccination sont-elles vraies?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pand%C3%A9mie_de_Covid-19

1. Le sars-cov2 a été fabriqué par l’homme dans un laboratoire à Wuhan, [...] les mails de Fauci prouvent qu’il le savait et qu’il a tout fait pour cacher l’information.

Il est tout à fait légitime de se poser la question de savoir s’il existe un lien entre le laboratoire de Wuhan et l’origine du Sars-Cov2. Cette hypothèse est aujourd’hui envisagée, mais d'un point de vue scientifique et non pas « complotiste ».

Rappelons, pour commencer, que le #faucigate est une « vision » des choses. Car ces mails ont été obtenus légalement via une demande de la Freedom of Information Act (FOIA), puis publiés par le Washington Post ou Buzzfeed News.

Ensuite, il faut bien situer le contexte de ce mail (page 3187), à savoir qu’il date du 31 janvier 2020, au tout début de l’épidémie. Andersen explique alors à ce moment qu’il souhaite « examiner cette question [que ce coronavirus est une construction de laboratoire
]de façon très critique ».Ses recherches sont ensuite publiées et avec comme déclaration introductive que « nous ne pensons pas qu’un quelconque scénario de laboratoire soit plausible. ».
Rajoutons au passage que Andersen lui-même expliquera dans un twitte,supprimé depuis, que « [ ce que Cet] email montre est un exemple clair du processus scientifique.»

« Voici comment le #virus a été créé » : Ce mail, situé page 2286 des mails de Mr Fauci est un mail envoyé par un certain Adam Gaetner qui ne fait que reprendre un paragraphe de la page 2 de cette étude qui porte sur le SRAS de 2005. À noter que Mr Fauci n’a pas donné suite à ce mail (source)

1. Les passeports dits “#sanitaires”(sic) étaient prévus depuis longtemps en 2019 voir les documents internes de la Commission

Ce document est bien authentique (https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf) mais s'inscrit dans un contexte de résurgence de la rougeole (https://factuel.afp.com/non-lunion-europeenne-ne-preparait-pas-un-passeport-vaccinal-bien-avant-lepidemie-de-covid-19). Avec 50 morts en deux ans, il était donc question d'étudier la faisabilité d' « une carte de vaccination commune qui puisse être partagée par voie électronique à travers les frontières ». (source)

1. Les personnes qui ont accepté une thérapie génique à #ARNm reçoivent un code génétique pour que leurs cellules fabriquent des protéines #spike. Il y a un bouton ON mais pas de bouton OFF [...] Elles peuvent avoir des pertes de protéines spike et ainsi contaminer les autres. C’est Luigi Warren, le créateur de la technologie #Moderna qui l’affirme […]

Brigitte Autran, explique sur ce site que l’ARNm est très instable et est rapidement dégradés ce qui empêche une prolifération des protéines Spike comparée à une infection à la #COVID19. Nous y revenons plus en détails après, mais les documents de l’EMA expliquent que la concentration de l’ARNm est à son maximum 48 heures après l’injection. Ajoutons que la faible quantité de cellules sollicités pour coder la protéine Spike sont rapidement détruites par le système immunitaire.

Il n’existe de plus aucune preuve que les personnes vaccinées peuvent « excréter » des protéines Spike. Il existe ici une confusion entre les protéines fabriquées suite à la vaccination et un « vrai » virus qui lui peut être excrétés pour contaminer d’autres personnes.
D’autant que le but de la vaccination et de forcer notre organisme à créer des défenses immunitaires (des anti-corps) afin de détruire un virus inactivé (ou d’autre méthodes que pour l’ANRm), cette théorie n’est donc absolument pas logique puisque les anti-corps sont (justement créés pour détruire cette protéine](https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/detecteur-rumeurs/2021/05/06/non-vaccines-ne-peuvent-expulser-vaccin).

1. Le Dr Byram Bridle pourtant pro-vaccins, professeur-associé d’immunologie virale à l’Université de Guelph, confirme par son étude que les protéines spike se transmettent par le sang et le lait maternel et qu’elles sont toxiques

Bridle soutient tous ces propos sans aucune preuve mise à part ce fameux document de l’agence de pharmacologie japonaise. Ce document est d’ailleurs public et disponible depuis le 4 avril 2021 selon Internet Archive.
Plus important encore, le document japonais mentionne page 6 une étude (185350) qui est aussi cité dans le European public assessment report de février 2021 de l’EMA page 47. Il est ici question de vérifier la [« bio-distribution » des nanoparticules lipidiques (LNP)]https://www.news-medical.net/news/20201019/23763/French.aspx) sur des rats. L’étude conclue que la majorité des LNP restent sur le site d’injection bien qu’on retrouve 20 % de la dose dans le foie mais moins de 0,1 % dans les glandes surrénales et les ovaires.
Il est aussi important de noter que ces documents parlent uniquement des LNP et pas de la protéine Spike, il y a ici une confusion.

1. Une mère reçoit sa deuxième dose de Pfizer. Le lendemain, son bébé allaité fait une réaction cutané avec fièvre puis meurt […]

Rappelons pour commencer que VAERS seul ne peut pas vous assurer que la personne est décédée à cause du vaccin. On peut aussi citer l’exemple de ces déclarations VAERS de mineurs décédés par arme à feu après une vaccination
Ensuite, rajoutons que deux études en pré-publication (ici et là suggère qu’il n’y a pas de concentration de protéines Spike dans le lait maternel.

1. La protéine spike à elle seule rendrait malade même sans le virus et comme il a été fabriqué en laboratoire, on peut envisager la possibilité que ce soit volontaire et que la protéine spike est une arme biologique [...]

Cette déclaration est plutôt vraie et a pour origine cette étude qui explique qu’en effet, la protéine spike peut endommager à elle seule les vaisseaux sanguins. Cependant, il est ensuite impossible de mettre cela en parallèle avec la vaccination. D’ailleurs, à la fin de l’étude, les chercheurs concluent que « les anti-corps générés pas la vaccination protègent de l’infection à coronavirus mais aussi contre les blessures causées par la protéine spike sur l’endothélium ».

1. La France est totalement mouillée par le FauciGate puisqu’un mail du Dr Jean-François Delfraissy prouve les pressions sur lui du système Fauci. Le mail documente une corruption de Delfraissy qui se vante d’empêcher le libre accès à l’hydroxychloroquine […]

Page 1840 des mails de Fauci, il est effectivement question d’échanges avec Mr Delfraissy au sujet de l’#l’hydroxychloroquine, mais cette discussion fait suite au tout début de la médiatisation de l’étude très contestée ensuite sur le plan scientifique du Dr #Raoult. Delfraussy décrit alors une «énorme pression politique» qui pèse sur ses épaules pour permettre la prescription de cette molécule. Mais non ne voit pas trop pourquoi cet échange constitue un « scandale », surtout quand on lit la prudence dont fait preuve le médecin français dans ses mails sur l’étude du Professeur de l’IUHM en expliquant que les données de l’étude ne sont « pas particulièrement convaincantes » ou encore qu’il est nécessaire de les confirmer « par une étude randomisée de bonne facture ».

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