#format

robbie@diaspora.ragesoss.com

Almost a Month on Diaspora now. Changing the way I use it.

It does take some time to learn how to use #Diaspora, and that's because Diaspora doesn't tell you how you're supposed to use it. You make it do what you want it to. And #tutorials are easy to find and use. That is not only very unusual for a social media platform, but it's also totally cool! Build your own, the way you like it! Building your own the way you like it takes time, though, and I think a lot of people are just in a hurry and not willing to take the time. So here are a few lessons learned in my first month on Diaspora:

  1. Social media doesn't reflect how most people actually think and feel. It's a place where the people who make the most noise get all the attention. Most people aren't even on social media, and kids my age aren't on anything like Diaspora, and not many even on #Facebook anymore. It's all 10-second videos on TikTok or Snapchat, and 99.99999 percent of it is just "look at me, ain't I cute."

  2. It's okay to use the #Ignore button, even though it seems bad to do need it. It's probably true that some people have blocked me too. I got really mad at some Diaspora people (do we call our selves "Diasporians" or something?) who said I was intolerant, bigoted, whatever because I don't accept and celebrate things that I think are bad. I blocked them, and they blocked me, probably. But that makes my experience - and theirs too I guess - better and just more enjoyable, by getting stuff that makes you angry out of your feed. Also, I got a PM from a stranger with no profile, just a picture. Not even a single post. But he/she/they says they want to do everything just in private chat. I think that's inappropriate with a kid and it's creepy. So the Ignore button is also maybe a safety thing.

  3. #Markdown language is really cool! I could never do that on Facebook, but here I can #format my posts and even comments with italics, bold, strikethrough, all kinds of cool stuff! It's just fun, and it makes my posts look nicer. I found an easy cheat sheet here that I use a lot.

  4. Do the #profile thing, please! When I get a private message or want to see what someone is about, more often than not all I see is a blank page with maybe an avatar and nothing else. It's probably a better experience for everyone if we all do our profiles so we get some idea of what people are into.

Again: It is worth taking the time to "build your own" social media experience. So if you are #newhere, just know that building your own is well worth the time, you'll meet some great people and we can all learn from each other.

𝓛𝓸𝓿𝓮,
𝓡𝓸𝓫𝓫𝓲𝓮

bliter@diaspora-fr.org

#Podcast - #ALBATOR et le #ARP-2600 - #MALENKEY

top

Voici un #format #hors-série sur l' #univers d' #Albator78 et l'utilisation du #ARP 2600 pour sa bande son #française !
N'hésitez pas à corriger les possibles erreurs en commentaire et à me proposer vos idées pour les prochaines vidéos

0:00 Intro
0:32 Présentation Albator
2:00 Extraits
2:45 Le #synthétiseur ARP
3:38 Conclusion

#images utilisés : #BD Kana, archives #Toei #animation, fanart google images, #Manga Capitaine #Harlock, Albator 78, Albator an endless odyssey

Musique :
- #EricCharden : Albator 78
- Malenkey - Everything at silent

https://www.youtube.com/watch?v=TMHq_tCx8Ow
#SF #Music #synth #synthesizer

mc@iviv.hu

💥 🆕 💥
+ 50 Math Puzzles - Solved Using Functional Julia, #mybook #newbook is also available in #pdf (for those who prefer that #format).

P.S.: After uploading the file I scrolled down a little on #leanpub's main page and found something that made me chill.

Artificial Intelligence, Digital Health devices, and other emerging trends are driving a revolution in healthcare. AI is being used to improve diagnostic accuracy [??] and treatment outcomes, while wearable devices and remote monitoring technologies are enabling patients to take charge of their own health and well-being. ...

bliter@diaspora-fr.org

#WVHS: #HD Wasn't Always #Digital - #CathodeRayDude [ #CRD]

https://www.youtube.com/watch?v=TfRMLS3j7DM

I travel hither and yon to bring you the crunchiest images of the most in-between HD #video #format. I was so thrilled to actually get this working, you have no idea.

Don't take the #videos of the #screen itself all that literally - #CRT's are notoriously hard to record, and like I said, pixel peeping flies in the face of this whole format. To the naked eye the output looks simply outstanding, and I didn't find out how it "really" looked until I was editing the closeups.

As I said in the video, if you have any WVHS #tapes, I would love to borrow them to rip now that I have a working process.

Metamorphosis: Sony's Metamorphosis (1990 Analog HDTV HDVS High-Definition Dolby Surround Demonstration Videodisc)

#retro #technology #VHS #1080p #analog #HDTV #HDVS

piyou@diaspora-fr.org

Cherche graphiste pour réaliser vidéo sur les logiciels libres

L’association Les Ordis Libres cherche graphiste pour retravailler une vidéo existante. Celle-ci explique la notion de format ouvert. Nous souhaitons la redécouper en deux : une vidéo pour expliquer la notion de format et une deuxième pour la notion de format ouvert. Elles seront diffusées sous licence CC-BY-SA.

Voir la vidéo existante

Ces deux vidéos seront complémentaires des deux panneaux 11 et 12 de l’exposition de l’association.
L’exposition est visible ici : https://lesordislibres.fr

Pour tout renseignement : contact arobase lesordislibres.fr

#graphiste #vidéo #pédagogie #logiciellibre #logiciel-libre #format #format-ouvert #licence-cc #CC-BY-SA #illustrateur #infographiste #éducation-populaire

lhs@diaspora-fr.org

De l’utilisation des formats bureautiques comme pivots de production de contenus accessibles à usages multiples

Ce document a été initié avec MS-WORD puis compléter avec LibreOffice afin de démontrer l’interopérabilité des systèmes.

L’objectif de ce document est d’être à la fois l’explication du sujet et un élément de réalisation des tests. La première partie est consacrée aux explications du concept, la seconde au support de tests.

Quelques explications

Les principaux outils de rédactions de textes bureautiques tels que MS-Word ou LibreOffice utilisent un format basé sur un schéma XML (Open Document pour le monde libre et LibreOffice – fichiers ODF – et Open Office XML pour la solution propriétaire de Microsoft – fichiers DOCX). Quel que soit le format choisi, la passerelle entre les deux est simple et élégante. Nous sommes loin des sauvegardes sous forme binaire.

L’accès au contenu est évident puisque ces différents formats sont des compressions au format ZIP de l’arborescence des dossiers et des fichiers, du contenu et des propriétés du contenu. C’est l’ensemble contenu + propriétés + habillage graphique qui est nommé document.

Le premier intérêt de ces formats et de ces fichiers est leur facilité de lecture. Nous sommes dans le cadre fichiers accessibles et lisibles directement et simplement sans interprétation.

Le second intérêt vient du choix d’une structure XML. Ce choix signifie que nous travaillons avec des contenus qui sont par définition structurés et ainsi faciles à traiter ou à analyser. Mais, cela cache une autre caractéristique fondamentale : la séparation stricte du fond et de la forme. Nous ne sommes pas en présence d’un amas de décorations typographiques ou positionnement spatiaux de textes (comme dans le cas du format descriptif PDF – Portable Document Format) mais bien dans un contenu structuré.

La structure de ces contenus n’est pas le fruit du hasard ou de l’application technique d’un schéma XML, c’est simplement l’expression des styles utilisés au travers des interfaces utilisateurs. L’ensemble de la chaîne, du rédacteur au stockage technique, est donc directe et élégante.

Ne reste plus qu’à définir un modèle de document (donc un modèle de structure documentaire) qui fasse sens pour les rédacteurs et les lecteurs. Ce modèle documentaire va ainsi apporter une structure sémantique au contenu en complément de la structure technique directement issue du format XML.

Mais en quoi tout ceci permet-il de proposer (voire garantir) un contenu in fine accessible et utilisable sur l’ensemble des canaux pour la bonne distribution du contenu ?

En premier lieu, l’utilisation de styles prédéfinis dans un modèle de document (et en verrouillant les styles) contraint de manière évidente le rédacteur à ne plus utiliser son outil de traitement de texte comme une simple machine à écrire (avec du simple texte décoré afin de reproduire une pseudo structure du contenu) mais, comme un outil de contenu sémantique. En effet, si l’utilisateur refuse d’utiliser les styles mis à sa disposition, le résultat à la diffusion du contenu ne serait d’une longue chaîne de caractères sans aucune structure ni indication sémantique. La séparation du fond et de la forme entraîne de fait un non-traitement des éléments de décoration.

En second lieu, le fait que le format produit soit une structure XML permet également de réaliser des contrôles de cohérence. Ces contrôles de cohérence peuvent être structurels (par exemple, un titre de niveau 4 ne peut pas être le fils d’un titre de niveau 2), mais ces contrôles peuvent également traiter des éléments liés à la nature du contenu (soit en volumétrie, soit en qualité de structure).

Nous voici donc avec un contenu structuré et validé produit simplement avec un outil courant de traitement de texte disponible sur la grande majorité des ordinateurs (Les suites MS-Office et LibreOffice doivent couvrir un périmètre proche des 100?% des producteurs de contenus).

Mais nous avons plus que cela.

La diffusion des contenus se fait majoritairement au travers de quelques formats :

  • Natif, les fichiers issus de la sauvegarde à partir du traitement de texte au format DOCX ou ODF. C’est le plus simple.
  • PDF, certains considèrent que cela représente soit une solution universelle et sécurité de diffuser des documents accessibles. La portabilité était un argument au début du XXIe siècle, mais plus aujourd’hui. Pour le reste, c’est une légende tenace.
  • HTML (Hyper Texte Markup Language), très pratique pour une diffusion Web des contenus.

Et, il existe également d’autres besoins ou possibilités :

  • XML DAISY (Digital Accessible Information System), très pratique pour une conversion en braille ou une lecture audio du contenu.
  • EPUB (electronic publication), le format standardisé des livres numériques.

La multiplicité des cibles de publication peut représenter un travail conséquent et de fait représenter un frein à la bonne mise en pratique de la diffusion universelle (et donc accessible des contenus). Mais, pas si l’ensemble de ces cibles peut être adressés sans effort complémentaire et en garantissant à la fois la qualité du contenu et son adaptabilité au contexte de la cible.

Le contexte de la cible ?

Chaque format porte ses contraintes ou besoins. Dans le cadre du HTML, la forme graphique est spécifique au site Web (ou espace numérique) où le contenu doit être présenté. Pour le format EPUB, des métadonnées doivent être présentent et la présentation peut être spécifique. Le format XML DAISY ne réclame aucune mise en forme. Ce sont là quelques exemples de contextes de la cible.

Cela peut sembler représenter une difficulté de plus, pas un élément de facilité ! Aucunement.

Reprenons. Nous avons un contenu au format XML qui a été validé dans sa structure technique et sémantique. Nous devons proposer ce contenu dans différents formats qui sont tous (sauf un spécifique) basé sur une structure proche du XML (et même du XML pour certains). Et nous venons de format et de contenus édités facilement et disponible nativement au format XML. Une simple transformation élégante d’un schéma XML vers un autre schéma XML répond à la question. Simple et évident.

Le seul format spécifique (encore une fois) et le format PDF, mais dans ce cas, le plus simple est de directement utiliser les options d’enregistrement direct du contenu au format PDF à partir des outils de traitement de texte. Même si les puristes pourraient considérer que produire un fichier PDF à partir du XML source est finalement assez facile. C’est vrai, des outils permettent de le faire assez simplement et c’est d’ailleurs une excellente solution lorsque l’on souhaite diffuser au format PDF sous des formes différentes. Mais, dans la grande majorité des cas, le « sauver sous PDF » est le plus évident et pratique.

Pour les autres formats :

  • HTML, est une structure très proche du XML, il suffira de prévoir d’ajouter quelques éléments de spécifications CSS (Cascading Style Sheet) de base afin de permettre l’application de n’importe quel charte graphique ou présentation sur les sites Web cibles.
  • XML DAISY, XML vers XML. Pas de problème particulier.
  • EPUB, basé sur HTML5, la production d’un EPUB devra respecter quelques éléments de structure, le fichier EPUB étant lui-même un ensemble de dossiers et contenus compressés au format ZIP. Les contenus étant au format HTML composé – le plus souvent – par un fichier HTML par chapitre de contenu.

Autre élément pratique dans cette démarche, les propriétés du document (titre, sujet, auteur et toutes les autres) sont disponibles dans quelques fichiers XML stockés dans l’arborescence du document. Donc, normalement pas d’édition supplémentaire des propriétés.

Pour les curieux

L’arborescence d’un document DOCX est la suivante :

  • docProps qui contient les éléments de propriétés du contenu (core.xml en particulier)
  • _rels
  • word qui contient le contenu dans le fichier document.xml
  • La racine contient le fichier : [Content_Types].xml

Références

Quelques références liées aux différents formats cités :

#accessibilité #bureautique #gestiondecontenu #XML #docx #odt #libreoffice #CMS #epub #daidy #PDF #format #accessibilite #cms #daisy #gestion-de-contenu #html #free-office #pdf #xml

Originally posted at: http://www.lhorens-marie.fr/de-lutilisation-des-formats-bureautiques-comme-pivots-de-production-de-contenus-accessibles-a-usages-multiples/