#japonais

dunoir@diaspora-fr.org

#Japon: Un #Révolutionnaire décède après 50 ans de #clandestinité

https://secoursrouge.org/japon-un-revolutionnaire-decede-apres-50-ans-de-clandestinite/

Un homme décédé d’un cancer en phase terminale cette semaine dans un hôpital de Tokyo a déclaré avant de mourir s’appeler non pas Hiroshi Uchida, mais #Satoshi-Kirishima. Né en 1954, Kirishima était étudiant à l’université de Tokyo lorsqu’il a rejoint le “Front Armé Antijaponais d’Asie de l’Est”, un groupe militant qui a réalisé une série d’attaques à la bombe visant l’ #impérialisme et le #militarisme #japonais. Il avait ainsi placé une bombe en 1971 au temple Koa Kannon d’Atami (sud de Tokyo), qui abrite les cendres de criminels de guerre nippons et exploser deux bombes en 1974 devant les bureaux de Mitsubishi Heavy Industries, géant industriel ayant exploité des Coréens pendant la colonisation de la péninsule (1910-1945).

Kirishima était pour sa part recherché pour avoir fait exploser une bombe dans un immeuble du quartier chic de Ginza, à Tokyo, en avril 1975, sans faire de blessés. Des affiches de recherches le concernant ornaient encore les commissariat japonais (cf. photos). Deux membres du groupe ont été condamnés à mort, dont le fondateur Masashi Daidoji, décédé en 2017. Deux des huit membres du groupe sont toujours en fuite après avoir été libérés en 1977 dans le cadre d’un accord négocié par l’Armée rouge japonaise, lors du détournement d’un avion de Japan Airlines au Bangladesh. Pendant sa cavale, Kirishima n’avait pas de téléphone portable ni d’assurance maladie et son salaire était payé en liquide pour éviter d’être repéré. Il travaillait dans une entreprise de construction sous une fausse identité depuis une cinquantaine d’années.

bliter@diaspora-fr.org

Le coup de #GÉNIE de #DAFT #PUNK 🎭 - #DansMesCordes

top

👉 1. Les débuts et la montée vers la renommée (1993-1999)
#DaftPunk est un duo #électro #français #composé de #ThomasBangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo. Leur #carrière a débuté dans les années 1990 avec la sortie de leur premier #album, " #Homework" en 1997, qui a marqué le monde de la #musique #électronique avec des titres emblématiques comme "Around the World" et " #DaFunk". Ce #disque les a propulsés vers la renommée #mondiale et a établi leur #style unique, mêlant #house, #techno, et #funk.

  1. La #révolution #robotique (2001-2009)
    Au début des années 2000, Daft Punk a pris une nouvelle direction #artistique en adoptant l'emblématique #image de #robots. Leur album "Discovery" en 2001 a été un énorme #succès, comprenant des #hits comme "One More Time" et "Harder, Better, Faster, Stronger". Ils ont également réalisé un #film d' #animation intitulé "Interstella 5555" en collaboration avec le #réalisateur #japonais #LeijiMatsumoto, créant ainsi une #expérience #visuelle unique.

  2. Les années de consécration (2010-2016)
    Daft Punk a continué à marquer l' #industrie de la musique #électronique avec leur album "Random Access Memories" en 2013. Ce #chef-d'œuvre a remporté plusieurs #Grammy #Awards, dont l'Album de l'Année. Le single "Get Lucky" avec #PharrellWilliams et #NileRodgers est devenu un #hymne #mondial. Le #duo était également #réputé pour leurs #performances #live #spectaculaires, notamment leur #set #mémorable au #festival #Coachella en 2006.

  3. La séparation et l'héritage (2021)
    Malheureusement, en 2021, Daft Punk a annoncé leur séparation après près de 30 ans de carrière. Cette nouvelle a attristé de nombreux fans à travers le monde. Cependant, leur influence perdure, et leur musique continue d'inspirer de nombreux artistes de la scène électronique et au-delà. Leur impact sur la musique populaire est indéniable, et leur #légendaire carrière restera à jamais gravée dans l' #histoire de la musique.

C'est ainsi que se résume la vie fascinante du groupe Daft Punk, des débuts modestes à la consécration internationale, en passant par leur période robotique iconique, pour finalement laisser derrière eux un #héritage #musical immortel.

https://www.youtube.com/watch?v=Ua9HBCbKpTA

dudababel@diaspora-fr.org

(je suis pas sûr d’avoir déjà poster ce texte ici, mais bon dans le doute …)


L’essentiel, c’est d’arrêter de croire de #Orwell ou #Huxley étaient des dystopies. Peut importe quel était l’empire mafieux qui invente la bombe atomique, il fallait de toute façon qu’elle soit lancée au nom du bonheur des humains, de la non-violence et de la paix dans le monde, au nom du #Progrès : il fallait que toute montée d’un cran dans le niveau de #violence soit compensée par une montée d’un cran dans la mystification, pour maintenir la supportabilité des masses dans un monde d’autant plus insupportable, pour que la course en avant dans l’horreur puisse continuer.

La nation la plus coupable n’est que la nation la plus avancée techniquement : les vertus et les vices des États ne sont que leur faiblesse ou leur force technique, seul paramètre de la variation dans l’intensité d’une violente dont elles partagent la substance. Si les #Japonais n’ont pas atomiser les #États-Unis , c’est seulement faute de moyens. Si les États-Unis ont lancé la bombe sur #Hiroshima , c’est seulement parce qu’ils l’ont inventés en premier. Il n’y a pas de Japonais, il n’y a pas d’Américains, il n’y a que les bombes, il n’y a que la guerre, ses enjeux et ses moyens de plus en plus perfectionnés. Le peuple qui les accepte n’est plus qu’un instrument et l’humain le rouage de la machine à faire le mal.

À qui la faute ? Au pilote de l’avion ? Il n’a pas lancé la bombe. Au bombardier ? C’est le pilote qui l’avait mené. Aux ouvriers ? Le travail était trop divisé et ils ignoraient qu’ils fabriquaient la bombe. Au général ? Il ne faisait qu’exécuter un ordre supérieur et justement ce jour-là, il était malade : c’est un sous-ordre qui … Au président Truman ? C’était Roosevelt qui avait mis les choses en marche, et il était bien obligé d’obéir aux volontés de l’État profond américain. L’État profond américain ? Il défend mécaniquement son intérêt objectif.
La chose s’est faite automatiquement. Qui peut-on qualifier de responsable ? Tous ceux qui n’ont pas voulu devenir responsables.

Si Turin à finit en Italie et pas en France, c’est (au regard de l’histoire de l'histoire franco-italienne et du positionnement des Alpes) seulement faute de moyens. Si Moscou ne prend pas Kiev et si Kiev ne prend pas Moscou, c’est seulement faute de moyens. Il n’y à pas d’Ukraine ni de Russie, il n’y à que l’État, ses mafias locales, leurs conflits d’intérêts économiques et historiques.
Il n’y à pas d’OTAN ni d’OCS, il y a le progrès de la crise du marché mondial, ses mafias mondiales et leurs conflits d’intérêts, son humanité-marchandise sous contrôle et ses boucheries finales automatiques.
Il n’y à pas de russes ni d’ukrainiens, pas de français ni d’italiens, pas d’américains ni d’iraniens, pas israéliens ni de palestiniens, il n’y à que la révolution et la contre-révolution.
Derrière toutes les mystifications guerrières il n’y à qu’une seule guerre, et c’est la guerre de classe contre l’État et le capitalisme, pour l’émancipation de l’humanité, dont chaque âme humaine est une bataille.

magdoz@diaspora.psyco.fr

#Japon : les #enfants disparus de #Niigata#kidnapping • FRANCE 24

16min31 France24 : https://yewtu.be/watch?v=zWvZOU0uLuw

Dans les années 1970-80, la #Corée du Nord a mené une campagne de #kidnappings dans les pays "ennemis". Et le Japon, l'un des voisins proches, a été une cible de choix. Ce programme d'enlèvements, décidé au plus haut niveau de l' #État communiste, était probablement destiné à former des #espions nord-coréens. Il a fallu attendre 2002 pour que la #dictature de #Pyongyang reconnaisse officiellement quelques kidnappings. Louis Belin, Philippe Chambret, Constantin Simon et Aruna Popuri se sont rendus à Niigata, où une jeune fille a été enlevée en 1977.

Si la #CoréeduNord a fini par reconnaître 13 #enlèvements et a renvoyé certains de ces #Japonais dans leur pays d'origine, les autorités nippones ont recensé de leur côté les preuves de 17 kidnappings. Mais en réalité, ils pourraient être beaucoup plus nombreux, peut-être des centaines.

Article : https://www.france24.com/fr/%C3%A9missions/billet-retour/20221007-japon-les-enfants-disparus-de-niigata