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Ipsos maintient le soutien à l’Ukraine
Une guerre massivement provoquée, financée et attisée par les USA, se poursuit en Ukraine, depuis 103 semaines. Contre les tentatives répétées des acteurs sur le terrain pour arrêter cette folie. Un carnage qui verra une génération entière de jeunes ukrainiens décimés pour que prospèrent encore les marchands d’armes, le pouvoir de l’autocrate Zelensky, le pouvoir US, et cette organisation belliciste dinosaurienne nommée OTAN, appendice de l’Empire en guerre éternelle.
La France, ou plutôt le _blob _français, surnommé Macronistan, y participe avec ardeur, sans l’aval du peuple, consulté ni pour l’entrée en guerre avec la Russie, ni pour l’envoi massif d’armement. Dernièrement, celui qu’il faut encore appeler président, a décidé, en monarque, de mettre la force nucléaire française à disposition des pays de l’entité états-unienne nommée UE. Quand les pays baltes passeront de l’hystérie habituelle à l’attaque franche de la Russie, nous serons donc en guerre, la fleur au fusil.
Au fond de cette hystérie belliciste, une peur partagée. Les élites ont grande crainte que le fleuve permanent d’argent et de pouvoir qu’ils confisquent à plein bras depuis des décennies,
- en s’autorisant à faire n’importe quoi et nommant n’importe qui aux postes les plus “représentatifs”-, ne soit finalement tari par la crue croissante des exigences du monde multipolaire, et celles qui dorment au fond des peuples anesthésiés par les médias et autres politicailleries.
La bourgeoisie au pouvoir est prête à tout - les Gilets Jaunes en savent quelque choses - et resserre les rangs, intensifie le pilonnage narratif, avec ses instruments d’hégémonie culturelle. Les sondages, autorisés, alimentés, financés bien souvent par les pouvoirs publics, sont à l’écoute des maîtres, dont ils doivent nourrir la propagande pour leurs caprices mortifères maintenant la puissance du Marché libéré de toute entrave depuis le consensus de Washington en 1989.
Sondage sur l’Ukraine. Quelques doutes, et biais…
On ne sait pas comment ce sondage, sur 28 pays, a été réellement fabriqué. Quels sont les personnes réelles qui composent l’échantillon ? Les sondeurs ont-ils interrogé en direct, ou en ligne ? Ont-ils posé en même temps, les mêmes questions à tout le monde ? Il n’est pas anodin de faire un sondage sur une longue durée, puisque les opinions, naturellement, évolue et qu’un sondé peut répondre à telle ou telle question différemment, en fonction du temps et de l’info qu’il a perçu, entre deux réponses posées avec un la ps de temps dans l’intervalle.
On nous dit "Les données sont **pondérées **de manière à ce que la composition de l’échantillon de chaque marché reflète au mieux le profil démographique de la population adulte selon les données du recensement le plus récent."
“Pondérées” veut dire retouchées. Dans quel sens ? De toute façon, ça veut dire que chaque élément du sondage est favorisé ou dévalué, selon une grille d’appréciation, une _idéologie _, pour être clair, que les sondeurs ne veulent jamais révéler, comme le confesse la Commission des sondages.
De plus, un facteur introduit des manipulations potentielles : les sondages, les sondés et nous lecteurs, sommes des éléments pour " la composition de l’échantillon de chaque marché". Toutes ces réponses, et ces questions, tous ces sondages à la chaîne, c’est de l’argent. Résumons : nous avons une méthode de “pondération” (traficotage) opaque et un marché très rentable, des questions posées avec un “reliftage” des réponses secret, et des échantillons de répondant dont on ne sait rien, ou presque, à part que pour la France, ils seraient 1000. 1000 personnes qui répondent de manière gratuite, rémunérée…On n’en sait rien.
Une question carrément biaisée. Ce qui ne préjuge pas des autres. Mais, d’emblée le “ton” est donnée.
La Tribune est toute fière d’annoncer que les Français veulent soutenir, encore et encore, l’Ukraine de Zelensky.
La question est : Seriez-vous en faveur ou opposé(e) à chacune des actions suivantes par la France en réponse à la situation actuelle en Ukraine ? - [avec]_ un soutien continu de la France à l’Ukraine jusqu’à ce que toutes les forces russes se soient retirées du territoire revendiqué par l’Ukraine_
Deux biais massifs. Un, “territoire revendiqué par l’Ukraine”…Pour être juste, il faudrait ajouter que ce territoire est aussi revendiqué, aujourd’hui, par la Russie, et que les populations russophone y sont majoritaires. Il s’agit du Donbass, mais là encore, la question est fallacieuse, puisque la question mentionne un territoire, sans précision. Ce qui amène fatalement à comprendre l’Ukraine, le pays, alors que la Russie n’a jamais voulu envahir et encore moins annexer tout l’Ukraine.
“un soutien continu”…Pétition de principe, imitant les déclarations du va-t-en guerre de l’Elysée. Mais quel soutien ? Si on mis en question corrélées a) des armes b)des médicaments, soins c)des soldats, donc choix multiple et précis, sans doute que les réponses auraient bien différentes. Mais il s’agit de soutenir les déclarations dictées par Washington au personnage en place à l’Elysée.
Dernier survol rapide
La Tribune salue les français qui veulent “soutenir”, pour autant que la réponse fumeuse, et les répondants fantomatiques veuillent dire quelque chose.
Mais sur la question de couper les ponts diplomatiques avec la Russie, la réponse des français…est non.
Mais sur la question d’envoyer des troupes française se battre en Ukraine, la réponse des français…est non.
La propagande du Macronistan et, au-delà, de l’occident belliciste est aussi trouée qu’un vieux gilet pare-balles.
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https://www.ipsos.com/sites/default/files/ct/news/documents/2023-02/Enquête Ipsos - Perception de la guerre en Ukraine.pdf
Il pleut sans cesse, mais soi-disant les nappes ne se remplissent pas. - #Campagnol
https://www.youtube.com/watch?v=IHO3xYYhkCI
Ils essaient de vous faire douter de ce que vous avez sous les yeux
https://odysee.com/@campagnoltvl:2/eau2:1
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Enquête sur les manipulations sondagières
En région Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA), la liste du Rassemblement National était annoncée gagnante dans tous les cas de figures : elle perdra finalement avec un écart de 14 points au second tour.
Ces prédictions erronées ont eu un impact évident sur le déroulement des campagnes électorales. Elles ont été largement reprises, souvent sans aucune distance critique, par la presse. Dans plusieurs régions, les sondages ont contribué à installer un duel factice entre les présidents de région sortants et les candidats du Rassemblement National. Dès lors, les électrices et les électeurs ont fait leur choix en tenant compte d’une situation présentée comme établie alors qu’elle ne l’était pas.
C’est pourquoi j’ai saisi par courrier la Commission des Sondages, dont la mission est de contrôler l’utilisation des sondages dans notre démocratie. J’y serais auditionné au mois de septembre et je leur ferais part de quelques premières propositions.
