#merdias

mlah@diaspora.psyco.fr

Une fois de plus la FNSEA a volé la révolte paysanne ! Ils et elles ont barré des autoroutes, bloqué des centrales d'achat, pour enfin obtenir une meilleure rémunération de leur travail. Ils et elles n'ont rien obtenu ! Pas un centime ! Ils et elles souhaitaient obtenir la garantie de revenus prenant en compte leurs coûts de production. Ils et elles ne l'ont pas obtenu ! #Luttes #paysans #agriculture #agrobusiness #com #propagande #merdias #invisibilité #biologique #pollutions #pac #ecophyto #Néconicotinoïdes #mégabassines

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Villepin : comment BFMTV a travesti ses propos - Par Pauline Bock | Arrêt sur images

#politique #propagande #désinformation #merdias

Les mots "domination financière" et "domination juive" ne sont pas synonymes, n'en déplaise à BFMTV. En voulant faire réagir le président du Crif, Yonathan Arfi, à des propos de l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin jugés antisémites, c'est la chaîne d'info qui a relié "finance" et "Juifs". *

Pauline Bock , 28 novembre 2023

Parler de "domination financière" sous-entend-il forcément "domination juive" ? Pour BFMTV, apparemment. Tout est parti d'une déclaration de Dominique de Villepin le 23 novembre : invité de Yann Barthès dans Quotidien (TMC), il réagit à un reportage de la rubrique "Petit Q" sur la difficulté, pour les artistes étasunien·nes, d'exprimer un point de vue sur la guerre à Gaza sans être critiqué·es, voire sanctionné·es. Mêmes des stars du cinéma ne sont pas à l'abri, explique le reportage : la comédienne Susan Sarandon a par exemple été virée par son agent après avoir exprimé son soutien aux victimes palestiniennes, et l'actrice Melissa Berrara, de la série Scream, a été renvoyée après avoir appelé à un cessez-le-feu sur ses réseaux sociaux. Bref, conclut le reportage : "Quoi qu'elles fassent, quoi qu'elles disent, les stars hollywoodiennes sont critiquées." Yann Barthès rebondit alors en demandant à Dominique de Villepin si "les artistes doivent s'engager" au sujet de la guerre à Gaza.

C'est dans ce contexte que Villepin s'exprime. Les artistes, estime-t-il, "ne doivent pas se soumettre à cette dictature de la pensée commune", puisqu'un "artiste a vocation à exprimer librement ses positions". Une situation hollywoodienne qui rappelle à Villepin "ce qu'[il] a vécu [lui]-même en 2003, aux États-Unis, cette violence de la pensée unique" après sa position sur la guerre en Irak. C'est ensuite qu'il parle de "domination" : "On voit en filigrane, dans votre reportage, à quel point la domination financière sur les médias et le monde de l'art, de la musique, pèse lourd, dit-il. [Les artistes] ne peuvent pas dire ce qu'ils pensent, tout simplement parce que les contrats s'arrêtent immédiatement. Donc on voit bien que la règle financière qui est imposée aujourd'hui aux États-Unis, dans la vie culturelle, elle pèse lourd. Malheureusement, nous le voyons aussi en France. Et c'est profondément regrettable sur le plan de la liberté, pour façonner un esprit public."
Sur BFMTV, "la domination financière" devient "la domination juive"

Le 26 novembre, trois jours après le passage de Villepin dans Quotidien, le présentateur de 120 Minutes sur BFMTV, Ronald Guintrange, a souhaité faire réagir le président du Crif, Yonathan Arfi, sur la déclaration de l'ancien Premier ministre. Sa phrase sur la "domination financière" est mise en avant à l'écran, mais Guintrange parle, lui, de "domination de la finance juive". Une expression que n'a pas utilisée de Villepin mais qui est également reprise dans le bandeau de la chaîne d'info, en version raccourcie : "«Domination» juive : de Villepin fait polémique".

"Il dénonce la domination de la finance juive sur les sociétés occidentales", dit Ronald Guintrange. "Cette domination, dit-il, empêche les gens d'exprimer leur soutien aux Palestiniens, victimes d'un effroyable nettoyage ethnique en direct." Une phrase, là encore, que n'a jamais prononcée l'ancien Premier ministre sur le plateau de Quotidien. Guintrange poursuit en s'adressant au président du Crif : "Pardon d'employer cette expression, mais quand on dit d'un petit Arabe en banlieue qu'il a des propos antisémites, c'est facile... Là, on parle d'un ancien Premier ministre de la France, et on a du mal à comprendre ce qu'il veut vraiment dire." Yonathan Arfi répond en déclarant craindre que ce que veut dire de Villepin, c'est "que les Juifs contrôlent le monde de la finance aux États-unis, et à travers ça, le monde du spectacle".

Sauf que voilà : Dominique de Villepin n'a jamais prononcé le mot "juive", et qu'en lui attribuant, Guintrange sous-entend que ses déclarations revêtent un caractère antisémite qu'il s'agirait de dénoncer. Et c'est d'ailleurs ce que fait Yonathan Arfi, qui poursuit : "Une partie de la bourgeoisie française a toujours considéré qu'on pouvait associer les Juifs à l'argent et au pouvoir. En faisant cela, Dominique de Villepin s'inscrit dans la lignée de Raymond Barre, qui, d'ambivalences en ambiguïtés, a lui aussi laissé une trace d'infamie par certaines de ses prises de position. C'est le chemin dans lequel semble se diriger Dominique de Villepin." Guintrange ne rappelle jamais le contexte du reportage auquel réagit l'ancien Premier ministre, anglé sur les licenciements de stars suite à leurs prises de position : la "domination financière" dans le "monde de l'art" dont il parle est celle des studios hollywoodiens, qui choisissent ou non de mettre fin au contrat d'un·e comédien·ne pour ses propos, et non du monde de la finance au sens du secteur banquier.
"Du racisme à l'état pur de la part d'un confrère"

Outre l'introduction du mot "juive" à la suite de la "domination" dont parle Villepin, c'est aussi la mise en opposition par Ronald Guintrange de "l'ancien Premier ministre" dont "on a du mal à comprendre ce qu'il veut dire" et du "petit Arabe de banlieue qui a des propos antisémites" qui a choqué. Pour le journaliste de France Télévisions Djamil Mazi, la phrase de Guintrange sur "le petit Arabe de banlieue" est "du racisme à l'état pur de la part d'un confrère, en direct".

Le lendemain sur France Info, François Hollande est interrogé à son tour sur les propos de Dominique de Villepin

, cette fois cités in extenso par la journaliste Salhia Brakhlia qui demande à Hollande comment il "interprète cette phrase" : "La domination financière sur les médias et le monde de l'art, de la musique, pèse lourd. [Les artistes] ne peuvent pas dire ce qu'ils pensent, tout simplement parce que les contrats s'arrêtent immédiatement. Donc on voit bien que la règle financière qui est imposée aujourd'hui aux États-Unis, dans la vie culturelle, elle pèse lourd."

L'ancien président évite soigneusement le sujet qui fâche, et semble confirmer les propos de Villepin : "Il y a effectivement lorsque des artistes s'expriment, des risques. [...] Mais ça a toujours été. [...] Et ce n'est pas seulement les financiers comme on dit, c'est aussi les intermédiaires, les agents, qui disent : «Mais écoutez, tenez-vous discrètement parce que ça peut remettre en cause...»". Il est interrompu : "Mais est-ce que vous, vous remettez en cause la domination financière, comme le dit Dominique de Villepin ?" Celui dont l'ennemi, en 2012, était la finance, répond : "Je comprends aussi que c'est intolérable de demander à un artiste de prendre position sur chaque sujet." Encore une réponse à côté. Alors Salhia Brakhlia retente le coup : "Je vous pose cette question parce que cette phrase de Dominique de Villepin a été taxée d'antisémitisme, en disant «la domination financière, sous-entendu les Juifs qui tiennent ces sociétés de production ou ces grands médias, derrière, font pression.»" Réponse de Hollande : "Je connais Dominique de Villepin depuis longtemps, je ne veux pas croire qu'il ait eu cette intention. Il a simplement évoqué ce qui peut se passer aux États-Unis."

Selon nos informations, la Société des Journalistes de BFMTV devait ce 27 novembre rencontrer la direction de la chaîne pour un comité éditorial prévu de longue date, et le sujet de l'extrait sur Dominique de Villepin a été abordé. La chaîne a ensuite présenté des excuses plus que succinctes dans un communiqué publié sur son site. "À l'occasion de l'émission 120 minutes du dimanche 26 novembre 2023, une formulation inexacte et malheureuse a été utilisée concernant des propos de Dominique de Villepin tenus dans la semaine, peut-on lire. BFMTV présente ses excuses à ses téléspectateurs. La vigilance de chaque instant est le gage de la confiance entre la chaîne et son public." Le communiqué ne revient pas sur la phrase de Ronald Guintrange sur "le petit Arabe de banlieue". Contacté, il n'a pas répondu à nos sollicitations.

https://www.arretsurimages.net/articles/villepin-comment-bfmtv-a-travesti-ses-propos

wazoox@diasp.eu

reflets.info sur X : "Le silence assourdissant qui entoure notre révélation en dit long sur l'état de la presse, de son rapport au pouvoir et du regard qu'elle porte sur la presse independante" / X

#politique #corruption #merdias #macronie #propagande #lacorde #guillotine2023 #lepal

https://twitter.com/_reflets_/status/1710801639005737145

wazoox@diasp.eu

"Le Monde" retitre un article sur "l'escalade sécuritaire" sous Macron - Par Pauline Bock | Arrêt sur images

#politique #propagande #merdias

Qu'est-il arrivé au "Monde" pour qu'un article sur ""l'escalade sécuritaire d'Emmanuel Macron" "change de titre, de photo d'illustration, de sous-titre et d'intertitre, replaçant la focale sur les autorités (""polices et préfets en première ligne"") ? Ce 2 mai à 5 h 40, le "Monde" publie un article sur la contestation sociale contre la réforme des retraites et le maintien de l'ordre, signé par la journaliste politique Ivanne Trippenbach – qui couvre régulièrement la politique française en général, et la macronie en particulier. Titré """"Face à la contestation sociale, l'escalade sécuritaire d'Emmanuel Macron"", l'article détaille et critique la stratégie de maintien de l'ordre du président Macron depuis le mouvement contre la réforme des retraites : drones, arrêtés préfectoraux ""anticasseroles ou antisifflets""... Le sous-titre de l'article ne mâche pas ses mots : ""Usage de drones dans les manifestations, arrêtés anticasseroles ou antisifflets… Le pouvoir exécutif place la police et les préfets au cœur de sa stratégie et multiplie les décisions à la frontière de la légalité, quand elles ne sont pas illégales.""

Le titre original dénonce une "escalade sécuritaire" et "des décisions à la limite de la légalité, quand elles ne sont pas illégales"
Le titre original dénonce une "escalade sécuritaire" et "des décisions à la limite de la légalité, quand elles ne sont pas illégales"

Le Monde, 2 mai 2023

Les différents interlocuteurs et interlocutrices cité·es par le "Monde" sont tout aussi critiques." "La cheffe de la CGT Sophie Binet parle de "dérive sécuritaire". Le chercheur du CNRS Sebastian Roché estime que """la France devient une démocratie policière, au sens où elle fait un usage excessif de la police pour limiter la liberté de manifester". L'avocat et membre de l'Association de défense des libertés constitutionnelles, Me Jean-Baptiste Soufron, parle de ""maintien de l'ordre bâillon"", de ""stratégie autoritaire"" et déclare : """"Il y a une volonté de l'exécutif de s'affranchir des règles de l'État de droit." "Bref, l'angle de l'article est clair : ""l'escalade sécuritaire"" macroniste du titre est critiquée de toutes parts. Toute la matinée du 2 mai, l'article conserve son titre et son sous-titre. Mais à 12 h 47, une mise à jour transforme radicalement les deux.
exit "l'escalade sécuritaire", on se concentre sur "police et préfets en première ligne"

La ligne qui précise la date et l'heure de publication de l'article précise désormais : ""modifié à 12 h 47"", sans indiquer les modifications apportées à l'article. Qui sont pourtant nombreuses, et importantes. Le titre lui-même change du tout au tout : exit ""l'escalade sécuritaire d'Emmanuel Macron"". On oublie le président pour se concentrer sur ""police et préfets en première ligne"". Le sous-titre devient succinct : ""Le pouvoir exécutif place la sécurité au cœur de sa stratégie."" La phrase de sous-titre sur les" "décisions à la limite de la légalité, quand elles ne sont pas illégales"" disparaît quant à elle totalement.

L'article une fois modifié : titre, sous-titre et photo ont changé
L'article une fois modifié : titre, sous-titre et photo ont changé

Le Monde, 2 mai 2023

Le titre originel demeure cependant dans un tweet du "Monde" qui partage l'article, toujours en ligne à l'heure où nous publions. Et une version incomplète de l'article – car derrière le mur d'abonnement du journal – a été enregistrée par le site archive.today. ""On n'est pas là dans le simple retitrage, mais dans le détitrage"""," observe le fondateur d'"Arrêt sur images" Daniel Schneidermann, qui a commenté la modification sur son compte Twitter.

Le titre sur "l'escalade sécuritaire" reste sur Twitter
Le titre sur "l'escalade sécuritaire" reste sur Twitter

Le Monde, Twitter, 2 mai 2023
Une photo de charge policière devient "gendarmes mobiles encadrant le défilé"

Avec le détitrage vient la désiconographie : la photo d'illustration a elle aussi été modifiée." "L'iconographie, sa légende et une citation ont également été retravaillées, "a remarqué le journaliste Greg Souchay sur Twitter." Clairement il y a un vrai décalage entre le travail de la journaliste et l'édition." "Il compare en effet les images d'illustrations accompagnant l'article avant et après sa modification. Les deux sont signées Lucas Barioulet, photographe qui a couvert la manifestation du 1er mai pour le "Monde", mais sont très différentes.

Avant modification (en haut), après modification (en bas)
Avant modification (en haut), après modification (en bas)

Greg Souchay, Twitter, 2 mai 2023

La première, publiée avec l'article et son titre original à 5 h 40, montre une vingtaine de policiers en train de courir lors d'une charge, casqués, boucliers au poing. Légende : ""Des membres des forces de l'ordre chargent des manifestants lors du défilé du 1er mai 2023, boulevard Voltaire, à Paris."" La seconde, qui remplace la première après la mise à jour de 12 h 47, montre des forces de l'ordre beaucoup plus détendues, à visage découvert, en train de discuter en marge de la manifestation. Légende : ""Des gendarmes mobiles encadrent le défilé du 1er-Mai, à Paris, le 1er mai 2023." "Deux photos qui n'ont rien à voir et ne véhiculent pas du tout la même image des forces de l'ordre, à l'image du message du titre, qui change radicalement après la mise à jour en milieu de journée.
"""Volonté de s'affranchir de la règle de droit"" devient ""contournement du droit"""

Le texte aussi a été modifié à au moins un endroit de l'article. Le paragraphe s'intéressant aux recours judiciaires suite aux multiples arrêtés préfectoraux interdisant les concerts de casseroles ou de sifflets dans plusieurs villes (Paris, Lyon, Le Havre, Bordeaux, Rennes) a changé de sous-titre. La première version de l'article utilisait mot pour mot une citation de l'avocat Me Jean-Baptiste Soufron, qui regrettait que les arrêtés préfectoraux laissent un temps très court, voire pas de temps du tout, à la justice pour juger les recours. "Il y a une volonté de l'exécutif de s'affranchir de la règle de droit", estime-t-il en citation, raccourcie en sous-titre en ""Volonté de s'affranchir de la règle de droit"." Mais après la mise à jour de milieu de journée, ce sous-titre devient ""contournement du droit"." En plus d'affaiblir le propos de Me Soufron, qui décrit une ""volonté de l'exécutif"" et non un" "contournement" "que l'on pourrait croire accidentel, les mots ""contournement du droit"" sont placés entre guillemets bien que l'avocat ne les ait pas prononcés.

Contournement de sous-titre : avant, après
Contournement de sous-titre : avant, après

Le Monde, 2 mai 2023
La version expurgée dans le journal papier

Dans la version papier du "Monde", l'article d'Ivanne Trippenbach n'apparaît pas dans l'édition du 2 mai, mais dans celle datée du 3 mai (diffusée en kiosques cet après-midi du 2 mai, comme le veut l'usage au Monde). Et la version qui apparaît dans le "print", selon l'expression des journalistes du "Monde", est celle que l'on retrouve en ligne après la modification, avec le titre mettant l'accent sur" "police et préfets en première ligne"", le sous-titre expurgé de ses références aux ""décisions à la frontière de la légalité"", la photo des gendarmes ""encadrant la manifestation"" au lieu de celle de la charge policière, etc". "

La version de l'article, modifiée, dans l'édition papier du 3 mai
La version de l'article, modifiée, dans l'édition papier du 3 mai

Le Monde, 3 mai 2023

La version numérique de l'édition papier du Monde est disponible en ligne sur le site du "Monde "chaque jour dès 10 h 30, après le bouclage. Ce qui signifie que les changements ont sans doute été apportés à l'édition du journal papier, avant le bouclage de 10 h 30 le 2 mai. Au sein du "Monde", une source suppose auprès d'"Arrêt sur images" qu'il s'agit d'une """"histoire interne de modification de titraille"" due aux différentes équipes qui se relayent, la nuit, entre Paris et Los Angeles – et non, comme l'ont imaginé de nombreux internautes, à la demande des autorités, ce qui ""n'est pas dans les pratiques de la maison"", nous dit-on. Nos multiples demandes d'entretien auprès des journalistes du "Monde" qui ont suivi le "circuit de la copie" de cet article et auraient pu offrir de véritables réponses sont toutes restées lettre morte.

"Contacté·es, la directrice de la rédaction du "Monde" Caroline Monnot et le directeur du" Monde" Jérôme Fenoglio ne nous ont pas répondu. La journaliste Ivanne Trippenbach a promis de nous rappeler, puis ne l'a pas fait. La Société des rédacteurs du "Monde" (SRM) n'a pas répondu à nos sollicitations."

https://www.arretsurimages.net/articles/le-monde-retitre-un-article-sur-lescalade-securitaire-sous-macron

aiglemarin@diaspora-fr.org

#cocoV19 : 1 an #suspendu SANS salaire. (Vidéo* 43sec)

https://crowdbunker.com/v/vVF3D1nYhP

*Extrait vidéo de ce reportage: https://youtu.be/x4t2J6-WW_s

"Suspendu" À voir et à partager.. (Je doute que beaucoup le fassent..). La psychose suite à la propagande massive, a forgé des insensibles*..
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Je n'oublie pas ce que ce dictateur a fait.
Je n'oublie pas que nous étions si peu dans la rue à les soutenir..
Certains avaient honte de manifester suite à leur suspension car beaucoup trop de leurs propres (sales) collègues les méprisaient, les accablaient au lieu de les soutenir un minimum..
Puis les meRdias n'ont plus parlé d'eux.. Ils n'ont plus existé..
Je me souviens de cette infirmière en pleures qui tenait ce micro place J. Jaurès à Tours, je l'ai prise dans mes bras.. Que faire de plus.. (Cotiser à la cagnotte, j'ai évidemment fait). Elle n'est jamais revenue.. Qu'est-elle devenue avec ses 3 enfants à charge?.. Elle s'est sûrement fait violer, pénétrer par l'aiguille, qu'un de ses collègues, tenait.. 😡
Je ne peux oublier..
.. #AigleMarin
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#insensible : Les personnes plutôt insensibles sont généralement des personnes qui ont fait l'expérience de grandes souffrances émotionnelles lors d'une extrême vulnérabilité ou si la douleur a dépassé certaines limites en eux. (L'État a tout fait en ce sens)
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_ Voir aussi #Schadenfreude qui est un état émotionnel caractérisé par le plaisir face au malheur de quelqu'un d'autre.

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GLOIRE À LA RÉSISTANCE ✊🖤
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#UPLSP : (Union des Peuples pour la Liberté et la Sauvegarde de la Planète)

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#grandsRecits #répression #guerre #psychologie #pompiers #soignants #hopitalPublic #personnelHospitalier #thérapeutes #aideSoignante #injections #capitalisme #DestructionDeMasse #MOCICA #éléctionsPrésidentielles2027 #éléctions2027 #législatives2027 #culture #politique #sagesse #France #meRdias #GrandProjet #LesCrises #covid19
#mediasDeMasse #T2KellOrigine

wazoox@diasp.eu

(1) Bruno Gaccio on Twitter: "Ce que révèle ce moment est bien la médiocrité des poseurs de questions habituels. Avec quelques journalistes, même pas exceptionnels mais justes normaux, pas un membre de ce gouvernement ne ferait illusion plus de 3 minutes. Et Veran pas une seule. 😄" / Twitter

#politique #merdias #propagande

https://twitter.com/GaccioB/status/1565105377103970304

aiglemarin@diaspora-fr.org

Boycott du Reblochon tant que les tirs de bouquetins seront autorisés !

https://fne.asso.fr/actualite/bouquetins-du-bargy-la-reprise-des-tirs-est-enclenchee

BOUQUETINS DU BARGY : LA REPRISE DES TIRS EST ENCLENCHÉE - Publié le 29 avril 2022
Suite à la découverte d’un nouveau cas de brucellose dans un troupeau laitier du Bargy à la fin de l’année 2021, pour préserver la production de fromage, le préfet a autorisé à nouveau les tirs sans test préalable de plus de 170 bouquetins.
C’EST QUOI LE SOUCI AVEC LES BOUQUETINS DU BARGY ?
Les bouquetins sont dans le viseur depuis 2013, après que la maladie de la brucellose ait été repérée dans un troupeau de vaches du Grand-Bornand (Haute-Savoie).
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Bien que le risque de transmission de la maladie à l’homme soit «quasi-nul» à «minime» selon les experts, l’État avait tenté d’éradiquer l’infection en lançant des abattages massifs et indiscriminés de bouquetins pour protéger les élevages et la filière des producteurs de fromage Reblochon.
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Grâce à la mobilisation des associations de protection de la nature, dont France Nature Environnement et les associations FNE AURA et FNE Haute-Savoie, les abattages massifs ont été abandonnés en octobre 2015 pour éliminer uniquement les animaux malades.

POURQUOI ABATTRE LES BOUQUETINS SANS TEST PRÉALABLE EST UNE FAUSSE SOLUTION ?
Suite à la découverte d’un nouveau cas de brucellose dans un troupeau laitier fin 2021, le préfet de Haute-Savoie a ré-autorisé des tirs sans tester préalablement si les animaux sont malades ou pas. Plus de 170 bouquetins, espèce protégée, sont dans le viseur.
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Pourtant, le Conseil national de protection de la nature est unanimement opposé à cette décision. De plus, les autorités sanitaires considèrent ces tirs difficilement réalisables techniquement, mais surtout elles estiment que les tirs risquent d’une part de conduire à l’abattage d’animaux sains et d’autre part de disséminer la maladie dans les massifs voisins.
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Les mesures de gestion de la maladie mises en œuvre depuis 2013 avec la capture et le relâcher des animaux testés comme sains, et l’euthanasie des animaux malades, ont pourtant vraiment montré leur efficacité : le taux de présence de la brucellose est passé de 50% en 2013 à moins de 10 % depuis 2019.
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La dynamique d’extinction spontanée de la maladie était donc bien engagée, mais cette reprise des tirs de bouquetins sans distinction entre bouquetins malades et sains risque de mettre à mal les efforts des années passées et va conduire à abattre essentiellement des animaux sains.
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UNE CO-EXISTENCE AVEC LES ÉLEVEURS ENCORE À INVENTER
Aucune mesure visant à éviter le contact entre les bouquetins et les troupeaux domestiques n’est prévue. Et il n’y a aucune mesure de biosécurité contraignantes à l’égard des troupeaux domestiques, une voie d’action qui depuis 2013, n’a jamais été mise en œuvre.
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Si nous comprenons les difficultés des éleveurs et producteurs de fromage, nous considérons que les bouquetins ne peuvent pas être la seule variable d’ajustement en matière de co-existence entre faune sauvage et domestique, qui plus est avec des mesures aussi drastiques et inacceptables éthiquement au regard du faible risque de contamination humaine.
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La voix des scientifiques, des vétérinaires et des experts de la faune sauvage. En revanche, les autorités en reprenant les tirs ont très clairement cédé à la pression de la filière.

Pour lire le GrandProjet: https://www.mocica.org

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#UPLSP : (Union des Peuples pour la Liberté et la Sauvegarde de la Planète)

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