#ia

magdoz@diaspora.psyco.fr

Expérimentation de la VSA : les premières autorisations sont tombées
https://www.laquadrature.net/2024/04/17/experimentation-de-la-vsa-les-premieres-autorisations-sont-tombees/

❤️❤️ Clause de défense du logiciel libre : Expert ou novice, le logiciel libre a besoin d'une chose : qu'on le fasse vivre ‼️ Donc n'hésite pas à donner la priorité à Peertube au lieu de Youtube, quand c'est possible, n'hésite pas à privilégier une info diffusée par un site avec peu ou pas de traqueur, plutôt qu'un site capitaliste putaclic, bref, mets en avant ce qui fait notre force ici sur Diaspora, le logiciel libre et décentralisé. Et ne t'inquiète pas, les GAFAM et autres twitter/X ne disparaîtront pas, laisse aux autres les mauvaises habitudes. Avec bienveillance pour nous tous, car trop de youtube et hop, le jour où ton message dérange, couic, censure : veille à préserver, pour notre bien, le logiciel libre, en le faisant vivre. ❤️❤️ Cela dit sans diffamation, harcèlement de messages répétés partout, bref, un message tout innocent 😜 ‼️ Mots clés : Recherche Peertube - Framalibre - Clients youtube - LibRedirect - Protéger sa navigation sous Firefox - Fediverse - Logiciel Libre : à diffuser autour de vous ! - Rien à cacher | Nothing To Hide -

#France #Surveillance #Technopolice #VSA #LQDN #IA #ReconnaissanceFaciale

wazoox@diasp.eu
elsa_capunta@diasp.eu

Reconnaissance faciale : Gérald Darmanin veut enterrer « l’affaire Briefcam »

En novembre, à la suite des révélations de Disclose sur l’utilisation par la #police du logiciel israelien de reconnaissance faciale #Briefcam, Gérald #Darmanin annonçait le lancement d’une enquête indépendante dont les conclusions devaient être rendues « sous trois mois ». Alors que le ministère de l’intérieur refuse de communiquer sur le sujet, un rapport confidentiel démontre que la fonction reconnaissance faciale est « activée par défaut » depuis 2018.
https://disclose.ngo/fr/article/reconnaissance-faciale-gerald-darmanin-veut-enterrer-laffaire-briefcam

#TechnoPolice #Videosurveillance #surveillance #privacy #macronie #IA #flicage #Israel

wazoox@diasp.eu

Une bulle d’intelligence artificielle et de stupidité naturelle

#politique #IA

Finalement, l’AI ne fait que répéter, en vitesse accélérée, ce que le consuméro-capitalisme inspiré d’Ayn Rand applique à toute la planète depuis Thatcher et Reagan : promettre un futur incroyable en détruisant le présent pour en revendre les décombres dix fois le prix, ne léguant finalement que des cadavres, des ruines fumantes, des déserts de déchets et un air irrespirable.

https://ploum.net/2024-04-04-la-bulle-ai.html

dunoir@diaspora-fr.org

#Israël #Guerre #TechnoGuerre #IA #Genocide #CrimesDeGuerre #Gaza

Gaza : Un génocide assisté par ordinateur

«Production de masse de cibles humaines», suivi automatisé en temps réel, des centaines de morts civils autorisées pour un cadre du Hamas : Explications

Génocide assisté par ordinateur

Les chiffres concernant l’ampleur du désastre à Gaza sont hallucinants. Quoi qu’en dise la communication du gouvernement israélien, une telle destruction systématique suppose une intention, mais aussi la mise en place de moyens sophistiqués. Parmi ces moyens, il faut compter une intelligence artificielle, une machine à calculer qui fournit très rapidement des cibles, qu’il s’agisse de bâtiments ou de personnes. Il s’agit du premier génocide assisté par ordinateur de l’histoire.

kcemorg@diaspora-fr.org

« Lavender », l’intelligence artificielle qui dirige les bombardements israéliens à Gaza

L’armée israélienne a désigné des dizaines de milliers d’habitants de Gaza comme des suspects, cibles d’assassinat, en utilisant un système de ciblage par intelligence artificielle (IA), avec peu de contrôle humain et une politique permissive en matière de pertes « collatérales », révèlent le magazine +972 et le site d’informations Local Call. L’Humanité publie une traduction française de l’enquête conduite par ces médias israéliens.

#Gaza #Israel #IA

dunoir@diaspora-fr.org

#Amazon #IA #Déshumanisation

Le géant américain Amazon abandonne son système de paiement sans caisses.

Aux États-Unis, Amazon abandonne son service de magasins sans caisses. Une bonne nouvelle, qui témoigne de l’illusion des promesses de l’intelligence artificielle, et stoppe - un moment du moins - la marche inéluctable du progrès, qui tend à toujours plus de déshumanisation dans notre société du sans contact.

Depuis plus d'une décennie, le géant du numérique, qui dispose de magasins physiques principalement aux États-Unis et au Royaume-Uni, développe l'automatisation des achats à grand train. Des épiceries ultra-modernes plongent le client dans un monde fluide et mobile, au sein duquel l’acte d’achat devient quasiment transparent. Amazon a troqué ses caisses automatiques pour l’offre « Just Walk Out » : vous prenez des produits, vous sortez du magasin sans payer et, comme par magie, Amazon comptabilise vos achats et débite votre compte.

Un sentiment de liberté qui a un prix : accepter d’être l’objet d’une surveillance biométrique. Pour que le service fonctionne, le magasin est bardé de caméras qui suivent à la trace le parcours du client, et de capteurs qui mesurent sa forme et la taille de sa silhouette : des données enregistrées sans que l'acheteur n'en ait été clairement informé. C’est du moins l’avis d’un collectif new-yorkais qui a porté plainte pour dénoncer ces pratiques.

Autre problème : le système, loin d’être parfait, a engendré de nombreux bugs. Il nous suffit ici de convoquer nos expériences des caisses automatiques classiques pour nous rendre compte qu’une fois sur deux, nous avons besoin d’un humain pour résoudre les problèmes de la machine. Alors avec une technologie plus complexe...
Derrière l'IA : le prolétariat numérique

Mardi 2 avril, The Information a dévoilé que le système "automatisé" employait en réalité des humains. Une découverte qui brise le mythe de l’intelligence artificielle, généralement perçue comme une autorité suprême fonctionnant toute seule. Derrière l’IA il y a bien souvent une main-d’œuvre précaire qui est exploitée. Elle exerce de petites tâches qui ont pour but de donner l’impression au consommateur que la grande machine fonctionne par elle-même.

Selon le média américain, plus de mille employés indiens étaient embauchés par Amazon pour regarder les images des caméras, classer les articles dans des familles de produits, et les attribuer aux clients. Une force de travail payée une misère nommée « les travailleurs du clic » : des micro-tâcherons ou le prolétariat du numérique, qu'Antonio Casilli analyse dans son enquête En attendant les robots.

Pour résumer : Amazon a préféré installer un système onéreux de caméras défaillantes, exploiter mille Indiens à l’autre bout du monde pour entretenir le mirage technologique, plutôt que d’embaucher quelque caissiers salariés, qui auraient pu - au passage - offrir un contact humain.

Une nouvelle qui illustre l’absurdité d’un tout technologique, bien que chassée d’un revers de la main par une autre actualité. La société française Ingenico envisage de développer en France (une autre idée d’Amazon) le paiement en caisse via la paume de la main. Un système de reconnaissance soi-disant sécurisé, qui scanne notre schéma veineux. Décidément, le tapis roulant du progrès ne s'arrête jamais...

bliter@diaspora-fr.org

#FabriceEpelboin : "nous sommes dans une situation de #guerre #civile qui ne dit pas son nom" #LeMondeModerne

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LA REVUE DE PRESSE DU MONDE MODERNE
Fabrice #Epelboin nous parle de la révolution en matière d' #IA et de #cyber #sécurité, où l' #Etat de droit s'efface progressivement, avec une réduction des #libertés et une montée des tensions. Que signifie l' #information à l'ère de la post vérité?

https://www.youtube.com/watch?v=v9qnRjV6Kjw
#politique #infos #internet #cyber-surveillance

prplcdclnw@diasp.eu

Publishers Secure Widespread Support in Landmark Copyright Battle With Internet Archive

https://torrentfreak.com/publishers-secure-widespread-support-in-landmark-copyright-battle-with-internet-archive-240324/

Major book publishers continue their legal crusade against Internet Archive's scan-and-lend library, hoping to shut it down for good. IA's appeal previously received support from authors and copyright scholars. The publishers, however, have some heavyweight backers too. New amicus briefs are signed by former U.S. politicians, former judges, and legal scholars. Industry groups such as the MPA and RIAA also rally behind the publishers.

#internet-archive #ia #copyright #copying #books #book-publishing #publishers #fair-use #library #libraries #intellectual-property #lawsuit

hudsonlacerda@diasporabr.com.br

Lula e a Inteligência Artificial

#Lula defende #InteligênciaArtificial genuinamente #nacional, mas #Brasil segue #entregando #dados para aperfeiçoamento de IAs de empresas norte-americanas

#SérgioAmadeu

Opera Mundi https://operamundi.uol.com.br/opiniao/lula-e-a-inteligencia-artificial/
São Paulo

17 de março de 2024,
às 13:45

Poucas pessoas têm uma #intuição tão aguçada e profunda sobre as questões cruciais do seu tempo como o presidente #Lula. Em uma recente reunião do Conselho Nacional de #Ciência e #Tecnologia, o presidente brasileiro declarou de modo contundente querer “uma #IA (Inteligência Artificial) genuinamente #guarani” ou “ #yanomami ”. Cobrou dos pesquisadores que fizessem algo “nosso”.

É impressionante que Lula tenha dito uma frase tão certeira nesse momento crucial do desenvolvimento das tecnologias chamadas de “inteligentes”. Com sua sentença, Lula deixou evidente que a IA não é neutra, que ela porta as cosmovisões de uma #sociedade, que é desenvolvida conforme os traços culturais de uma #população. A IA atual é concebida e elaborada a partir de um universo cosmotécnico que não é o nosso, nem o dos yanomamis. O filósofo honconguês Yuk Hui parece ter conversado antes com Lula. Mas, sei que não.

Lula também reforçou o #pensamento de várias pesquisadoras, como a #matemática Cathy O’Neil, que nos alerta que as tecnologias digitais, apesar de sua reputação de #imparcialidade, refletem #objetivos político-econômicos e ideológicos. O’Neil escreveu que “os modelos (inclusive de IA) são #opiniões embutidas em matemática”. Cheguei a considerar que o presidente poderia ter lido e se inspirado na ideia de que as tecnologias informacionais expressam aquilo que Richard Barbrook e Andy Cameron nomearam como a “Ideologia Californiana” no título de seu livro de 1995.

O presidente também acertou em cheio ao cobrar dos cientistas brasileiros uma abordagem original da IA. Talvez alguém tenha alertado Lula de que aquilo que o mercado chama de “inteligência artificial” são na realidade sistemas algoritmos que extraem padrões de variadas e gigantescas base de dados para criar modelos que serão acessados a partir de interfaces digitais. A IA realmente existente é a dos sistemas automatizados que utilizam muitos dados e cada vez mais poder computacional, ou seja, infraestruturas com milhares de servidores. Por isso, Lula esboçou uma reclamação ao falar que temos tanta gente inteligente no Brasil, como se quisesse advertir alguns desavisados de que a IA realmente existente está muito longe de superar nossa inteligência orgânica.

Há um texto muito importante para mostrar que aquilo que naturalizamos nas tecnologias, em geral, são perspectivas e ideários que guardam cosmovisões. Um grupo internacional de #tecnólogos #indígenas, em 2021, utilizando a metodologia chamada design centrado no território – criada pelos povos indígenas da #Austrália – buscou criar protocolos de um sistema de parentesco para desenvolver uma estrutura algorítmica com base na chamada #computação #genética. Os algoritmos criados sob a orientação dos anciões receberam uma elevada pontuação em #diversidade e #complexidade, mas fracassavam em velocidade e eficiência. Esse relato presente no livro Out of the Black Box: Indigenous Protocols for AI (Saindo da caixa preta: protocolos indígenas para a AI, em tradução literal) evidencia que “fazer mais com menos” nem sempre é algo prioritário para uma #cultura. A velocidade algorítmica não interessava aos aborígenes. Interessa ao #capital. O acúmulo de dados é vital para os paradigmas dominantes na IA realmente existente.

Não é por menos que os Estados Unidos detém mais da metade dos #Data Centers do planeta. O insumo essencial da IA nas abordagens atualmente dominantes são os dados. Mas, eles não são como o petróleo, naturais; não brotam do chão. Dados são criados por #humanos, #empresas, #instituições, #indivíduos ou por #máquinas inventadas por humanos. As grandes empresas de tecnologia, as Big Techs, querem que acreditemos na sua #ideologia sobre dados para continuar a extraí-los como algo disponível na natureza. Por isso, mais uma vez Lula acertou ao pedir que os cientistas daqui façam algo. Para isso, teremos que estancar a coleta de dados absurda que é feita em nosso país para alimentar e treinar os sistemas algoritmos dos Estados Unidos.

O que Lula, apesar de sua intuição, não tratou, foi da colossal transferência de dados públicos que fazemos para as Big Techs. Também não se pronunciou sobre o fato de que o seu governo continua treinando os algoritmos da #IBM com dados dos servidores públicos, civis e militares, quando esses acessam o serviço de chat do #SouGov. Essa derrama de dados começou com Bolsonaro e continua no atual governo. Lula certamente não leu os Termos de Uso do SouGov. Nele, está justificado o envio de dados dos brasileiros para os Estados Unidos: “… tal armazenamento tem o objetivo de prover o aprendizado de máquina da ferramenta de chat denominada ‘Watson’, onde as interações dos usuários no chat são utilizadas para ‘aprendizado’ pelo computador que envia as respostas automáticas quando o usuário está sendo atendido por meio do chat do serviço SouGov.”

Tão grave quanto a entrega de dados dos servidores públicos brasileiros para um sistema que opera em solo norte-americano, longe da nossa jurisdição, é o fato de que mais de 70% das universidades brasileiras entregaram seus e-mails e listas de discussão, bem como seus repositórios para o armazenamento de arquivos para o Google e para a Microsoft. Lula poderia sugerir que o #MEC fizesse um consórcio com as universidades para construir data centers que mantenham nossos dados sobre nossa governança, servindo ao treinamento de sistemas algorítmicos desenvolvidos pela nossa inteligência coletiva. Seria um primeiro grande passo para proteger os nossos dados e desenvolver nossa IA.

(*) Sérgio Amadeu da Silveira é sociólogo e Doutor em Ciência Política pela Universidade de São Paulo. É professor-adjunto da Universidade Federal do ABC (UFABC). Foi presidente do Instituto Nacional de Tecnologia da Informação e membro do Comitê Gestor da Internet no Brasil.

cgib@diaspora-fr.org

Intelligence artificielle & technofascisme – Les accointances du « camp progressiste » avec l’extrême-droite | Pièces et main d’œuvre

Quand la technologie remplace la politique par d’autres moyens – concrets, factuels – il faut superposer à l’ancien clivage droite/gauche, le nouveau clivage technologistes/écologistes, qui traverse également la droite et la gauche.

#politique #technocritique #transhumanisme #IA #PMO