#moyenage
Une équipe italienne confirme les thèses de Montagnier et Escarguel: le virus de la covid utilise des bactéries « coopérantes » pour se propager, ce qui explique l’efficacité des macrolides et des cyclines
Azithromycine, doxycycline, Ivermectine……………..
Vous avez tous rencontré des imbéciles arrogants qui affirment: » Le Sars cov 2 est un virus, les antibiotiques ne servent à rien puisque ce n’est pas une bactérie. »…Et pourtant nous sommes nombreux à avoir été soigné avec l’azitromycine ( avec ou sans hydroxychloroquine ) ou avec de la doxycycline(avec ivermectine) .
Et Pourtant tout se joue avec les bactéries de la flore intestinale que la covid contamine et qui servent de réservoir à covid, c ‘est ce que vient de démontrer une équipe italienne
Le protocole Raoult était le bon comme le protocole Borody ou Zelenko
Malgrè les résultats extraordinaires, la preuve ancienne de la capacité antivirale des macrolides, des dizaines de milliers de Français se sont retrouvés 80 ans en arrière, sans antibiotiques, avec seulement du doliprane . Beaucoup sont morts sans même avoir la covid , victime d’une complication bactérienne non traitée…
#Cuissage, un droit du #seigneur ? [ST] - #Médiéval1 - Un voyage au Moyen Âge
Vous savez quoi ? Ceux qui disent que le #MoyenÂge, ça craignait… Et bien ils n’ont pas du y regarder de trop près, parce qu’il y avait quand même de sacrés avantages, pour certains.
J’aurais bien aimé être un Seigneur, moi… Vivre de chasse et de baston, et puis surtout, avoir officiellement le droit de coucher avec toutes les jeunes femmes qui allaient se marier… Cool, quoi !!
… Comment ça, le droit de cuissage, ça n’existe pas ??
https://www.youtube.com/watch?v=YIdQyhpEMy8
#histoire #moyenage #droitdecuissage #harcelementsexuel
Petite Ville Loraine, de Meurthe-et-Moselle, dans l’Est de la France ou pour être précis Nord-Est, Pont-à -Mousson est une ville de 14497 habitants (recensement 1999), Elle a été fondée au début du moyen age par le seigneur compte de bar et de mousson. C’était une ville universitaire qui a presque était aussi meilleur que celle de Paris aux mêmes époques… C’est la ville dans laquelle je suis né et que je vous présente sous la forme d’un blog. Je continu à chercher des documents pour agrémenter le blog et faire découvrir cette ville remplie d’histoire.
pont-à -mousson poussière d'histoire
#fr #pontà mousson #ville #commune #histoire #passé #souvenir #bucolique #art #architecture #célèbre #batiment #oeuvre #moyen_age #MoyenAge #Renaissance #Lorraine #MeurtheEtMoselle #M&M #GrandEst #Region #Régional #France.
LA PENSÉE DU JOUR
Le billet doux d'Henri Gougaud
#henrigougaud #poesie #moyenage
La cité des fous
En une ville ne sais quelle
un jour tomba une ondée telle
que tous les gens mouillés de pluie
en furent rouillés de folie
Ils furent tous frappés sauf un
qui réchappa du sort commun
pour avoir chez lui sommeillé
quand la ville se mal mouillait
Et se levant après le somme
l’averse enfuie voilà notre homme
qui sort au soleil, voit des gens
tous étaient d’esprit indigent
Tel bouscule un voisin qui choit
tandis qu’un balourd faitr le roi
les poings noblement sur les hanches
un bouffon passe sous les branches
On s’injurie on se menace
on rit on pleure et l’on grimace
tel tribun parle sans méninges
tel autre va singeant les singes
Et notre homme en bonne santé
s’étonne fort en vérité
hélas de la santé publique
le voilà exemplaire unique
Jugez quelle fut sa stupeur !
Mais tous les autres prirent peur
le voyant agir sainement
on le crut pour le coup dément
On l’assaille on se le renvoie
si fort qu’il part tout de guingois
griffes dehors on le déchire
il tourne il va il vient il vire
Perclus comme Christ en Passion
il rejoint enfin sa maison
et s’y enferme à double clé
brisé de si franche raclée
Ma fable est à la mâle image
de notre monde et de notre âge
ce siècle est comme la cité
où croît folie en liberté
Traduit et adapté du troubadour Peire Cardenal (XIII° siècle)
Les femmes ont une #prostate : vrai ou faux ?
La fonction principale de la prostate est de sécréter une partie du #liquideséminal. En 2001, le Comité international pour la terminologie anatomique (FICAT) intègre la "prostate féminine" à sa Terminologia Histologica, qui fait autorité dans le monde. Vingt ans ont passé. Autour de vous, combien de femmes parlent de leur prostate ? Si vous cherchez des informations sur la #prostateféminine dans les manuels médicaux ou si vous consultez les sites internet de référence, déception : lorsqu’elle est évoquée (c’est-à -dire rarement), elle l’est de manière simpliste. Le fait que la prostate féminine soit un organe équivalent à la prostate masculine (issu du même tissu embryonnaire et produisant les mêmes substances) est rarement mentionné. Pourquoi ?
Liquide #prostatique
La chose est d’autant plus surprenante que l’existence d’une prostate féminine est parfaitement connue dès le #MoyenAge. Le médecin #AlessandroBenedetti (1452-1512) note d’ailleurs que, lors du #coït, elle est capable d’expulser la semence «avec une pression telle qu’elle jaillit plus loin que chez les hommes». Dans les années 1980, une #féministe canadienne en fait la démonstration, avec une puissance de feu dévastatrice. Elle s’appelle Shannon Bell. Philosophe de la performance, Bell est également professeure à l’Université York (Toronto) et directrice au département de science politique. Cette activiste apprend à #éjaculer au moment où le film Terminator sort au cinéma.
Ejaculer plus vite que son ombre
A force d’entraînement, elle perfectionne sa technique et parvient «à éjaculer en une à trois minutes et jusqu’à quinze fois par heure avec stimulation #clitoridienne ou #vaginale, avec ou sans #orgasme». Elle éjacule tantôt en petite quantité, tantôt à en «inonder les murs». Et elle ne manque jamais sa cible. Bell dispose de la «capacité légendaire d’éjaculer sur une pièce de monnaie». Dans l’ouvrage Fontaines, Stéphanie Haerdle – chercheuse en études de #genre à l’université de Berlin – lui consacre un chapitre vibrant d’admiration, illustré d’une photo surprenante. On y voit Shannon Bell, petit bout de femme maigre, pesant à peine 49 kilos, seulement vêtue d’une paire de bottes, faire jaillir de sa #vulve un squirt (projection) saisi au vol.
A l’époque où Shannon Bell se filme en train de se masturber afin d’expliquer publiquement les techniques d’éjaculation, la plupart des femmes pensent qu’il s’agit d’urine. La faute au couple légendaire William Masters et Virginia Johnson. Pionniers de la #sexologie dans les années 50 et 60, Masters et Johnson ont bien sûr constaté que des #femmes éjaculent. Bien que, de toute évidence, le liquide ne soit pas de l’urine, ils interprètent le phénomène comme une «incontinence de stress». Ils préconisent de re-muscler le plancher pelvien, voire une intervention chirurgicale pour mettre fin à cette «miction involontaire». Haro sur les malheureuses qui mouillent «trop» lors de l’orgasme.
Diagnostic : incontinence
«C’est ainsi qu’un aspect naturel de la sexualité féminine devient un phénomène honteux, embarrassant, que les femmes essaient d’empêcher en se contractant, en se crispant. Quand elles ne renoncent pas carrément à jouir. C’est ainsi qu’on pathologise des femmes en parfaite santé, voire, pire encore, qu’on les opère.» Pour Stéphanie Haerdle, le tabou posé sur la prostate féminine date en partie du diagnostic posé par Masters et Johnson. Un diagnostic désastreux, dit-elle, qui «explique la tabouisation et le refoulement de l’ #éjaculationféminine au XXe siècle, dont nous ressentons toujours les effets aujourd’hui. Quel tourment, pour beaucoup de femmes, dans ce qui devrait être un moment de détente absolue et d’oubli de soi, de penser qu’elles pourraient uriner sur leur partenaire…»
A coup d’éjacs explosives, Shannon Bell fait voler en éclat ce carcan de honte. «C’est fantastique», dit-elle. Dont acte. En 1989, dans la vidéo Nice Girls Don’t Do it (co-réalisée avec #KatyDaymond), elle montre qu’une femme peut «prendre son pied» comme un mec, exposant de façon sauvage la réalité corporelle du #plaisir. Avec Shannon #Bell, le corps féminin devient le lieu d’une #sexualité puissante, agressive, auto-déterminée, qui tranche de façon radicale avec l’image lénifiante de la #féminité onctueuse telle que la défendent les «féministes différentialistes». Ainsi que Stéphanie #Haerdle le défend, l’idée selon laquelle les femmes auraient l’apanage de certains #fluides (le lait ou les menstrues qui couleraient doucement), par opposition aux hommes seuls capables de «gicler» peut paraître séduisante au premier abord mais elle relève de l’imposture.
Homme : #5ml en moyenne
«Ce n’est pas un hasard si les personnes qui contestent l’ordre hétéronormatif et binaire, gender terrorists, lesbiennes ou gender deviants sont aussi précurseures en matière d’éjaculation. Pour Bell, le corps féminin éjaculant […] fait la démonstration de l’égalité des corps.» Il ne s’agit pas pour les femmes de singer les mâles, ni de jouer à faire «comme eux». Il s’agit au contraire de se réapproprier une qualité dont les hommes non seulement n’ont pas le monopole, mais dont ils ne possèdent que les rudiments. Car, au fond, qui éjacule le plus ? Les femmes. Un homme produit entre 2 et 6 millilitres par orgasme, soit une cuillerée à café de sperme, et s’il éjacule plusieurs fois de suite, la quantité baisse, ce qui n’est pas le cas chez la femme dont la prostate semble inépuisable : elle peut produire jusqu’à 126 millilitres d’éjaculat par orgasme.
Dans son livre #FastFeminism (2010), Bell évoque ce concours nommé «éjaculathon» au cours duquel sont mesurés les records de vitesse, de distance ou de quantité. C’est une femme qui #éjacule le plus rapidement (deux secondes). C’est aussi une femme qui éjacule le plus loin (presque sept mètres), le plus souvent (chiffre introuvable) et en plus grande quantité (des litres). Il peut paraître ridicule de rivaliser ainsi, comme dans une cour d’école, mais les jeux d’enfant sont jouissifs et ils permettent aux femmes de reprendre de l’assurance, en détrônant les hommes, au besoin. Le but n’est pas de dire qu’elles sont supérieures, mais qu’elles partagent avec les hommes des organes similaires. Pour #ShannonBell, il n’existe qu’un seul corps humain et les frontières du genre fluctuent au gré des jeux.
#Fontaines – Histoire de l’éjaculation féminine de la Chine ancienne à nos jours, #StephanieHaerdle, #LuxQuebec, avril 2020.
Blog #Les400Culs
La vidéo que voici présente deux histoires en langue d’oc. La première parle de la #légende du "cœur mangé" associée à Guillem de Cabestany, un #troubadour du Roussillon ayant vécu entre le XIIe et le XIIIe siècle. La deuxième scénette traite de son contemporain Raimon de Miraval, dont la #chanson Bel m'es qu'ieu cant e coindei est ici interprétée par Gérard Zuchetto.
#Occitanie #Folklore #MoyenAge
Sur le carreau
Azincourt 1415-2015
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