The move came after the Israeli #Knesset passed several laws banning the agency from operating on Israeli-occupied territory.
#Gaza
#WestBank
#UNRWA
#palestine #Israel #Occupation #Apartheid #Politics
#apartheid #Israël #Palestine #Israel
https://xcancel.com/caissesdegreve/status/1851064147523305687
The Board of ILGA, a federation of 1,900 #LGBTQIA+ organizations in 160 countries and territories, voted unanimously to remove the bid by Aguda from the vote at its 2024 World Conference in Cape Town, South Africa, November 11-15.
The announcement of Aguda’s bid to host the ILGA World Conference in Tel Aviv as Israel commits genocide against 2.3 million Palestinians in Gaza, escalates its violent apartheid rule over all Palestinians and conducts massacres in Lebanon, provoked widescale condemnation among ILGA member organizations and board members.
Former ILGA Secretary General Phumi Mtetwa withdrew as a keynote speaker from this year’s conference over the bid, saying, “Apartheid is Apartheid, and there's no room for negotiation or tolerance, especially not from within the LGBTQI+ movement.” ILGA board members have been vocal in their opposition, condemning the proposal as “trying to blatantly #pinkwash war crimes which does not represent our movement that stands in strong solidarity against any oppression.”
ILGA further voted to suspend Aguda as it reviews its compliance with the ILGA constitution. ILGA’s review process can come to no other conclusion than to expel Aguda and all organizations complicit in Israel’s crimes.
Aguda has a history of pinkwashing Israel’s crimes, even defining the Israeli #military as “one of the more progressive organizations in Israel” in terms of LGBTQIA+ acceptance during Israel’s genocide, and promotes activities in illegal Israeli settlements in the occupied Palestinian #WestBank.
ILGA apologized for the anger and harm done to its communities, recognizing “the historical experience with #apartheid and #colonialism in #SouthAfrica: even the possibility of voting on such a bid in their home country would have been at odds with the unequivocal solidarity for the Palestinian people.”
We thank the many South African organizations and all #ILGA members who immediately recognized the Aguda bid for what it was, an attempt to pinkwash Israel’s war crimes, crimes against humanity and genocide, and pushed ILGA to do better.
#Israel #Palestine #Occupation #SanctionIsrael #StopGenicide #SavePalestine
Video footage circulating online shows the boy throwing a stone as an Israeli military vehicle drove by. The stone did not hit the vehicle or any soldiers. Immediately after, the boy was shot and murdered by the Israeli occupation forces.
Vor einem Jahr feierte Black Lives Matter den Hamas-Angriff auf Israel als Widerstand. Nun bröckelt die Unterstützung der Schwarzen Community.#BlackLivesMatter #Apartheid #Palästina #Israel #Nahost-Konflikt #Alltag #Gesellschaft #Schwerpunkt
Palästina in der Schwarzen Community: Apartheid? Echt jetzt?
#politics #Israel #Palestine #apartheid
The NYTimes discovers apartheid is true and real in Israel.
They don't respect any laws or agreements, but they are still welcomed into every freaking international organization from FIFA to OC and UN.
Israel is an out of control rogue nation that needs to be treated as such. If they don't respect UN, they should not be allowed to be part of it.
Seriously?
#UN #UNRWA #Jerusalem #WestBank #palestine #Israel #Occupation #Apartheid #Politics #EU #US #Hypocrisy
#apartheid #génocide #Palestine #sionisme #théofascisme
Mostafa Barghouti
Photo : Sandton (Afrique du Sud), 10 mai 2024. Mostafa Barghouti (à gauche), médecin, militant et homme politique palestinien, secrétaire général de l’Initiative nationale palestinienne, salue Naledi Pandor (à droite), ministre sud-africain des relations internationales et de la coopération, lors de la première conférence mondiale contre l’apartheid EMMANUEL CROSET / AFP
L’histoire n’a pas commencé le 7 octobre 2023. Dans ce focus, Orient XXI revient sur un an de guerre génocidaire à Gaza.
Dans ce texte, Mostafa Barghouthi dresse le bilan macabre de cette dernière année et annonce clairement ce qui attend les Palestiniens si rien n’est fait : l’annexion du reste des territoires occupés, la poursuite de l’apartheid et la finalisation du nettoyage ethnique. Tout en affirmant la poursuite de la résistance, « quoi qu’il en coûte ».
La guerre d’Israël contre Gaza, qui a commencé le 7 octobre 2023, n’a pas son équivalent dans l’histoire moderne. Depuis un an, Tel-Aviv commet trois crimes de guerre en parallèle : un génocide, la punition collective d’une population civile et un nettoyage ethnique.
Au cours de la première année de cette guerre dévastatrice qui s’est étendue — comme on s’y attendait — au Liban voisin, l’armée israélienne a bombardé les 2,2 millions d’habitants de Gaza, vivant sur moins de 360 km², avec plus de 83 000 tonnes d’explosifs. Cela représente 32 kg d’explosifs par homme, femme ou enfant. Pour mettre ce chiffre en perspective, 83 000 tonnes représentent quatre fois la puissance explosive de chacune des bombes nucléaires lancées sur Hiroshima et Nagasaki pendant la Seconde guerre mondiale.
Près de 80 % des habitations ont été partiellement ou totalement détruites. En Allemagne, seules 10 % des maisons avaient été détruites à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La machine de guerre israélienne a intentionnellement démoli toutes les universités, plus de 70 % des écoles, 34 des 36 hôpitaux qui y existent, 165 établissements de santé, 80 centres de soins, 137 ambulances, 178 abris, 611 mosquées et les 3 églises de Gaza.
« Papa, est-ce que mes mains repousseront quand je serai grand ? »
Les bombardements ont tué jusque-là plus de 41 595 Palestiniens, auxquels s’ajoutent plus de 10 000 disparus, qui sont encore sous les décombres. Parmi ces victimes, 70 % étaient des enfants, des femmes et des personnes âgées. Près de 17 000 enfants ont été tués, dont 115 qui sont nés après le 7 octobre. Certains, comme les enfants de Mohamed Abou Al-Koumsan, ont vécu moins de trois jours. L’on se souvient du témoignage déchirant de ce père qui expliquait à quel point il avait été heureux que sa femme ait réussi à donner naissance à des jumeaux en bonne santé, pendant la guerre ; il s’était précipité pour leur obtenir des certificats de naissance, mais, de retour chez lui, il découvrait son appartement bombardé. Sa femme, ses nouveau-nés et sa belle-mère avaient péri.
Il faut ajouter à ce bilan les 96 251 Palestiniens, pour la plupart des civils, qui ont été blessés. Ce chiffre inclut 4 000 amputations, dont 1 300 enfants. Un jour de cette guerre brutale et qui semble sans fin, j’ai eu le cœur brisé en voyant à la télévision un enfant de cinq ans qui avait perdu ses deux mains demander à son père : « Papa, est-ce que mes mains repousseront quand je serai grand ? ». Le père, larmes aux yeux, ne pouvait pas dire un mot.
Fin septembre 2024, l’armée israélienne avait tué ou blessé 6,5 % de la population de Gaza. Si cela s’était produit aux États-Unis, cela signifierait proportionnellement que plus de 20 millions d’Américains ont été tués ou blessés en moins d’un an.
Cette offensive contre Gaza s’est accompagnée d’une campagne impitoyable de déshumanisation des Palestiniens. Celle-ci a été menée par le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et le ministre israélien de l’armée Yoav Gallant, qui ont qualifié les Palestiniens d’« animaux humains ». Les fascistes Bezalel Smotrich et Itamar Ben Gvir, tous deux précédemment accusés par la justice israélienne d’appartenir à des groupes terroristes, ont mené des campagnes visant à éliminer les Palestiniens qui, selon eux, étaient tous des terroristes, y compris les enfants.
Ne plus vivre, ne plus se soigner
L’armée israélienne n’a pas seulement bombardé les civils de manière indiscriminée. Elle a aussi spécifiquement ciblé le personnel médical. Au onzième mois de la guerre, plus de 880 médecins, infirmières, ambulanciers et autres professionnels de la santé ont été tués. Pire : pas moins de 200 professionnels de la santé ont été arrêtés et torturés, parfois jusqu’à la mort. Parmi eux, Adnan Al-Bursh et Iyad Rantissi, anciennement chefs du service de chirurgie orthopédique à l’hôpital Al-Shifa et du service d’obstétrique et de gynécologie de l’hôpital Kamal Edwan, ont été torturés à mort dans les prisons de Sde Timan et d’Ofer.
Conséquences de ces attaques contre les installations médicales et sanitaires : sur les 95 000 blessés, au moins 25 % risquent de mourir faute de traitements appropriés, et ne peuvent pas recevoir de traitement médical adéquat en raison du refus d’Israël de les autoriser à quitter la bande de Gaza.
Car Tel-Aviv n’a pas seulement mené un génocide par des bombardements. Il a également permis une explosion d’épidémies et de maladies en privant la population de nourriture, d’une alimentation appropriée, d’eau propre et de toutes les formes d’énergie telles que l’électricité et le carburant. Selon Palestinians Medical Relief Society (PMRS), qui gère les opérations médicales à Gaza et fournit un traitement médical à environ 200 000 patients par mois, il y a, jusqu’en septembre 2024, 1 737 524 personnes souffrant de maladies infectieuses à la suite de leur déplacement1, dont 112 000 atteintes d’une épidémie d’hépatite infectieuse, 3 500 enfants souffrant de malnutrition sévère, des centaines de milliers souffrant de maladies de la peau, notamment de gale et d’impétigo2, plusieurs enfants atteints de méningite et 6 cas de poliomyélite présumée, en plus d’un cas confirmé. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été obligée de mener une nouvelle campagne de vaccination contre la poliomyélite sous les bombardements israéliens, car Nétanyahou a refusé d’autoriser un cessez-le-feu humanitaire, même pour quelques jours.
Selon la PMRS, chaque habitant de Gaza tombe malade en moyenne trois fois par mois, parfois pour des infections respiratoires, des gastro-entérites ou des maladies de peau. Ajoutons à cela toutes les personnes qui souffrent de maladie chronique, et qui ne peuvent plus se soigner faute d’infrastructure et dans les conditions de déplacement actuelles. Parmi elles, 10 000 cas de cancer ne reçoivent pas de traitement approprié, 12 000 personnes ont un besoin urgent d’évacuation médicale et 350 000 personnes souffrent de maladies chroniques qui nécessitent des soins médicaux continus et la fourniture de médicaments.
Guerre aux journalistes
Pour que la vérité sur ces crimes de guerre israéliens ne parvienne pas au monde, Israël a également pris pour cible les journalistes locaux, tandis qu’il interdisait à leurs confrères internationaux l’accès à Gaza — à l’exception d’une correspondante de CNN qui a pu y passer trois heures seulement. Là aussi, le bilan est lourd : 174 journalistes ont été tués, souvent avec des membres de leur famille. Parmi eux se trouvent des correspondants de la chaîne Al-Jazirah, l’un des principaux médias couvrant cette guerre et qui a été puni par le gouvernement israélien en fermant ses bureaux en Israël et en Palestine.
Aucune protestation sérieuse contre l’interdiction des journalistes internationaux dans la bande de Gaza par Israël n’a été émise par les grands médias occidentaux. Or, sans les courageux journalistes palestiniens et des médias tels qu’Al-Jazirah et Al-Mayadeen (Liban), et sans les jeunes activistes des médias sociaux, le monde n’aurait pas été au courant des atrocités commises par Israël à Gaza.
Israël étend désormais son génocide à la Cisjordanie. Depuis le 7 octobre 2023, 720 Palestiniens, pour la plupart là aussi des civils, dont 150 enfants, ont été tués par des colons et des militaires en Cisjordanie. Plus de 11 000 personnes ont également été arrêtées. Les bulldozers israéliens ont causé des dégâts considérables dans de nombreuses villes et camps de réfugiés, comme à Jénine et à Tulkarem, détruisant volontairement les infrastructures. En outre, le gouvernement israélien a démantelé la plupart des zones censées être sous le contrôle de l’Autorité palestinienne (AP), a envahi plusieurs villes et a dépouillé l’AP de toute autorité civile dans la zone B3.
Un nouvel ordre mondial
Mais au-delà des préjudices subis par la population palestinienne, la politique israélienne met également à mal le droit international et humanitaire, dont l’Occident prétend se préoccuper. Les Palestiniens ont eu la confirmation du double langage de nombreux gouvernements occidentaux, en comparant leur attitude à l’égard de la Russie et de l’Ukraine avec celle adoptée à l’égard d’Israël et de la Palestine. La Russie a été soumise à 11 000 sanctions en deux mois, tandis qu’Israël a reçu 50 000 tonnes d’explosifs des États-Unis, ainsi que des milliers d’armes d’autres pays occidentaux, tels que le Royaume-Uni et l’Allemagne.
L’ordre mondial ne sera plus jamais le même après le génocide de Gaza. Les gens se demandent légitimement : où sont les soi-disant valeurs occidentales des droits humains, de la démocratie et du droit international ? Pourquoi les Palestiniens doivent-ils faire face à l’occupation israélienne, à l’apartheid et au génocide ? Pourquoi sommes-nous maltraités par de nombreux gouvernements européens et américains qui refusent de nous traiter comme des êtres humains égaux ?
Quel sera l’impact de ce génocide en cours sur l’ensemble de l’ordre international créé après la Seconde guerre mondiale ? Les détenteurs du pouvoir ne seront-ils pas tenus de rendre des comptes pour avoir enfreint les règles du droit international ? Le monde sera-t-il dirigé par la règle du pouvoir impitoyable plutôt que par la règle de droit ?
La guerre qui a commencé le 7 octobre n’est pas la cause de la situation politique actuelle, mais plutôt le résultat de 76 années de nettoyage ethnique que le peuple palestinien subit de la part d’Israël depuis 1948, lorsque 52 massacres ont été commis par des bandes militaires israéliennes et que 520 villes et villages palestiniens ont été réduits en cendres. À Gaza, 70 % de la population descend de réfugiés déplacés par Israël en 1948. Les voilà à nouveau déplacés en 2024. Ils l’ont été six à dix fois durant l’année qui s’est écoulée.
Le 7 octobre était aussi le résultat de 57 ans d’occupation militaire israélienne de la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est et Gaza, qui a évolué vers le pire système d’apartheid de l’histoire moderne. C’était le résultat de 17 années d’un siège israélien impitoyable sur Gaza, qui a laissé 94 % de son eau polluée ou salée et une économie détruite, avec 80 % des jeunes diplômés au chômage. C’est aussi le résultat d’une politique israélienne assumée qui a entraîné la disparition d’une solution à deux États, dans laquelle les Palestiniens étaient censés construire un État sur 22 % de leur territoire, alors que la résolution 181 de l’ONU leur en accordait 44 % à une époque où ils possédaient 82 % de la terre de la Palestine historique.
Ni meilleur, ni pire
Cette politique est le résultat de la loi sur l’État-nation du parlement israélien (2018), stipulant que le droit à l’autodétermination de la Palestine historique — qu’ils appellent « Eretz Israel » — est réservé au peuple juif, suivie de la déclaration du ministre fasciste israélien Bezalel Smotrich, selon laquelle Israël remplira la Cisjordanie de colonies israéliennes, jusqu’à ce que les Palestiniens perdent tout espoir d’avoir leur propre État, et qu’ils aient alors à choisir entre l’immigration (c’est-à-dire le nettoyage ethnique), la soumission aux Israéliens (l’apartheid éternel) ou la mort (le génocide)4.
Le 7 octobre a été le résultat direct du glissement israélien, non seulement vers le racisme et l’extrémisme, mais aussi vers le théofascisme, tuant tout espoir de paix ou de justice en Palestine. De nombreux Palestiniens avaient des espoirs dans le processus de paix, dans le droit international et les résolutions de l’ONU. Mais ils ont vu leur patrie progressivement et violemment envahie par des colons extrémistes. Ils vivent dans un état de menace constante, leurs enfants sont en danger, et les Nations unies ainsi que les gouvernements occidentaux ne sont pas capables d’imposer la mise en œuvre de pas moins de 84 résolutions du Conseil de sécurité, et d’environ 800 résolutions de l’Assemblée générale, qui soutiennent les droits des Palestiniens.
Il est clair que l’establishment israélien tente d’annexer la Cisjordanie, y compris Jérusalem, et la bande de Gaza, et de déplacer leurs populations palestiniennes. Nétanyahou n’a laissé aucun doute sur ses intentions lorsqu’il a présenté la carte d’Israël à l’Assemblée générale des Nations unies, deux semaines avant le 7 octobre, qui comprenait la Cisjordanie, la bande de Gaza et le plateau du Golan.
Aucune vie innocente de civil ne doit être perdue ou tuée. Cela s’applique également aux Palestiniens. Le célèbre poète palestinien Tawfiq Ziyad, qui a été aussi le maire de Nazareth, a dit un jour : « Nous, les Palestiniens, ne sommes pas meilleurs qu’un autre peuple, mais aucun autre peuple n’est meilleur que nous. »
Nous voulons être traités comme des égaux, avec nos droits à la liberté totale, à la dignité et à l’autodétermination. Quoi qu’il en coûte, les Palestiniens ne se laisseront pas abattre et n’abandonneront pas, tant que leur rêve ne sera pas réalisé et que la Palestine ne sera pas libre.
Mostafa Barghouti
The international media's decades-long failure to report honestly on #Israel has real, devastating consequences for Palestinians. Shocken cuts through the bullshit and lays out some hard truths about Israel that anyone who's paying attention should have known by now.
[...] At the beginning of Benjamin Netanyahu's speech at the UN last Friday, he said he hadn't intended to come speak because his country is at war, but ultimately decided to come to refute the lies told about #Israel in speeches by other leaders before him. According to him, he decided to come and tell the truth. And the truth is that Israel pursues peace, it aspires to peace, it has made peace and will continue to make peace, but it faces cruel enemies who seek to destroy it.
[...] The truth is that there is no greater lie than this "truth" of Netanyahu's. #Netanyahu never wanted peace with the Palestinians. In 1995, he incited against Prime Minister Yitzhak Rabin who signed the Oslo Accords, as a first step towards realizing the two-state solution - the only solution that can bring peace between Israel and the Palestinians. In his first term, after #Rabin's assassination, from 1996-1999, Netanyahu only did what Israel had committed to before he was elected and signed the Wye Agreement in October 1998, but the agreement was not implemented due to claims from both sides. In 2009 he was elected for a second time, and served continuously for 12 years until 2021. During this period, he succeeded in torpedoing US President Barack Obama and his Secretary of State John Kerry's attempt to establish peace between Israel and the Palestinians. He never initiated negotiations with the Palestinian Authority on the future of the occupation in the territories. To avoid any negotiations with the Authority, he humiliated it and strengthened Hamas - so he could say that the Palestinian Authority does not represent all Palestinians.
[...] Netanyahu is not interested in peace with the Palestinians, because he is not willing to give up on Israeli settlement in the occupied territories. The basic guidelines of his current government state that the exclusive right to settle in all parts of the Land of Israel, including the occupied territories, belongs only to the Jewish people, and the map he presented in his UN speech is from the river to the sea, as the extremists on both sides desire. Mahmoud Abbas says that the Palestinian state he wants to establish should include the territories in the West Bank occupied in June 1967, and the Gaza Strip. Netanyahu refuses to hear of this, despite the fact that without agreement on this there will be no peace with the Palestinians. According to Netanyahu, Palestinians are not allowed to want to establish a state even in a smaller area than that marked in the UN partition plan for two states from November 1947. It should be emphasized that Israel violated its commitment in the peace agreement with Egypt, and it violates international law when it allows its citizens to live in occupied territory and allows Palestinians, for whom this territory is intended, to be removed from the occupied territory.
[...] There were more lies in Netanyahu's speech. According to him, there are two possibilities: One is a blessing of peace and prosperity for Israel, its Arab neighbors and the rest of the world, in which he specifically referred to cooperation between Israel and Saudi Arabia; the other is a curse, in which Iran and its agents in various countries will cause massacre, bloodshed and destruction. Netanyahu conceals the fact that Saudi Arabia conditions its cooperation with Israel, the blessing of peace, on advancing a solution to the conflict between Israel and the Palestinians by establishing a Palestinian state. Netanyahu deceives his listeners by saying he prefers the blessed solution, because in practice he prevents it, as he intends to continue the cruel #apartheid regime in the territories and Israel's denial of Palestinian rights. It is shocking that this will be the legacy of his tenure, apartheid and terror.
[...] Another lie by Netanyahu is in saying that we are constantly focused on the sacred mission of freeing the hostages held in Gaza, and that we will not stop until we bring them all back. The truth is the opposite. Netanyahu is not willing to do what is necessary to bring back the hostages, and he has prevented Israeli negotiators from reaching an agreement several times, because each time he defined additional Israeli demands that the representatives were willing to give up on. At least let him tell the truth here and not lie.
[...] Netanyahu asked the UN Security Council in his speech to renew sanctions on Iran to prevent it from reaching nuclear capability, but he ignored Security Council Resolution 2334 from 2016, which determined that it is forbidden to add settlers to the occupied territories, even as a result of natural growth, and that all settlements that went up in the territory since March 2001 should be dismantled, and that the fact that Israeli citizens live in the occupied territories including East Jerusalem is contrary to international law and the Security Council decision, and is a major obstacle to the two-state solution and long-term peace. Sanctions should be imposed on Netanyahu and ministers in his government who promote settlement in the occupied territories, and on the Israeli citizens who live there.
[...] Netanyahu lies when he accuses Abbas of not condemning the massacre carried out by Hamas on October 7. Abbas said it is the Palestinians' right to defend themselves, and condemned harm to civilians by both sides. He lies when he claims that Abbas is waging a diplomatic war against Israel's right to exist. Abbas recognizes Israel's right to exist. He is waging a diplomatic war against the occupation and apartheid. This is his right, and he should not be punished for it.
[...] When Netanyahu noted in his speech that the justice system in Israel is independent and should receive from the #ICC prosecutor the same treatment as other democracies receive, he is lying to his listeners, because he conceals from them the fact that in these very days he is leading a move aimed at destroying the independence of the Israeli justice system.
- Quelle: https://www.haaretz.com/opinion/2024-10-02/ty-article-opinion/.premium/netanyahus-lies-in-the-united-nations/00000192-4966-d3f4-a3f3-fdeeaa760000
The Government of Israel is methodically implementing a strategy designed to achieve the political vision of applying full Israeli sovereignty to the West Bank, while establishing a reality of Jewish supremacy and forcing the Palestinians living in the Area into to the smallest possible geographical space.
Many of the government’s steps alter the face of the #WestBank and the structure of Israeli control there, including:
Videos show Israeli soldiers push three Palestinian men off a roof in a West Bank town under illegal Israeli occupation. The western media can barely stifle their yawns
Video available on the page with detailed analysis of the events;
https://jonathancook.substack.com/p/the-more-definitive-the-proof-of
#WarCrime #WestBank #Media #palestine #Israel #Occupation #Apartheid #Politics
Operation Vula was a mission to infiltrate key leaders such as Mac Maharaj and Charles Nqakula into South Africa while ensuring good lines of communication between them and the ANC’s headquarters-in-exile in Lusaka, Zambia.
“Even in those days, 25 years before Edward Snowden, there was talk about ‘backdoors’ in encryption software,” Jenkin previously told MyBroadband.
Encrypted messages were transmitted into a signal that could be played over a regular telephone call and recorded. This allowed operatives to easily receive messages via public telephones.
The recorded message could then be played back into a computer via a modem and decrypted.
Interesting history and because this was before the availability of the Internet everywhere, more legacy mode transmissions were required.
Why the code has remained hidden for so long, was that it was stored in an encrypted zip file, and if you forget your password, you can’t open it (a valuable lesson for anyone wanting to be super-secret, is don’t forget your password, 10 years later).
And although there is a known vulnerability with the ZipCrypto scheme used, it was not as simple as just running bkcrack.
See mybroadband.co.za/news/softwar…
#Blog, #apartheid, #encryption, #privacy, #southafrica, #technology
The assault was followed by a wave of arrests and raids conducted by Israeli forces against the school’s teachers and principal.
More details:
https://qudsnen.co/?p=47957
Because sure the media doesn't care about his death.
It wasn't like he was a fascist idlamophobe standing up against Putinname Navalny, because then he would have been all over the news and the whole "civilized west" leaders would be on TV and media condemning the criminals who killed him.
He will be just another nameless victim of the Israeli never ending crimes against Palestinian people.
Now move on and watch the latest BS about US election.
#palestine #WarCrime #WestBank #NeverForget #NeverForgive #palestine #Israel #Occupation #Apartheid #Politics
The video published by extremist Jewish Talmudic groups confirms that there are plans, conspiracies and malicious ambitions aimed at controlling Al-Aqsa Mosque and that they see the Arab and Islamic silence and inaction on the massacres and genocide in #Gaza as a motive and a suitable opportunity to attack Al-Aqsa Mosque and implement their ambitions and biblical and Talmudic myths.
Resistance Committees in Palestine:
We warn of the intentions of the Zionist entity and the settlers to harm the blessed Al-Aqsa Mosque and we call on our people in all parts of occupied Palestine to travel to the blessed Al-Aqsa Mosque and intensify their presence in its courtyards and confront the criminal Zionist plans.
We call on the Arab and Islamic nation and the free people of the world, peoples, governments and organizations, to carry out their duties and responsibilities towards the malicious and cunning plans that Al-Aqsa Mosque is exposed to.
Ps. Image from Archives
#Jerusalem #AlAqsa #JewishISIS #palestine #Israel #Occupation #Apartheid #Politics
It's fully rational to call Israel a fascist state, an apartheid state, a nazi state.
https://piped.video/watch?v=a7cgzz5W8uM
https://www.youtube.com/watch?v=a7cgzz5W8uM
#politics #Israel #apartheid #genocide
Understanding Israeli politics.
David Sheen is a reporter and content editor at Haaretz.com. Originally from Toronto, Canada, Sheen has blogged online since he first moved to Israel in 1999. He has authored award-winning blogs on ecological sustainability and social justice.
https://piped.video/watch?v=YMlt9Si9Ti8
https://www.youtube.com/watch?v=YMlt9Si9Ti8
