En effet, lorsqu'une vidéo est visionnée sur #Youtube, dans 70 % des cas, l'utilisateur à été amené à cliquer sur cette vidéo via l'algorithme de recommandation de Youtube.
Cet algorithme ne se pose pas la question du contenu - de sa nature, de son message… En pratique, cependant, l'ancien employé constate que les contenus les plus mis en avant se trouvent être les contenus agressifs, diffamants, choquants ou complotistes. Guillaume Chaslot compare : « C'est comme une bagarre dans la rue, les gens s'arrêtent pour regarder. »
Nécessairement, on comprend que, en réponse à cet algorithme, de nombreux créateurs de contenus se soient spontanément adaptés, proposant des contenus de plus en plus agressifs.
Google porte le #logiciel #Android, son système d'exploitation pour smartphones. En diffusant des outils réutilisables afin d'« aider » les #développeurs à développer des applications mobiles pour Android, Google a réussi à faire largement adopter ses « pratiques » par de nombreux développeurs : les codes diffusés contiennent souvent des #pisteurs Google et ceux-ci se retrouvent ainsi intégrés dans de nombreuses applications qui, a priori, n'ont absolument aucune raison de révéler à l'entreprise des informations sur leurs utilisateurs.
C'est ce que révèle parfaitement l'association Exodus Privacy : des traces des pisteurs Google Ads, Firebase Analytics, Google Analytics ou DoubleClick ont été retrouvées dans le code de plus de 3 000 applications analysées, dont Deezer, Spotify, Uber, Tinder, Twitter, Le Figaro, L'Equipe, Crédit Agricole, Boursorama ou Angry Birds.
Par ailleurs, Google tente régulièrement de s'acheter une image au sein du milieu du #LogicielLibre. Ainsi, les sources de Android sont #libres de droit. Cela ne veut pas dire que son #développement est ouvert : Google choisit quasiment seul les directions dans le développement du système.