#politique

wazoox@diasp.eu

Laurent Ozon sur X : "Qu'est-ce qui peut pousser le PDG de Palantir (et ex London School of Economics) à faire cette photo avec un énorme portrait de Foucault à votre avis ?" / X

#politique #néolibéralisme #biopolitique

https://twitter.com/LaurentOzon/status/1790042642014712042

wazoox@diasp.eu

Thomas Fauré sur X : "Traduction : Emmanuel Macron veut "permettre à Microsoft de vendre ses solutions aux entités soumises à la protection des données sensibles (de l'État, des entreprises stratégiques, du régalien, etc)." Monsieur, la tech Française mérite mieux. Elle mérite l'audace de votre…" / X

#politique #trahison #lacorde #guillotine2024 #lepal

https://twitter.com/faure_t/status/1790049458735997275

part_of_you@diaspora.psyco.fr

#Mafia #US #GenocideJoe #Biden aux mains balladeuses
Voici le représentant 🤡 des "démocrates" étasuniens....., il est vachement plus respectable que Trump :-)))
Après l'ordinateur du fils #HunterBiden, ......dans les carnets de la fille de Joe Biden, qui ont été authentifiés, celle-ci se demande si elle a été molestée par son père et parle de comportement inappropriés sous la douche...
(à 1:10:44)

https://invidious.fdn.fr/watch?v=_rL9tmhHtmA
#Poulin #pipolitique #politique #france

wazoox@diasp.eu

Olivier Esteves, politiste : « Les musulmans qui quittent la France sont des individus surdiplômés, souvent conscientisés, à forte religiosité »

#politique #islamisme #wokistan

Article hallucinant. Le mec a fait un travail de merde (même en M1 on t'explique qu'il faut 5000 personnes pour faire de la socio, pas 1000), il sait que ses sources sont super biaisées -- Médiapart et le CCIF, c'est presque une caricature! --, il ne sait ni le nombre de musulmans qui partent, ni leur proportion par rapport aux autres jeunes français non musulmans... mais il va taper sur la méchante France et la méchante laïcité en admettant que ses "clients" sont ultra-libéraux, et ce torche-cul est applaudi dans la presse macroniste... Mais putain.

Ah, j'apprends qu'Estève a fait partie du CCIF, et il a écrit des trucs absolument monstrueux sur Charlie Hebdo après les attentats. Bref, c'est un islamiste.

Après avoir vu d’anciens étudiants musulmans prendre définitivement l’Eurostar en direction de Londres, les chercheurs Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont décidé de s’intéresser aux Français musulmans qui partent s’installer à l’étranger. Leur « enquête sur la diaspora française musulmane » vient de paraître sous le titre La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil, 320 pages, 23 euros). Dans un entretien au Monde, Olivier Esteves, agrégé d’anglais, spécialiste en cultures et sociétés anglophones à l’université de Lille, revient sur les principales leçons qu’il retire de l’enquête qu’il a codirigée.

Le travail que vous publiez porte sur les Français musulmans qui décident de partir vivre à l’étranger. Sait-on combien ils sont ?

Ils sont probablement des dizaines de milliers, mais nous ne pouvons pas apporter un chiffre précis.

D’une part, on ne sait pas exactement combien de Français vivent à l’étranger puisqu’une part importante d’entre eux ne se font pas enregistrer sur les listes consulaires.

D’autre part, il n’existe pas en France de statistiques religieuses : on ne sait donc pas combien de Français sont musulmans. La question du « combien » n’était de toute façon pas celle qui nous intéressait le plus. Ce que nous voulions comprendre, c’est « pourquoi » ces Français musulmans quittent leur pays.

Justement, pour quelles raisons décident-ils de s’installer à l’étranger ?

Il s’agit avant tout de fuir « l’islamophobie d’atmosphère ». Dans nos entretiens, les enquêtés évoquent très fréquemment les médias et les discours politiques hostiles à l’islam et aux musulmans. Ce climat s’est exacerbé à la suite des attentats de 2015 et a entraîné une nette accélération des départs.

Les discriminations subies personnellement, notamment sur le marché du travail, contribuent aussi à la décision du départ. Parmi les musulmans, certaines catégories subissent une stigmatisation spécialement dure et sont donc plus susceptibles de partir. C’est le cas en particulier des femmes qui portent le voile. C’est également le cas des convertis qui font brutalement, à l’adolescence ou à l’âge adulte, l’expérience de discriminations qu’ils n’avaient pas subies durant l’enfance.

Reste que de nombreuses personnes ne partent pas pour une raison unique. Outre la volonté d’échapper à l’islamophobie, des mobiles complémentaires de départ sont avancés. Certains enquêtés, très minoritaires, estiment qu’ils ne peuvent trouver un épanouissement religieux qu’en s’installant dans un pays musulman. D’autres, plus nombreux, partent également pour apprendre l’anglais, par goût de l’aventure ou bien pour saisir de nouvelles occasions professionnelles.

Vous avez évoqué les femmes qui portent le voile : sont-elles davantage sujettes aux discriminations en France que dans d’autres pays occidentaux ?

Il y a une vraie spécificité française sur cette question. Dans notre pays, une femme qui porte le voile est reléguée à la marge de la société et il lui est notamment très difficile de trouver un emploi. Des femmes portant le hidjab qui veulent travailler sont donc assez logiquement amenées à quitter la France.

D’ailleurs, certains pays l’ont très bien compris et cherchent à les attirer. C’est le cas en particulier du Canada. Si vous allez sur le site du gouvernement fédéral canadien pour faire une demande d’obtention de permis de travail, vous verrez la photographie d’une jeune femme coiffée d’un hidjab qui travaille dans un laboratoire scientifique : il y a tout lieu de croire que c’est là un message envoyé aux Françaises musulmanes pour les faire venir au Canada.

Votre enquête s’appuie sur un questionnaire que vous avez notamment diffusé par l’intermédiaire de réseaux militants, en particulier ceux du Comité contre l’islamophobie (CCIF) en France. Est-ce que cela ne génère pas un biais quant à la représentativité des réponses ?

Notre questionnaire a d’abord été diffusé sur Mediapart, après quoi il a été activement relayé dans des réseaux antiracistes comme le CCIF, en effet. Cela constitue indéniablement un « biais de sélection », mais ceux-ci sont monnaie courante dans les études quantitatives. De fait, on a affaire à des individus surdiplômés, souvent conscientisés, à forte religiosité.

D’après votre enquête, ces Français musulmans qui partent à l’étranger ont effectivement souvent fait de longues études. Comment expliquez-vous que les plus diplômés partent plus volontiers ?

En effet, 52 % des personnes parties à l’étranger qui ont répondu à notre enquête avaient un niveau bac + 5, ce qui est nettement supérieur à la moyenne de la population française. C’est donc clairement une élite qui quitte la France.

D’abord, les plus diplômés disposent d’un capital économique et culturel qui rend le départ plus aisé et ils peuvent trouver assez facilement un travail à l’étranger. Ils sont en outre plus sensibles aux discriminations et les admettent encore moins.

Et, d’un point de vue religieux, quel est le profil des musulmans qui quittent la France que vous avez pu interroger ?

Ils se caractérisent par une forte religiosité. Celle-ci ne signifie pas nécessairement qu’ils se rendent régulièrement à la mosquée, mais passe souvent par le port du hidjab pour les femmes, par la consommation d’une nourriture halal ou encore par la récitation des cinq prières quotidiennes. Cette religiosité est en tout cas perçue comme frustrée, sinon découragée ou interdite, en France.

Vers quels pays se dirige cette diaspora musulmane française ?

On peut distinguer trois ensembles géographiques. La première zone de destination, ce sont les autres pays occidentaux, notamment le Royaume-Uni, qui est le premier pays d’accueil, et le Canada. Les pays du Golfe, Dubaï en particulier, constituent le deuxième ensemble. Enfin, la troisième zone de destination correspond aux pays du Maghreb et à la Turquie qui sont, le plus souvent, le pays d’origine des parents.

Comment comprendre cette attractivité du Royaume-Uni ?

Plusieurs raisons l’expliquent. D’abord, la visibilité de la religion dans l’espace public y est assez banale et ne suscite pas de controverses. Il y a aussi au Royaume-Uni une volonté de s’adapter aux croyances des individus : il y est ainsi souvent possible de faire la prière sur son lieu de travail ou à l’école. Le Royaume-Uni a aussi une législation antidiscriminatoire plus volontariste que ce qu’on peut trouver en France.

Le marché de l’emploi britannique est aussi perçu comme dynamique. Et la langue anglaise est un autre atout du pays. Tous ces éléments se retrouvent au Canada, ce qui explique que ce pays soit également très attractif. Le Royaume-Uni bénéficie toutefois de sa proximité géographique avec la France, qui permet de conserver des liens étroits avec la famille.

Comment les enquêtés vivent-ils leur installation dans un nouveau pays ?

Ils font une expérience de déstigmatisation. L’un de nos enquêtés, établi à Vienne, nous a dit : « En France je suis un Arabe, en Autriche je suis un Français. » C’est un discours qui est revenu très fréquemment chez les personnes que nous avons interrogées.

Paradoxalement, ils se sentent plus français à l’étranger que lorsqu’ils vivaient en France. Plus on se sent accepté comme Français, plus on a tendance à s’identifier comme tel. Or, en France, les personnes interrogées estimaient qu’elles n’étaient pas vues comme françaises.

Et quel regard portent-ils sur la France ?

Commençons par dire qu’ils n’envisagent jamais d’y revenir. Nos enquêtés estiment que l’islamophobie présente en France est sans commune mesure avec ce qu’elle est dans leur pays d’accueil. Leur sentiment est d’ailleurs que les choses vont en s’aggravant. La plupart des enquêtés ont des enfants ou envisagent d’en avoir, et estiment qu’ils doivent les protéger de l’islamophobie dont ils ont eux-mêmes souffert.

On peut ajouter que cette diaspora a souvent un profil néolibéral et pointe l’absence de rationalité économique de la France. En effet, leur formation scolaire et universitaire a été financée par l’Etat français, mais l’islamophobie les contraint à partir et ils ne paieront donc pas leurs impôts en France. Cela leur semble absurde économiquement.
Selon vous, la France est-elle effectivement un pays plus islamophobe que les autres ?

L’islamophobie n’est bien sûr pas l’apanage de la France. Toutefois, parmi les démocraties libérales, elle se singularise sur plusieurs points. Il y a d’abord l’obsession du voile que nous avons évoquée. En France, les autorités se refusent aussi à employer le terme d’« islamophobie », c’est-à-dire à admettre qu’il existe un racisme spécifiquement dirigé contre les musulmans.

La France se distingue également par la mobilisation incessante de la « laïcité » dans le débat public, laquelle est exclusivement dirigée contre les musulmans depuis 1989 et la première « affaire du foulard ».

Enfin, le rapport à l’islam y est plus éruptif qu’ailleurs, parce qu’il est le principal enjeu postcolonial dans la société française. La colonisation, et notamment la guerre d’Algérie, a généré en France un racisme anti-Arabes. Or, les Français musulmans sont essentiellement originaires du Maghreb. En France, l’islamophobie est donc le prolongement direct de ce racisme anti-Arabes postcolonial.

Les choses sont différentes ailleurs. Au Canada, c’est le rapport aux peuples premiers qui est la principale question postcoloniale. Aux Etats-Unis, c’est la place des Afro-Américains. En Allemagne, le regard sur l’islam n’est pas contaminé par le passé colonial, etc.

Votre ouvrage est une enquête sociologique. Est-il aussi un livre politique ?

C’est avant tout un travail de sciences sociales. Toutefois, il nous permet également de contribuer à un débat public qui doit avoir lieu sur une question qui soulève plusieurs enjeux. Ces départs sont d’abord une « fuite des cerveaux » dommageable.

D’autre part, les personnes qui s’en vont auraient pu fournir des modèles d’ascension sociale pour la population française musulmane. Surtout, en mettant la lumière sur la situation des Français musulmans, nous espérons que notre travail aidera à défendre l’exigence de justice et d’égalité dans la société française.

Encart : « La France, tu l’aimes mais tu la quittes » : une enquête éclairante, mais biaisée

Présenté comme une « enquête sur la diaspora française musulmane », l’ouvrage La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil, 320 pages, 23 euros) a le grand mérite de mettre en lumière un phénomène qui, jusqu’à présent, n’avait guère été étudié : le départ à l’étranger de musulmans français voulant échapper à une atmosphère jugée « islamophobe ». Si elle n’apporte pas d’estimation du nombre de personnes concernées, cette étude permet, grâce à de nombreux témoignages, de saisir le ressenti de celles et ceux qui ont choisi de quitter leur pays.

La méthodologie employée, clairement exposée dans l’ouvrage, pose toutefois la question de la représentativité des témoignages recueillis. Les chercheurs ont réalisé un questionnaire qu’ils ont d’abord diffusé par le biais d’un appel à témoins lancé sur Mediapart en 2021. Celui-ci a notamment été activement relayé par Marwan Muhammad, fondateur et président du Comité contre l’islamophobie en France (CCIF), dissous en 2020, et a ensuite abondamment circulé dans les réseaux proches du CCIF.

Le questionnaire a également été diffusé par le média musulman en ligne Al-Kanz, sous le titre « Quitter la France pour fuir l’islamophobie ? ». Les chercheurs ont finalement pu s’appuyer sur 1 070 questionnaires remplis et ont ensuite réalisé 139 entretiens avec des personnes sélectionnées parmi les répondants. En définitive, le questionnaire a donc largement circulé au sein de réseaux militants et religieux, déjà fortement mobilisés contre l’islamophobie. Cela a pu générer un « biais de sélection » qui est l’indéniable limite de ce travail.

https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2024/05/12/olivier-esteves-politiste-les-musulmans-qui-quittent-la-france-sont-des-individus-surdiplomes-souvent-conscientises-a-forte-religiosite_6232733_6038514.html

qlod@parlote.facil.services

La terre est ainsi transformée en un actif financier, au détriment de l’agriculture à petite et moyenne échelle, dénonce le groupe d’experts.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2071730/systeme-alimentaire-accaparement-terres-agricoles
On risque de voir de plus en plus de petits agriculteurs et de peuples autochtones privés de leurs terres pour des raisons de séquestration de carbone ou d’engagements pour la conservation de la biodiversité. Ou quand L'UPA veut détourner les regards des certaines causes [...] .

Une citation de Émile Frison, membre d'IPES, expert en agroécologie #spéculateur #capitaliste #capitalisme #agriculture #banque #oligarchie #féodalisme #terre #agriculture #accaparement-des-terres-agricole #climat #écologie #politique #IPES-FOOD

bliter@diaspora-fr.org

La #politique #climatique de l' #UE est une #écodictature - Le Zoom - #SamuelFurfari - #TVL

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L’ #industrie et les #citoyens #européens souffrent actuellement d’une #crise #énergétique sans précédent. L’ #énergie est devenue #chère et #rare, en très peu de temps. Dans son #ouvrage "Energie, mensonges d'Etat", l' #ingénieur Samuel #Furfari montre que cette crise est la conséquence directe des décisions #politiques irrationnelles prises par les #dirigeants #européens. Pendant 64 ans, de la création de la #CECA en 1952 jusqu’en 2016, l’ #UE a pourtant mené une #politique #énergétique prévoyante, protégeant les citoyens et l’industrie. Mais depuis une décennie environ, sous l’ #influence des #ONG #écologistes, les organes de direction de l’UE ont fait des choix radicaux : éliminer les #ressources fossiles d’ici 2050, #interdire la vente de #véhicules #thermiques neufs d’ici 2035, priver à l’inverse le #nucléaire de toute aide et de toute planification intelligente. Et la #guerre en #Ukraine, loin d’être à l’ #origine de la crise, illustre en fait le #désarmement #énergétique unilatéral voulu par l’UE, que les citoyens de l’Union vont payer au #prix fort : #chauffage, #transports et #production plus chers. #Désastres #industriels en perspective. A très court terme.

https://www.youtube.com/watch?v=KidFtgeHlSM
https://invidious.fdn.fr/watch?v=KidFtgeHlSM
#politique #énergie

wazoox@diasp.eu

Lénine et la nation, entre guerre et révolution

#politique #révolution #marxisme

En avant Marx
Stathis Kouvélakis et Matthieu Renault
Marina Garrisi

Août 1914. L’annonce de la Première Guerre mondiale éclate comme un coup de tonnerre. Lénine réside près Cracovie lorsqu’il apprend la nouvelle. Celle-ci n’a rien d’une surprise puisque le mouvement socialiste est depuis plusieurs années préoccupé par la perspective d’un conflit entre puissances impérialistes. Mais quand Lénine met la main sur la une du journal Vorwarts il ne peut pas en croire ses yeux : le groupe parlementaire socialiste du SPD, principale organisation de la Deuxième Internationale, vient de voter à l’unanimité le budget militaire allemand. Les socialistes qui, jusqu’alors, déclaraient que les ouvriers ne se feraient jamais la guerre entre eux, se rangent derrière leur bourgeoisie au nom de la défense nationale.

Pour Lénine, c’est moins l’incapacité des socialistes à empêcher la guerre ou à déclencher la révolution qui les rend coupables de trahison que leur participation à une guerre impérialiste qui ne sert que des buts réactionnaires et antiprolétariens. Dès lors, pour lui, plus de retour en arrière. Dès le mois de septembre 1914, Lénine proclame la « faillite » de la Deuxième Internationale. S’ouvre alors l’une des périodes les plus fascinantes de sa vie. Les mois qui suivent sont l’occasion d’une effervescence politique et théorique d’une rare intensité.

C’est à la recherche de ce qui se joue dans son cadre stratégique et théorique que nous partons pour ce nouvel épisode d’En avant Marx, avec les philosophes Stathis Kouvélakis et Matthieu Renault. Nous tentons en particulier de comprendre la rupture qui s’opère alors avec le mouvement socialiste et la Deuxième Internationale. Celle-ci n’est pas simplement politique, ni organisationnelle mais également théorique et stratégique. C’est à ce moment que Lénine rompt avec la conception étapiste et eurocentrée qui caractérisait le marxisme de la Deuxième Internationale. Dans ce mouvement de décentrement de la perspective révolutionnaire, Lénine en vient en particulier à changer son regard sur les luttes de libérations nationales. Ces dernières sont intégrées à son cadre stratégique et devienne un rouage essentiel et autonome de ce qu’il nomme désormais la révolution mondiale.

A l’heure où la guerre s’est à nouveau imposée dans le débat public, que les tensions impérialistes se ravivent et que la lutte du peuple palestinien pour se libérer de décennies d’occupation occupe le devant de la scène, Lénine s’avère d’une aide précieuse pour comprendre et intervenir aujourd’hui.

Marina GARRISI

https://www.hors-serie.net/En-avant-Marx/2024-04-27/Lenine-et-la-nation-entre-guerre-et-revolution-id588